La rédaction
Démocratie Participative
05 mars 2024
La juive Victoria Nuland a pensé et mis en oeuvre la guerre en Ukraine
Nuland démissionne.
Victoria Nuland m’a fait savoir qu’elle avait l’intention de quitter dans les prochaines semaines son poste de sous-secrétaire d’État aux affaires politiques, une fonction dans laquelle elle a incarné l’engagement du président Biden à remettre la diplomatie au centre de notre politique étrangère et à revitaliser le leadership mondial de l’Amérique à un moment crucial pour notre pays et pour le monde.
Le mandat de Toria (Victoria, ndlr) couronne trois décennies et demie de service public remarquable sous six présidents et dix secrétaires d’État. Depuis sa toute première affectation en tant qu’agent consulaire à Guangzhou, en Chine, Toria a occupé la plupart des postes de ce département. Chargée de mission politique et chargée de mission économique. Porte-parole et chef de cabinet. Secrétaire adjointe et secrétaire adjointe. Envoyée spéciale et ambassadrice.
Le seul président sous lequel elle n’a jamais été en fonction est Trump.
Ces expériences ont permis à Toria d’acquérir une connaissance encyclopédique d’un large éventail de questions et de régions, ainsi qu’une capacité inégalée à utiliser tous les outils de la diplomatie américaine pour promouvoir nos intérêts et nos valeurs.
Ce qui rend Toria vraiment exceptionnelle, c’est la passion féroce qu’elle met à se battre pour ce en quoi elle croit le plus : la liberté, la démocratie, les droits de l’homme et la capacité durable de l’Amérique à inspirer et à promouvoir ces valeurs dans le monde entier. Tels étaient les principes qui animaient Toria lorsque nous nous sommes rencontrés pour la première fois il y a plus de 30 ans. Ce sont les mêmes principes qu’elle a mis en œuvre dans son travail de sous-secrétaire et de secrétaire d’État adjointe par intérim – un rôle qu’elle a assumé sans interruption pendant sept mois.
Au cours des trois dernières années, Toria a dirigé ce département dans tous les domaines, de la gestion de crises complexes au Sahel, en Haïti et au Moyen-Orient à l’élargissement et au renforcement des alliances et des partenariats des États-Unis en Europe et dans la région indo-pacifique.
Mais c’est le leadership de Toria sur l’Ukraine que les diplomates et les étudiants en politique étrangère étudieront dans les années à venir. Ses efforts ont été indispensables pour faire face à l’invasion massive de l’Ukraine par Poutine, pour rassembler une coalition mondiale afin de garantir son échec stratégique et pour aider l’Ukraine à travailler jusqu’au jour où elle sera capable de se tenir debout, démocratiquement, économiquement et militairement.
Cette juive, sortie tout droit du Sheol, est à l’origine de toute l’opération en Ukraine, depuis 2014. Elle était à Kiev pour superviser la révolution de couleur et le renversement du président en place, Yanoukovitch, par la CIA et ses proxys.
C’est également la femme de Robert Kagan, le juif derrière le 11 septembre et la campagne militaire qui a suivi.
En novembre dernier, il accusait Trump de préparer l’instauration d’une dictature. Cette tribune traduit sans doute possible l’intention de ces juifs de dénoncer l’élection de Trump comme frauduleuse, grâce aux techniques qu’ils ont mis en place depuis 30 ans pour faire élire ou renverser un gouvernement.
Ces juifs sont au centre de toutes les opérations secrètes extérieures des USA, mais aussi des opérations secrètes intérieures.
La démission de Nuland est nécessairement liée à l’Ukraine. Soit que le travail est accompli, ce qui peut inclure la préparation une escalade majeure, et qu’il est devenu nécessaire pour la juive de se faire oublier d’ici à ce que les tensions éclatent, soit que la situation ne va pas dans la bonne direction pour les États-Unis et que son nom, trop connu et associé à la guerre, plombe Biden auprès des électeurs.
Ce qui est certain, c’est que ce départ n’est pas anodin.
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