« L’homme dans la cave » : le nouveau film juif qui dénonce les squatteurs goyim qui posent trop de questions sur l’histoire bizarroïde des chambres à gaz d’Adolf Hitler

Captain Harlock
Démocratie Participative
31 août 2021

 

Ce qui est bien avec la propagande juive de notre époque, c’est qu’elle est tellement ringarde et lourde qu’on finit par en rire.

Les juifs sont désespérés au point de supplier les goyim d’arrêter de poser des questions dans des films téléphonés à la mise en scène et aux dialogues ultra poussifs.

Le prochain nanard du genre s’appelle « L’homme de la cave » avec Cluzet que l’on avait déjà vu dans un film érotique où il se faisait sexuellement torturé par son domestique noir incarné par le sénégalais Omar Sy.

La seule bande-annonce permet de mesurer le truc. Je vous préviens, le jeu d’acteurs est particulièrement mauvais.

 

J’ai hurlé de rire à ce moment-là, quand les juifs ont sorti leur énorme violoncelle pour jouer un affreux air de musique yiddisch :

« Tu m’as jamais dit qu’on habitait l’appartement de ton oncle déporté »

C’est devenu automatique, j’éclate de rire à chaque fois que je vois ces juifs sortir une photo en noir et blanc pour continuer d’escroquer la terre entière – ce qui est la base des jérémiades à propos de ce concept d’holocauste.

Mais j’ai particulièrement ri lors de ce passage. Vous sentez que les juifs sont très pressés/désespérés. Ils posent l’addition au milieu de la table en vous dévisageant alors que vous avez à peine fini l’apéritif.

Les juifs perdent patience. En fait, ils sont totalement excédés par l’impertinence des goyim qui n’ont pas compris le concept de soumission inconditionnelle à la race juive.

Pour en revenir à cette page de pub de la LICRA, c’est donc l’histoire d’une bande de juifs assiégés par un Boomer révisionniste qui s’est emparé de leur cave. Comme un migrant clandestin français en France, en somme. Ensuite on apprend que ces juifs ne sont pas vraiment propriétaires de leur appartement parce que des goyim manipulateurs et avares essaient de les voler à coups de textes de lois. C’est ce que font les juifs depuis toujours à tout le monde, mais dans ce film les juifs se mettent en scène en train d’être persécutés par des menteurs et des avocats avides.

Par définition, il n’y a pas de limite à la c’houtzpah de ces juifs.

Ce Boomer maléfique instille le doute dans l’immeuble au détriment de ces juifs innocents.

Les juifs disent qu’il ne faut pas poser de questions.

« Je veux juste vous poser des questions, des questions qui dérangent la vérité officielle. Vous avez peur de quoi ? »

Les juifs n’aiment pas les questions en général et encore moins sur ce sujet en particulier.

L’objet de cette production juive est de dire que poser des questions est conspirationniste, c’est-à-dire irrationnel.

Nous vivons à une époque où tous les médias sont contrôlés par les juifs. Tous ces médias disent que la vérité repose sur la science et que le principe fondamental de la science consiste à ne jamais poser de questions à propos de ce que disent les médias juifs. Dans une société juive, les goyim n’ont pas à se poser de question car les juifs ont déjà les réponses : c’est le message du film. Ce film pourrait d’ailleurs s’appeler « Fermez-la, les juifs commandent » mais les juifs ont choisi ce titre bizarre, « L’homme de la cave ».

Le film est bien évidemment une allégorie de la société française telle que la perçoivent les juifs : ils sont « chez eux » en France, dans l’appartement « familial », et soudain, des parasites de souche viennent squatter « leur » cave, c’est-à-dire les basfonds de la société sur laquelle ils trônent, pour remettre en cause leur domination en embrigadant les autres goyim. Ces parasites français, incarné par Cluzet, n’ont pas de mal à réveiller chez une partie des Gaulois de l’immeuble leur véritable nature antisémite. Et ensuite les juifs geignent, geignent et geignent encore à propos de tous ces sales goyim démoniaques échappés de l’Enfer qui s’en prennent à eux sans raison. Parce que les juifs assurent qu’il n’y a aucune explication rationnelle à quoi que ce soit dès lors que des goyim se plaignent de leurs actes. Uniquement « de la haine », d’origine magique.

Vous et moi savons pourtant que tout a une explication et que cette explication est à rechercher dans les actes du juif lui-même. Mais le juif n’est pas très demandeur d’une analyse détaillée de ses actes. Il préfère parler de « science » consistant à interdire aux goyim de poser des questions.

Si le cinéma n’était pas contrôlé par les juifs, Vincent Reynouard aurait déjà pu réaliser un biopic sur Simone Veil intitulé « La gazée imaginaire« .

Les juifs n’ont jamais donné d’explication à propos du gazage officiel de Simone Veil qui n’a pas eu lieu. Pour une raison évidente : il faudrait alors répondre à la question du gazage officiel de 4 millions de juifs à Auschwitz en 1945 qui est devenu le gazage officiel de 1,5 millions de juifs en 1990 qui est devenu le gazage officiel de 900,000 juifs ces dernières années sans que le chiffre magique des 6 millions n’ait jamais changé.

Comme je le disais, les juifs n’aiment pas les questions.

Ils préfèrent les lois qui interdisent aux goyim de poser des questions.

Sans la censure, le château de cartes juif s’effondrerait presque instantanément. Le juif ne peut pas survivre dans une société où la vérité est la base de fonctionnement de cette société. Le juif a besoin du mensonge comme le vampire a besoin de la nuit.

Le scénario de ce film n’a besoin que d’une légère modification : que l’occupant de la cave soit un juif venu squatter pour répandre des mensonges dans l’immeuble afin de dresser les habitants les uns contre les autres et s’y établir en maître.

On l’appellerait « Le juif dans la cave ». Ou la France juive, plus simplement.

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