La rédaction
Démocratie Participative
21 juillet 2022
L’agent de (((Goldman Sachs))) et Schwab à la tête de l’Italie vient de tomber.
L’ancien directeur de la Banque Centrale Européenne a été abandonné par trois partis de sa coalition : la Lega, Forza Italia et le Mouvement 5 Étoiles.
🇮🇹 Le Premier ministre italien Mario Draghi a remis sa démission pic.twitter.com/UK2DZWLB2K
— BFMTV (@BFMTV) July 21, 2022
Vous savez qu’un type est une crapule quand dans l’heure le juif Zelensky surgit pour dire à quel point c’était un type bien.
Sincèrement reconnaissant à #MarioDraghi pour son soutien indéfectible à l’Ukraine dans la lutte contre l’agression russe et la défense des valeurs européennes communes – démocratie et liberté. Nous continuerons à travailler pour renforcer la coopération italo-ukrainienne. Je suis convaincu que le soutien actif du peuple italien pour l’Ukraine continuera !
Sincerely grateful to #MarioDraghi for unwavering support to 🇺🇦 in fighting against Russian aggression & defending common European values – democracy & freedom. We’ll keep working to boost 🇺🇦-🇮🇹 cooperation. I’m convinced that the active support of 🇮🇹 people for 🇺🇦 will continue!
— Володимир Зеленський (@ZelenskyyUa) July 21, 2022
La démocratie italienne est particulièrement démocratique.
La raison pour laquelle Draghi est premier ministre est facile à résumer : s’assurer que les paysans italiens remboursent leurs créanciers juifs.
Draghi n’a jamais été élu par personne là-bas et n’aurait aucune chance d’être élu par personne là-bas. Affidé de la banque juive internationale, il dirigeait l’Italie simplement parce que les juifs voulaient qu’il dirige l’Italie.
Il faut toutefois que Draghi parvienne à maintenir un semblant de coalition au parlement, ce qu’il n’est même plus en mesure de faire tant le régime antifasciste est en bout de course.
#L’écart de risque à 10 ans entre l’Italie et l’Allemagne augmente alors que le premier ministre italien Mario Draghi démissionne, plongeant le pays dans le chaos politique, ce qui augmente la perspective d’élections anticipées dès début octobre. L’effondrement du gouvernement de Draghi était inévitable après que trois de ses partenaires de coalition aient retiré leur soutien.
#Italy 10y risk spread over Germany jumps as Italy PM Mario Draghi resigns, throwing country into political chaos in a move that will raise prospect of snap elections as soon as early Oct. Collapse of Draghi’s govt was inevitable after 3 of his coalition partners withdrew support pic.twitter.com/G5bumU568k
— Holger Zschaepitz (@Schuldensuehner) July 21, 2022
Le ratio dette/PIB de l’Italie est supérieur à 150 %.
Sa dette publique s’élevait à 2,8 milliards d’euros en mai.
Environ 25 % de la dette de la zone euro est italienne.
La seule chose qui maintient l’Italie à flot est l’achat de sa dette par la BCE. L’Italie serait 10 fois plus importante que la crise de la dette grecque.
Italy Debt to GDP ratio is over 150%
Its public debt stood at €2.8tn in May.Approximately 25% of all Eurozone debt is Italian.
The only thing keeping Italy afloat is the ECB buying their debt. Italy would be 10x larger than the Greek debt crisis pic.twitter.com/SQEdNlV1mK
— Wall Street Silver (@WallStreetSilv) July 18, 2022
Le problème de l’Italie est assez facile à résumer : leurs femmes ne font pas d’enfants.
On compte moins de 400,000 naissances en 2021 pour un pays de 60 millions d’habitants.
Rien à voir avec la Fronsse et ses 740,000 naissances.
D’où l’insistance de la banque juive pour importer le tiers-monde.
La pyramide de Ponzi des retraites et de la dette qui les finance doit être maintenue par tous les moyens.
Ce que Draghi se chargeait de faire.
Ceci étant dit, il ne faut jamais sous-estimer la capacité des Italiens à décevoir.
L’échec lamentable de Matteo Salvini avant son ralliement à ce gouvernement bancaire est un souvenir amer pour tout le monde.
De toute façon, seul le fascisme peut remettre l’Italie sur les rails.
Pour être correctement compris, tout problème national doit d’abord être intégré dans son contexte démocratique. Abolir la démocratie est la première étape sur le chemin de la restauration de l’ordre.