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Captain Harlock
Démocratie Participative
20 mars 2019
L’immense Brigitte Bardot est une lectrice régulière de Démocratie Participative dont elle nous a confié « aimer le ton sans fioritures qu’on trouve habituellement dans la presse des pédés qui nous gouvernent ».
Nous avons pris ça comme le meilleur des compliments mais n’en avons pas fait état jusqu’à présent.
A présent que l’icône du cinéma français d’avant l’apocalypse raciale a décidé d’assumer son statut de contributrice officielle du site, nous pouvons le révéler à nos lecteurs.
Dans une lettre adressée au préfet de La Réunion, Brigitte Bardot s’en prend ouvertement aux habitants de l’île, auxquels elle reproche de maltraiter les animaux en employant des termes violents : « Population dégénérée », « traditions barbares », « île démoniaque ». L’Etat portera plainte si « cette lettre s’annonce authentique ».
L’ancienne icône du cinéma, Brigitte Bardot, connue aujourd’hui pour son combat militant contre la maltraitance animale vient de franchir la ligne rouge. Dans un courrier écrit de sa main, datant du 18 mars, adressé au préfet de La Réunion, l’actrice explique être « débordée, envahie par des lettres dénonçant la barbarie que Les Réunionnais exercent sur les animaux« .
Il y a une ligne rouge en France, au cas où vous l’ignoreriez.
Elle estime que « les autochtones ont gardé leurs gènes de sauvages » allant même jusqu’à parler « des réminiscences de cannibalisme des siècles passés ». Elle évoque encore « une population dégénérée encore imprégnée des coutumes ancestrales, des traditions barbares qui sont leurs souches ».
Brigitte Bardot, 84 ans, parle encore d’une « île démoniaque » et pointe du doigt le sort prétendument réservé aux chiens et aux chats, ainsi que les « fêtes indiennes Tamoul avec décapitations de chèvres et boucs en offrande à leurs Dieux et dont les abats jetés à la mer attirent les requins ».
Je ne vois pas comment la presse juive va nier ça.
Le plus probable est qu’elle ne va même pas chercher à le nier.
Parce que tout est vrai.
Elle va simplement faire résonner ses tambours de guerre pour exciter la haine de tout ce que compte la France de vermines des colonies d’Outre-Mer et de machins marrons excités par l’odeur du sang français.
A commencer par ces sales juifs qui contrôlent le gouvernement.
Brigitte Bardot qualifie les Réunionnais de « barbares » et de « population dégénérée » : « Il faut ne rien laisser passer en matière de racisme », répond @MarleneSchiappa.@audrey_crespo @nikosaliagas #europe1 pic.twitter.com/uHD7Lz3EGJ
— Europe 1 ? (@Europe1) 20 mars 2019
Le préfet de La Réunion, plusieurs personnalités politiques et membres d’associations devraient porter plainte dans la journée contre les propos racistes de Brigitte Bardot énoncés dans une lettre envoyée à Amaury de Saint-Quentin.#bardot #racisme #LaReunion pic.twitter.com/VvZfyGzUiv
— Le Quotidien (@lequotidien) 20 mars 2019
« Population dégénérée », « traditions barbares », « île démoniaque » : les propos racistes de @brigitte_bardot à l’encontre des habitants de l’île de La Réunion sont intolérables, raison pour laquelle @SOS_Racisme va déposer plainte. https://t.co/T0pf14xlHS
— SOS Racisme (@SOS_Racisme) 19 mars 2019
Brigitte n’en a bien évidemment rien à foutre.
Pas davantage que nous à chaque fois que nous rappelons à ces sous-races dégueulées par l’Enfer ce qu’elles sont. Répression juive ou pas.
Pour le système, Bardot est un cauchemar. Pour plusieurs raisons.
La première, c’est qu’elle est un mythe vivant d’envergure mondiale étroitement associé à l’époque où les gens savaient situer la France sur un globe terrestre. Les juifs savent ça et manient avec la plus grande précaution tout clash frontal la concernant pour éviter un violent retour de manivelle dans l’opinion publique internationale. Dit autrement : elle est intouchable.
Ensuite, c’est une femme blanche dont la beauté est gravée pour toujours sur image. Les gens en général, les femmes en particulier, éprouvent les plus grandes difficultés à haïr quelqu’un de beau. Si vous cherchez à faire haïr les opinions de Bardot, le réflexe du quidam est de se dire, « comment une personne dont la beauté me fascine peut être repoussante ? ». Et les gens oublient ce qu’elle dit et finissent par ne retenir que sa beauté. Vous vous retrouvez avec des gens qui relativisent ce qu’il faut a contrario dramatiser à outrance.
Faites comme vous voulez, mais avec une gueule comme ça, vous pouvez appeler au meurtre systématique des juifs et des crouilles et avoir des dizaines de milliers de femmes qui vous demanderont comme faire si cela leur permet de coucher avec vous.
Bardot, c’est aussi l’archétype de la femme émancipée contemporaine. Elle fume, assume sa sexualité et joue à égalité dans le monde des hommes. Vous ne pouvez pas hurler partout et tout le temps que les femmes dominatrices sont le nec plus ultra de la démocratie avancée et chercher à mettre en boîte celle qui incarne ce que vous proposez matin, midi et soir.
Enfin, Bardot, forte de sa stature, dit ce que les Français pensent. Tout simplement.
Les juifs vont tout simplement se prendre les pieds dans le tapis avec leur procès de Moscou antiracistes.
Franchement, d’ici peu de temps, tout le monde aura passé une fois devant un juge pour propos racistes. Comme jadis les excès de vitesse.
Nous en sommes arrivés à ce point phénoménal où ce qui est beau a été éclipsé par la pire sauvagerie, désormais protégée par l’Etat.
Ces photos nous semblent déjà irréelles en elles-mêmes.
Ce n’est qu’à force d’imagination que l’on parvient à les associer vaguement à la France, à la culture française, à ce qu’étaient des Français.
Au rythme où vont les juifs, nous aurons bientôt des sacrifices animistes organisés par les races du sous-continent indien en plein Paris.
Oui, je sais…
Et après ça, il faudrait encore complaire aux youpins et aux hordes de sauvages marrons en les vénérant.
Aucune chance.
Que ces races diaboliques aillent se faire enculer.
