Captain Harlock
Démocratie Participative
08 février 2020
Lille, l’antique capitale des Ducs de Bourgogne, change.
Elle devient un haut-lieu de la spiritualité des nouveaux Français et, comme vous pouvez le voir, la foi est au rendez-vous.
Si l’islam est l’étendard des arabo-maghrébins et de leurs esclaves nègres convertis, il ne résume pas à lui seul les ressorts du cataclysme racial qui s’abat sur la France.
Par bien des aspects, l’islam joue un rôle positif : de par son agressivité fondamentale, il pousse de nombreux Blancs à adopter une posture défensive face à l’invasion. Sans cette agressivité, le pourrissement racial progresserait encore plus vite qu’actuellement.
Les sectes évangélistes nègres a contrario, de par leur relatif pacifisme actuel, permettent aux noirs de s’organiser sous couvert d’activités religieuses. Ces sectes, tôt ou tard, se convertiront en structures de combat racial pour défendre les colonies négroïdes dans toutes les régions françaises où elles seront installées.
Aux USA, la plupart des nègres sont officiellement « chrétiens ». Mais il faut gratter pour comprendre de quoi il retourne. Il s’agit de sectes racistes noires qui prêchent la guerre raciale contre les Blancs au nom de Jésus-Christ, mêlant mysticisme, marxisme et racialisme noir. C’est une de ces églises qu’avait ciblé Dylan Roof.
Autre fait important à savoir : l’Eglise Catholique donne systématiquement la main aux organisations protestantes pour forger ce qui devient un véritable front démographique nègre en Europe.
Le Vatican et son clergé sont d’abord et avant tout une banque et doivent donc se renflouer en permanence.
Comme pour la Papauté, les nègres représentent le seul mais dynamique débouché des organisations chrétiennes évangéliques.
Sectes évangéliques et Eglise Catholique sont à la fois dans un rapport de concurrence et de coopération dans le cadre plus large de la guerre raciale en cours sur le territoire français. Tant vis-à-vis des indigènes blancs que des mahométans dont l’emprise dans les banlieues ethniques est considérable.
L’atout religieux
Qu’il s’agisse de l’islam ou des églises chrétiennes, pour ne pas parler des autres sectes, la dimension officiellement « religieuse » de leurs activités permet aux races qui agissent sous leur couvert de s’organiser sans être identifiées comme des structures politiques à proprement parler.
Cela offre des facilités considérables pour lever et déplacer des fonds, organiser des événements, fédérer localement. Comme ici, à Lille, où des pasteurs nègres venus d’Afrique ou d’Amérique, viennent recruter des membres pour leurs organisations internationales.
Rien de tel pour les populations blanches qui ont très largement abandonné toute forme de pratique religieuse, c’est-à-dire de communion sociale autour d’une idée partagée.