Captain Harlock
Démocratie Participative
06 mars 2021
L’ivrogne socialiste Martine Aubry a apparemment réussi à décuver, dégrisée par l’annonce de la dissolution de Génération Identitaire sur ordre de la LICRA.
La maire de Lille, une ville ravagée par l’islamisme au point d’en être devenue un bastion des Frères Musulmans, assure qu’un bistrot local menace gravement les bougnoules qui l’élisent.
Dans le sillage de la dissolution du groupe d’extrême droite Génération identitaire, effective le 3 mars, la maire de Lille, Martine Aubry, a demandé à nouveau la fermeture du club « La Citadelle » à Lille. « Je me réjouis de la dissolution de « Génération identitaire ». Convaincue que les représentants de l’Etat en tireront toutes les conséquences, je réitère ma demande de fermeture du club La Citadelle à Lille », a-t-elle déclaré sur les réseaux sociaux.
Cette demande, elle l’avait dejà faite en 2018 à la suite de la diffusion d’un documentaire de la chaîne Al-Jazeera. Basé sur l’immersion d’un an en caméra cachée dans le groupe Génération identitaire à Lille, il avait été tourné en partie dans le bar La Citadelle. Trois hommes seront condamnés par le tribunal de Lille pour propos racistes, éloge de la violence ou menaces d’attentats, des faits montrés dans le reportage.
Aurélien Verhassel, le président du bar, affirme que les trois condamnés ne font pas partie de l’association de La Citadelle, une précision importante pour lui. Celui qui a été le responsable de Génération identitaire dans le Nord jusqu’en 2018 se sent protégé de la nouvelle attaque de Martine Aubry par ce qui avait été décidé à l’époque. « A l’issue de la diffusion du reportage d’Al-Jazeera, ni le parquet, ni le préfet n’ont lancé de procédures à l’encontre de La Citadelle, de ses activités et de ma personne », rappelle-t-il.
La citation originale (01:15′) : « A l’issue de la diffusion du reportage de la chaîne islamiste Al-Jazeera, ni le parquet, ni le préfet n’ont lancé de procédures à l’encontre de La Citadelle, de ses activités et de ma personne ».
La citation de la chaîne communiste France 3 : « A l’issue de la diffusion du reportage d’Al-Jazeera, ni le parquet, ni le préfet n’ont lancé de procédures à l’encontre de La Citadelle, de ses activités et de ma personne ».
Mais pourquoi les journalistes militent-ils pour se faire purger ?
Il ajoute : « honnêtement je pense que Martine Aubry n’arrivera jamais à ses fins car tout ce que nous faisons est légal. La Citadelle, en tant que stucture, n’est la représentation d’aucun groupe politique, c’est une maison de l’identité autonome et autogérée qui accueille en son sein tous les patriotes sincères ».
Dans le communiqué diffusé sur les réseaux sociaux, Martine Aubry renforce sa position. Fermer le bar serait un moyen de « mettre un terme aux activités des mouvements de la nébuleuse identitaire sur notre territoire ». Aurelien Verhassel voit dans la demande de Martine Aubry, une attaque au timing politique pas anodin : « je pense que les associations de gauche poussent Martine Aubry dans ce sens alors que les élections régionales arrivent ».
Le point à retenir est celui-ci : Martine Aubry est une ivrogne.
A un tel point qu’elle se rendait discrètement en Bretagne pour suivre des cures de désintoxication sous la supervision du psychiatre Jean Lebranchu, mari de la ministre socialiste Marylise Lebranchu.
Tout le monde le sait, peu importe ce que cette vieille barrique peut bien dire.
C’est aussi la plus grande facilitatrice de l’islamisme dans le nord de la France. Il n’y a pas d’équivalent. Elle protège le chef des Frères Musulmans, Amar Lasfar, connu pour avoir blanchi du fric en énorme quantité pour le compte des djihadistes internationaux avec l’aide des services secrets britanniques situés non loin de là.
Amar a beaucoup de défauts mais il voit clair depuis longtemps sur les véritables maîtres de l’Occident. Ils demandent depuis des décennies aux mahométans d’imiter les juifs pour mettre la France en coupe réglée.
Cela tombe bien car Aubry adore les bougnoules.
Bref.
Tout irait bien dans le meilleur des mondes possibles s’il n’y avait pas un bistrot où des Français buvaient des bières.
Ce qui empêche Aubry de cuver paisiblement.