Captain Harlock
Démocratie Participative
17 août 2019
Israël est un état suprémaciste et ségrégationniste qui prospère sur la haine des peuples de couleur.
C’est désormais visible pour tout le monde.
Dans un premier temps, les autorités israéliennes avaient décidé d’autoriser la visite de deux députées démocrates américaines, Ilhan Omar et Rashida Tlaib, en Israël et en Cisjordanie. Avant de changer d’avis jeudi et de leur interdire l’entrée sur le territoire, les accusant «de provocations et de promotion du BDS» (Boycott, désinvestissement et sanctions), cette campagne internationale appelant au boycott économique, culturel ou scientifique d’Israël pour protester contre l’occupation des territoires palestiniens.
Vendredi, le ministre de l’Intérieur israélien annonçait finalement qu’il allait autoriser la venue de Rashida Tlaib, d’origine palestinienne et qui devait visiter sa famille en Cisjordanie, pour motif «humanitaire». Selon un communiqué du ministère de l’Intérieur, la députée du Michigan a «promis de ne pas faire avancer la cause du boycott contre Israël durant son séjour». Mais quelques heures plus tard, nouveau rebondissement : Rashida Tlaib annonce, sur Twitter, qu’elle refuse de se rendre en Israël dans ces «conditions oppressives», accusant l’Etat hébreu de vouloir l’«humilier», de la «forcer à [s]’incliner devant ses politiques racistes», de la «réduire au silence et de [la] traiter en criminelle».
Insoutenable.
« Me réduire au silence et me traiter comme une criminelle n’est pas ce qu’elle veut pour moi. Ça tuerait une part de moi. J’ai décidé que rendre visite à ma grand-mère dans ces conditions oppressantes allait à l’encontre de tout ce que je crois — la lutte contre le racisme, l’oppression et l’injustice. »
Silencing me & treating me like a criminal is not what she wants for me. It would kill a piece of me. I have decided that visiting my grandmother under these oppressive conditions stands against everything I believe in–fighting against racism, oppression & injustice. https://t.co/z5t5j3qk4H
— Rashida Tlaib (@RashidaTlaib) August 16, 2019
Empêcher une femme de voir sa grand-mère avant qu’elle ne disparaisse, c’est un acte de cruauté que seuls ces démons de synagogue auraient pu concevoir.
« Ma grand-mère garde les pieds sur terre.
« Interrogée sur Donald Trump et ses attaques répétées contre sa petite-fille, elle a balayé la question. « Je ne le connais pas, » dit-elle. « Je m’en fiche. » »
My grandmother always keeps it real. ⬇️?
« When asked about Donald Trump and his repeated attacks on her granddaughter, she brushed off the question. “I don’t know him,” she said. “I don’t care.”https://t.co/fW1oZkqRqw
— Rashida Tlaib (@RashidaTlaib) August 16, 2019
Ces juifs racistes et haineux prennent un plaisir sadique à torturer psychologiquement des femmes de couleur sans défense.
En même temps, ce n’est pas étonnant de la part de ce peuple d’esclavagistes.
Cette race d’escrocs pensait s’en sortir comme à l’accoutumée en se posant en victime dans sa presse.
Les deux députées, premières femmes musulmanes élues au Congrès et figures de l’aile gauche du parti démocrate connues pour leurs positions propalestiniennes et leur opposition farouche à Donald Trump, devaient atterrir ce week-end à Tel-Aviv.
«L’autorisation, par Israël, de la visite des représentantes Omar et Tlaib serait un grand signe de faiblesse. Elles détestent Israël et le peuple juif, et il n’y a rien qui puisse être dit ou fait qui les fera changer d’avis», avait tweeté le président américain, peu avant l’annonce du revirement de l’Etat hébreu jeudi, à propos de ses deux bêtes noires. Mi-juillet, il avait intimé à ces citoyennes américaines issues des minorités de «rentrer dans leur pays». Pour l’élue du Minnesota Ilhan Omar, pas de doutes : cet «affront» du Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou a été décidé «sous la pression de Donald Trump», affirme-t-elle dans un communiqué.
La décision des autorités israéliennes de barrer l’accès à des élus du Congrès des Etats-Unis, premier allié d’Israël, était inédite. L’Etat hébreu accueille régulièrement des délégations américaines – 72 députés, dont 41 démocrates, y étaient cette semaine –, symbole de la proximité entre les deux pays. «Israël est ouvert aux visites à une exception près, celle de gens appelant et militant pour son boycott», avait rétorqué Benyamin Nétanyahou, en pleine campagne à un mois des élections législatives.
Cela ne va pas fonctionner, Bibi.
Les gens marron n’aiment pas qu’on les humilie en leur imposant un parcours tracé sous la supervision d’un rabbin. Cela ne fonctionne qu’avec les Blancs, les Boomers blancs.
Et les arabes internés dans leur propre pays, si on les braque avec des M-16.
Le lobby suprémaciste juif ne peut plus jouer sa carte antiraciste avec ces femmes de couleur.
Peu importe comment il s’y prend.
Dommage que #RashidaTlaib et #IlhanOmar n’aillent pas en #Israël ! Auraient vu un « apartheid » avec Arabes au parlement, presse antisioniste libre, Cour suprême anti Netanyahu, Miss Israel éthiopienne, gay prides et femmes habillées comme bon leur semble https://t.co/QoJWBGQxYX
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) August 16, 2019
Ces fameux éthiopiens.
Ceux que les juifs abattent en pleine rue.
Ils n’ont pas l’air aussi enthousiastes que ce que Lévy en dit.
Ces femmes de couleur sont désormais l’avenir démographique de l’Amérique.
Israël dépend intégralement des USA pour survivre.
Il va donc falloir que ces juifs apprennent à faire preuve de plus d’humilité dans les décennies à venir.
Selon le Premier ministre israélien, leur itinéraire (Bethléem, Hébron, Ramallah, ou encore l’esplanade des Mosquées, à Jérusalem) «révélait que l’unique objectif de leur visite était de renforcer le boycott contre [le pays] et de contester la légitimité d’Israël». Le ministère de l’Intérieur avait justifié sa décision sur la base d’une loi votée l’an dernier à la Knesset, le Parlement du pays, permettant d’interdire l’entrée sur le sol israélien aux partisans du mouvement BDS, que le gouvernement assimile à une menace stratégique. L’ambassadeur américain en Israël, David Friedman, a soutenu la décision israélienne, affirmant que le pays «avait tous les droits de protéger ses frontières» contre les promoteurs de boycotts.
L’entité juive ne semble avoir aucun problème avec le boycott des arabes qu’elle interne dans des camps de concentration à ciel ouvert et placent sous embargo.
Les gens de couleur vont devoir admettre que les juifs ne leur font du pied que pour tourmenter les Blancs. Cela n’en fait pas les égaux des juifs pour autant, simplement des domestiques.
Maintenant que les populations colorées sont pratiquement majoritaires en Amérique, elles vont devoir procéder à une révision globale de leur approche de la question juive.
C’est d’ailleurs à l’ordre du jour.
« Comme beaucoup de mes collègues l’ont dit au cours des dernières 24 heures, nous donnons à Israël plus de 3 milliards de dollars d’aide chaque année. C’est censé être en raison du fait qu’il serait un allié important dans la région et la » seule démocratie » du Moyen-Orient.
Refuser des visites à des membres dûment élus du Congrès n’est pas cohérent avec le fait d’être un allié ou une démocratie. Nous devrions utiliser cette aide comme moyen de pression pour mettre fin aux colonies de peuplement et garantir tous les droits des Palestiniens. »
Denying visits to duly elected Members of Congress is not consistent with being either an ally or a democracy. We should be leveraging that aid to stop the settlements and ensure full rights for Palestinians.
— Ilhan Omar (@IlhanMN) August 16, 2019
Les juifs ont pu gagner sur les deux tableaux tant qu’ils avaient des Boomers à sidérer avec cette histoire de chambre à gaz nazie.
Avec l’arrivée de la nouvelle génération et le basculement démographique, cette époque touche à sa fin.
Les juifs vont être systématiquement amenés à répondre de leur soutien à Israël. Un soutien uniquement motivé par leur croyance en la victoire finale de la domination juive sur l’humanité.
Mais les temps changent et le golem qu’est l’immigrationnisme diversitaire vient finalement les visiter.
Les juifs ont toujours eu un mauvais karma.