Capitaine Harlock
Démocratie Participative
26 décembre 2017
Suite au drama d’un migrant camerounais du Volley-Club de Tours en Grèce, la mulâtresse Laura Flessel à la tête du ministère des Sports veut lancer un vaste mouvement d’africanisation des instances sportives européennes.
Laura Flessel s’engage dans une nouvelle lutte, celle contre le racisme et la discrimination dans le sport. La ministre des Sports a sollicité l’Europe pour agir contre ces problèmes. « Il faut travailler sous une forme européenne et internationale. Le règlement doit être revu. Nous devons tous nous positionner et travailler en ce sens », a-t-elle estimé, lors de la visite du volley-club de Tours où se déroulait le match retour entre l’équipe française et l’Olympiakos Le Pirée.
L’événement à l’origine de sa prise de parole s’est passé en Grèce, lors du match aller. Un joueur camerounais de l’équipe grecque de a été la cible de cris et de commentaires racistes, lors d’un match, le 6 décembre dernier. Nathan Wounembaina, qui en a parlé à l’arbitre, a décidé de quitter le terrain devant le manque de réaction de celui-ci. Il a alors été exclu de la rencontre.
L’ancienne athlète a avoué que « l’arbitre a suivi le règlement, il s’avère que le sportif est seul responsable », avant d’assurer sa volonté de « faire avancer et transformer les règlements » avec « les grandes instances ».
Il n’y avait bien sûr aucune « insulte raciste ». C’est une invention grossière de cet africain pour justifier de sa sous-performance aux yeux de ses employeurs et du public et se défausser à peu de frais.
Même Flessel le reconnait.
Mais la France en voie d’africanisation sous commandement judéo-républicain ne recule devant rien pour mener sa guerre à outrance contre la race blanche en Europe à la faveur de campagnes de sidération médiatique.
Il s’agit d’entraîner tout le continent européen vers la submersion nègre et islamique, ni plus ni moins.