L’ignoble laquais de la finance internationale Macron prend fait et cause contre les révolutionnaires américains !

Captain Harlock
Démocratie Participative
07 Janvier 2021

 

L’écrasement de la révolution populaire occidentale – que l’oligarchie appelle le « populisme » – est passé en phase chaude.

Après les glorieux évènements du Capitole à Washington où les révolutionnaires américains ont spectaculairement paralysé l’élection frauduleuse du putschiste Biden orchestrée par l’état profond avec l’aide de l’oligarchie, l’alerte générale a été décrétée par tous les gouvernements occidentaux.

S’ingérant de manière révélatrice dans les affaires intérieures des Etats-Unis, Emmanuel Macron, multipliant les mensonges, a accusé les patriotes américains d’être entrés « armés » dans le parlement US où se déroulait le coup d’état.

Il s’agissait pour le roquet de l’Elysée de faire une nouvelle fois allégeance au Nouvel Ordre Mondial à un tournant critique.

Note bene : son public n’a pas été convaincu :

C’est une conspiration globale, ce qui est parfaitement logique puisqu’il s’agit d’une conspiration globaliste. Par définition, cette caste cosmopolite ne connaît pas la notion de frontières nationales.

Tout comme leurs maîtres de la finance juive internationale, ces dirigeants fantoches font partie d’un seul et même système multinational.

C’est d’ailleurs à raison que Macron accompagne sa déclaration officielle du message « Nous croyons en la démocratie » (« We Believe in Democracy »). Il croit en effet à ce système où une poignée de médias contrôlés par quelques milliardaires font et défont les gouvernements.

La démocratie, contrairement à ce que croit le peuple, n’est que le bras armé de la finance juive internationale.

Si Macron s’engage aussi nettement, c’est parce que la sauvegarde du système globaliste est la condition de sa propre survie, ainsi que de celle de ses maîtres.

Toute révolution populaire en Amérique se convertirait tôt ou tard en révolution en Europe, y compris en France.

Il n’est d’ailleurs pas le seul à soutenir l’écrasement de la révolution en Amérique. Boris Johnson a fait de même.

Scènes honteuses au Congrès américain. Les États-Unis sont les défenseurs de la démocratie dans le monde entier et il est désormais vital que le transfert de pouvoir se fasse de manière pacifique et ordonnée.

Le « transfert de pouvoir » est le mot qu’utilisent l’oligarchie pour désigner un coup d’état quand il est réalisé pour protéger ses intérêts.

Cela n’a rien d’étonnant en soi puisque c’est exactement ce qu’a fait Johnson au Royaume-Uni en mettant en place cette dictature sanitaire totale promue par les hiérarques de Davos, de l’ONU et des grandes multinationales.

Tout comme en France et dans le reste de l’Union Européenne.

Ce que redoute Macron et la clique au pouvoir en France, c’est la résurgence d’un mouvement insurrectionnel comme celui des Gilets Jaunes mais en mille fois plus puissant. C’est-à-dire une révolution. En cas de révolution, ces gens ne peuvent pas escompter de s’en sortir indemnes.

Ce système lutte désespérément pour sa survie et il ne reculera devant rien pour se maintenir.

C’est la raison pour laquelle il a créé de toutes pièces cette pandémie artificielle : pour justifier l’écrasement brutale du « populisme », c’est-à-dire de la révolution des classes moyennes blanches saignées à blanc par cette élite corrompue.

De la même façon que ces élites sont liées par delà les frontières, nous sommes aussi liés aux classes moyennes des autres pays occidentaux, y compris aux USA. Hormis les différences linguistiques et culturelles, nous sommes engagés dans la même lutte, chacun là où il est.

C’est la raison pour laquelle le système ne distingue pas les populistes. Pour lui, nous sommes une seule et même chose : la classe moyenne blanche à abattre.

Macron fera tirer sur le peuple de la même façon quand ses maîtres lui en donneront l’ordre.

Il est donc temps de comprendre que l’ère de la révolution est venue. Il n’y a pas de retour en arrière possible. Nous allons renverser ce système global, nous allons arrêter ses dirigeants, les juger puis les châtier d’une manière si exemplaire que les générations futures en parleront pour les siècles à venir.

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