Captain Harlock
Démocratie Participative
22 octobre 2018
Robert Faurisson a été rappelé à Dieu hier soir alors qu’il rentrait de Grande-Bretagne où il était parti en visite dans sa région d’origine.
Le 20 octobre, il y a 2 jours, le Professeur était toujours au front en Grande-Bretagne, faisant face aux mêmes méthodes terroristes juives qu’il a affronté toute sa vie. L’héroïque Vincent Reynouard nous le détaille.
Robert Faurisson est un monument de la science historique sans équivalent, celui qui a démontré que le savoir sans le courage rendait impossible le triomphe de la vérité.
Certains peuvent, lorsqu’un homme de cette qualité quitte cette terre, se lamenter. Il faut au contraire se réjouir : la récompense pour ceux qui luttent avec courage pour la vérité n’est autre que la félicité éternelle à laquelle goûte désormais le Professeur.
Robert Faurisson a mérité de pouvoir enfin se reposer après une vie de lutte intense contre la perfidie des juifs.
La haine que lui vouent les juifs se comprend parfaitement : il est celui qui a porté le coup fatal à l’idole impie de l’holocauste.
Cet homme simple, vrai, charmant à tous égards et à l’air si fragile, a fait preuve d’une force de volonté unique face à l’énorme armée de démons juifs qui s’est acharnée à vouloir le détruire, sans jamais y parvenir, pour avoir dit : « le roi est nu ! ».
Robert Faurisson a détruit le totem sacré de la religion de l’holocauste : la magique chambre à gaz.
Résumer une vie telle que celle de Robert Faurisson est impossible. On gagnera à suivre le blog personnel du Professeur pour lire diverses études critiques sur les vérités juives officielles. Un continent entier s’y dévoile au lecteur qui a, de bonne foi, été trompé par les médias juifs.
Comme l’a dit Adolf Hitler, « celui qui entre en guerre contre Juda entre dans une lutte à mort ».
Combattre pour la vérité, c’est barrer la route aux juifs. Ce que découvrent toujours ceux qui, naïvement, pensent que la vérité est un chemin d’évidence quand il est d’abord un chemin de croix.
En février dernier, à près de 90 ans, le Professeur affrontait toujours les juifs dans les tribunaux rabbiniques.
Pour son honneur et pour la vérité.
Il faut dire ici, car l’honnêteté le commande, que Dieudonné a sorti le Professeur de l’isolement cruel dans lequel les juifs l’avaient placé.
Après la victoire historique, la victoire morale.
Les juifs ne purent jamais s’en remettre.
L’idole avait été détruite, l’homme qui l’avait détruite était symboliquement célébré en dépit de tous les efforts des juifs.
Les juifs avaient perdu.
Avec humour, Robert Faurisson régla ses comptes avec l’ennemi de l’humanité.
Robert Faurisson est maintenant une icône dont l’oeuvre perdurera éternellement, précisément parce qu’il l’a bâtie sur un sol sans équivalent : la vérité.
Et la vérité triomphe de tout.