Captain Harlock
Démocratie Participative
11 novembre 2018
Voilà une personne qui a compris le fonctionnement élémentaire de la propagande judéo-marxiste : la culpabilisation.
Une ancienne candidate de Civitas (extrême droite catholique) a affirmé que ça ne la « dérange(ait) pas » que des gens se disent « nazis », se présentant comme « très tolérante », lors d’une rencontre récente organisée par le journal d’extrême droite « Synthèse nationale ». Dans son discours prononcé le 14 octobre et repéré par la quotidien Nord Littoral , Marie-Jeanne Vincent, professeure de français à Calais, fustige « les gauchistes qui ont toujours tendance à nous (la droite nationaliste) dévaloriser ».
« La méthode “antifa” est toujours toujours la même: la calomnie, la diffamation, le mensonge, faire peur, faire parler les idiots utiles et enfin vous traitez de nazi« , a-t-elle développé lors d’une allocution à Rungis (Val-de-Marne), mise en ligne sur le site du journal qui organisait cette « 12e journée de Synthèse nationale ». « Après, vous êtes nazis si vous voulez, moi ça me dérange pas, je suis très tolérante« , a-t-elle poursuivi en riant.
Oui, il faut être tolérant avec les Nazis et arrêter de les persécuter gratuitement.
Car les Nazis sont les gentils.
Dans cette guerre pour le contrôle des esprits que nous menons, il ne peut y avoir que deux postures : offensive ou défensive.
La culpabilisation est la principale arme psychologique du système contre nous. Elle vise à nous maintenir en position défensive.
Il ne faut jamais s’excuser de quoique ce soit : si vous le faites, vous serez rapidement dévorés vivants par les juifs et les marxistes.
Tout recul les amène à pousser leur avantage.
L’ancienne candidate de Civitas, qui avait recueilli 0,34% aux législatives de 2017 dans le Pas-de-Calais, a appelé le public à consulter et écrire pour le site « nousommespartout.fr », créé pour contrer « une machine de guerre », celle des « médias officiels et aux ordres ».
Le but, poursuit-elle, est de « dénoncer les choses avec des mots choisis ». « La langue française est assez riche en euphémismes, en métaphores, en allégories pour pouvoir dire les pires horreurs que vous avez envie de dire sans tomber sous le coup de la loi Fabius-Gayssot« , a-t-elle précisé, en référence à la loi de juillet 1990 tendant à réprimer tout acte raciste, antisémite ou xénophobe.
Pour ma part je pense que le temps des euphémismes a vécu.
Cela fait 50 ans que nous usons d’euphémisme, c’est-à-dire que nous acceptons de demeurer sur une position défensive, plutôt que d’attaquer agressivement l’ennemi.
La censure sera vaincue en la violant systématiquement, sans arrêt.
Quoi qu’il en soit, la tolérance envers l’amicale des Hitlériens Réunis est très appréciable.