Le Libre Panzer
Démocratie Participative
22 janvier 2019
Nouvelle interview impertinente du Gilet Jaune spécialiste du « journalisme de rue ». Cette fois, c’est le prêtre juif Patrick Cohen qui a dû répondre à la question lancinante du suprémacisme juif véhiculé par le Talmud.
Les cohanim n’aiment guère être questionnés au sujet de ce livre diabolique.
Si vous l’ignoriez, les Cohen ou « cohanim » occupent une fonction particulière au sein de la théocratie juive. Ils descendent des prêtres du Temple de Jérusalem et bénéficient à ce titre d’un statut particulier encore aujourd’hui.
Comme de juste chez les juifs, ce statut se remet de père en fils selon la stricte loi du sang professée par le racisme juif.
Ce sont d’eux dont devra provenir la caste de prêtres servant dans le troisième temple que les juifs sont déterminés à reconstruire dès que l’opportunité se présentera.
Pour la juiverie, c’est loin d’être du folklore.
Les éléments les plus fanatisés font régulièrement pression sur le gouvernement de la colonie juive de Palestine pour hâter les choses.
Au préalable, Jérusalem doit être intégralement nettoyée ethniquement.
Les juifs s’autoproclament prêtres de l’humanité et ce de droit divin.
C’est ce qui les porte instinctivement à un travail permanent de destruction des sociétés non-juives. Sur leurs ruines, les juifs escomptent bâtir un ordre théocratique que seule une toute petite minorité d’entre eux dirigera effectivement. Les gros bataillons juifs se contentent de servir de germes de dissolution au sein des nations qu’ils infectent.
Les cohanim sont ceux qui devront fournir à la caste sacerdotale son grand prêtre, lequel exercerait depuis le troisième temple.
Il va sans dire que les Cohen sont donc d’une valeur particulièrement élevée aux yeux de la juiverie puisqu’ils sont le vivier biologique de leurs futurs cadres.
C’est pourquoi nous devons nous intéresser tout particulièrement à eux comme le fait ce Gilet Jaune.
Rappelons que Saint Louis fit brûler ce livre d’inspiration démoniaque qu’est le talmud, première étape de la purification du royaume de France des colonnes infernales de la synagogue.