Captain Harlock
Démocratie Participative
04 septembre 2018
Je ne parle pas souvent du Front National – « Rassemblement National » -, d’abord pour ménager mes nerfs qui n’ont pas besoin de cela, ensuite parce que je ne veux pas lasser des lecteurs qui, grosso modo, savent non seulement ce que nous en pensons ici, à Démocratie Participative, mais ce qu’eux-mêmes en pensent.
Donc, je m’abstiens de parler du FN ex-FN dit RN.
Et puis l’alcoolo-tabagique recommence à parler pour essayer d’attirer l’attention.
Et là, je commence à hurler devant mon écran.
Cette dinde sort finalement d’hibernation après n’avoir rien foutu pendant une année complète avant d’aller se dorer la graisse en compagnie d’un gigolo de 20 ans quelque part en Thaïlande ou en Grèce.
Et elle sort d’hibernation pour souhaiter une bonne rentrée à des nègres et des bicots.
Ostensiblement.
En photo. Sur son compte Twitter officiel.
C’est la Merkel de la droite nationaliste.
Un boulet aux allures de malédiction collective dont les deux énormes fesses flasques sont étalées sur nos visages.
Le chancre irréductible. La sangsue qui vous saigne tout en vous affichant un large sourire d’idiote.
Cela me coûte de le dire, mais Mélenchon a fait preuve d’infiniment plus d’énergie et de sens politique que cette horrible bonne femme durant l’année écoulée. Il a pratiquement réussi à focaliser l’attention sur lui et son mouvement lors des débats sur les projets de loi par ailleurs totalement insignifiants du gang macroniste.
Et c’est encore Mélenchon qui a dit la seule vérité qui compte au sujet de cette poissonnière : elle ne sert à rien.
Cette famille Le Pen n’a eu de cesse de parasiter les malheurs d’une nation entière comme de véritables Thénardiers pour prospérer. Et sous prétexte que cette mafia verrouille l’ex-FN, elle dispose d’une rente électorale qui peut durer, virtuellement, un siècle.
Le fait qu’il s’agisse d’une femme aggrave considérablement la situation. Cette bourgeoise ne craint rien tant que d’être dénoncée par la bourgeoisie enjuivée.
Cette face d’andouille fière de sa connerie n’est plus seulement insupportable, elle est criminelle.
La grosse Le Pen dirige une boutique en faillite virtuelle.
Mais elle a appelé les gogos à remplir les caisses de son entreprise après la suspension des financements, résultat de son truandage des comptes de sa SARL.
C’est tout de même extraordinaire : elle se fait gauler à piller tout ce qu’elle peut pour s’éclater avec sa camarilla et vient mendier, comme la dernière des roms du métro parisien, des millions d’euros de dons pour continuer à picoler du matin au soir.
Il suffit de regarder le paysage politique européen : même les Allemands sont parvenus à édifier, en quelques années, un mouvement politique radical et globalement performant qui n’hésite pas à défier le statu quo juif, comme à Chemnitz.
Méditez là dessus : le FN existe depuis les années 70, a percé dans les années 80, a eu les années 90 pour se solidifier. En Europe, il n’existait aucune formation nationaliste aussi puissante, le continent entier regardait cette machine politique nouvelle qui avait réussi à être à la fois radicale, populaire et efficace électoralement, 30 ans avant la vague populiste actuelle.
Imaginez ça : Orban était encore harcelé par la police politique communiste quand Jean-Marie Le Pen était à la tête d’un FN radicalement anti-immigrés rassemblant 15% des suffrages.
Trente ans plus tard, Orban rassemble 70% des suffrages et organise la constitution d’un axe nationaliste pour conjurer la submersion de l’Europe.
La grosse traînée de Le Pen quant à elle, dûment placée à tête du FN, distribue des bonbons à des nègres pour la rentrée.
Quand certains de nos amis ont cru utile de récupérer le vieux Le Pen suite à ses histoires de sous avec l’alcoolo-tabagique, j’ai conclu que la naïveté était la première tare qui prévalait en France.
Evidemment, Jean-Marie Le Pen n’est obsédé que par une chose : son égo. C’est la raison pour laquelle il a imposé la tenancière de tripot à la tête du Front National, laquelle l’a immédiatement lourdé à la première occasion, sur ordre des juifs.
Mais, aussitôt l’espoir de se voir rétablir dans ses titres suite à ses déboires de santé, le vieux Le Pen pouvait se répandre sur la réconciliation tant attendue.
Jean-Marie Le Pen, la photo de la réconciliation avec ses filles https://t.co/fAz6ger6uz pic.twitter.com/62PiIK7vuJ
— Paris Match (@ParisMatch) 30 juin 2018
L’homme, à demi-sénile, obsédé par la gloriole, nous faisait encore un numéro solennel peu avant.
Au stade actuel, quiconque se commet encore avec cette bande, père, fille, petite-fille, joue l’idiot utile consentant de cette clique, donc des juifs.
On ne peut pas me dire : « Mais, tu sais… ».
Oui je sais. Justement.
Plus de Le Pen, sous aucune forme, peu importe le sexe, même dans du formol.
Les juifs utiliseront toujours la connerie féminine à leur propre fin. C’est au moins quelque chose que je mets à leur crédit : ils ne font pas preuve de la stupidité abyssale dont témoignent les Blancs dès lors qu’une femelle prétend faire de la politique.
Si demain la terre voyait tous les hommes disparaître pour n’y laisser que les femmes, la civilisation serait détruite instantanément. Plus une centrale électrique ne fonctionnerait, plus un feu rouge, plus un frigo.
Mais pour une raison inconnue, on place une femme à la tête d’un mouvement chargé de lutter contre la plus grande menace qui ait jamais frappé la France : l’invasion islamo-africaine.
Et de manière surprenante, cette bonne femme est taraudée par une seule chose : avoir l’air gentille avec les colorés quand un journaliste juif prend une photo.
Et puis vous avez Jeanne d’Arc, troisième du nom.
Avec ses gigolos.
Un ici.
Un autre là.
Une mère de famille vingtenaire et courageuse qui va maintenir l’ordre.
L’ordre juif.
La clique lepéniste, plus grand obstacle au nationalisme
Cependant, cela ne sert plus à rien de dresser le bilan des Le Pen en politique et encore moins des femmes Le Pen en politique.
Tous ceux qui ont deux sous de bon sens ont tiré le bilan qu’il fallait tirer.
Ici, je pense que la responsabilité en incombe à nous tous. On ne peut pas éternellement faire croire que nous ne comprenons rien de ce qui se passe, de ce qu’est cet ex-FN, du rôle terriblement destructeur joué par cette clique Le Pen depuis des décennies.
Nous voyons la dynamique des populistes partout en Europe. Partout les choses bougent très vite, sauf en France.
L’énergie que générait le FN dans les années 80, la haine et la terreur qu’il inspirait à la coalition des partis juifs s’est évanouie, grâce à la dédiabolisation inévitablement dévitalisante promue par le sépharade Aliot, le génie spéharade qui l’a promue avec la traînée Le Pen.
Cette situation ressemble dramatiquement à celle des années 30 en France : quand l’Europe entière adoptait des régimes d’ordre, la juiverie socialo-communiste du Front Populaire s’emparait du pays sous la direction du youtre Blum. Ce qui devait paver la voie à la guerre contre l’Allemagne, conformément aux besoins de la juiverie internationale de disposer, sur le continent européen, d’une France antifasciste sans laquelle toute guerre juive en Europe était impossible.
Macron a explicitement fait de la France le bastion du projet juif pour l’Europe. C’est en ces termes qu’il présente l’action de la France sur le continent, tout spécialement à la faveur des élections européennes. Et rien, en raison du désastre lepéniste, ne peut sérieusement l’empêcher de faire de la France la chair à canon des juifs contre les autres nations européennes.
Et l’ex-FN agite maintenant ses bougnoules patriotes, ouvertement inféodés aux juifs, pour intensifier encore plus le pourrissement racial du pays.
Victor Hugo écrivait : « Ah ! Je voudrais n’être pas français… pour pouvoir te choisir, ma France ». J’ai eu la chance infinie de transformer ce rêve hugolien en réalité.
— Jean MESSIHA (@JeanMessiha) 3 septembre 2018
Si d’aventure un parti nationaliste était formé et émergeait, il verrait son développement mécaniquement entravé par le bloc électoral lepéniste dont la survie dépend du maintien de l’escroquerie.
En d’autres termes, l’ex-FN est devenu la meilleure garantie des juifs en France en faveur du statu quo.
La clique Le Pen est devenue l’atout décisif des juifs pour le maintien de leur domination en France.