L’excellent mensuel anarchiste « Siné Mensuel » dénonce le péril du judéo-macronisme financier

Captain Harlock
Démocratie Participative
09 avril 2021

 

L’extrême-gauche n’est pas totalement enjuivée. Pour preuve, la très belle couverture de Siné Mensuel qui, si elle n’a pu résister à un crachat sur la monarchie française, a surtout voulu nous rappeler le véritable faciès des maîtres de la France.

Je ne discerne pas Emmanuel Macron.

En matière de lutte contre les juifs, je suis partisan d’un large œcuménisme. Après tout, nous souffrons tous sous les juifs, peu importe notre sensibilité politique.

L’extrême-gauche anarchiste, malgré un surmoi marxiste, est parfois capable de s’émanciper de la tyrannie hébraïque. Du moins, dans certains segments marginaux.

Les plus grandes heures de l’anarchisme ont rimé avec une haine féroce de la youtrerie, il faut le rappeler. Les accents particulièrement antisémites des écrits d’un Lorulot m’ont souvent enthousiasmé de par leur sincérité militante.

Il faut rappeler que la lutte contre l’imposture des chambres à gaz a débuté avec le très respecté Roger Garaudy, partisan antifasciste durant la guerre et député communiste en 1945, qui a très vite compris l’OPA hostile mené par les juifs sur l’ensemble de l’histoire de Seconde Guerre Mondiale.

 

Si ce n’était la question raciale, nous aurions beaucoup de choses à nous dire avec les anarchistes et les révolutionnaires socialistes non-marxistes. S’il en existe encore car, pour l’essentiel, ils ont été absorbés par des sangsues de l’Education Nationale et des YouTubeurs homosexuels.

Je ne crois pas qu’un seul gauchiste contemporain ait l’estomac assez solide pour absorber les leçons d’un Blanqui qui disait « le suffrage universel, c’est l’intronisation définitive des Rothschild, l’avènement des juifs ».

Blanqui m’a immédiatement frappé comme un homme hors du commun dont le socialisme authentiquement aryen peut être mis sur un pied d’égalité avec celui d’un Adolf Hitler.

Le banquiste Ernest Granger, rédacteur de « Ni Dieu Ni Maître », écrit : « Nous aussi, après Blanqui et Tridon, nous sommes, philosophiquement, des antisémites. Nous pensons que le sémitisme a été funeste au génie aryen et nous déplorons que le sombre, persécuteur, impitoyable monothéisme juif ait triomphé des libres et naturalistes religions gréco-romaines. A cet égard, nous sommes même beaucoup plus antisémites que Drumont et Morès, car nous, nous n’oublions pas que le christianisme est une religion sémitique, fille du judaïsme, et nous avons une égale horreur du juif Jésus et du juif Moïse ».

Le communard blanquiste Gustave Tridon pourrait écrire dans nos colonnes. En 1886, il tonne dans son livre « Le molochisme juif » : « Les Sémites, c’est l’ombre dans le tableau de la civilisation, le mauvais génie de la terre. Tous leurs cadeaux sont des pestes. Combattre l’esprit et les idées sémitiques est la tâche de la race indo-aryenne ».

L’antisémitisme a cette vertu de rendre toute idée pure, saine, hygiénique.

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