Wolf
Démocratie Participative
09 octobre 2017
L’état criminel républicain s’est livré à la répression sauvage de deux jeunes Français qui avaient manifesté de manière parfaitement anodine leur opposition à l’assaut djihadiste contre la France.
Pire, il a ordonné à ceux-ci de verser sur le champ des « réparations » aux Frères Musulmans du CCIF, une organisation djihadiste internationale.
Deux jeunes habitants de Pont-de-Beauvoisin (Isère) ont été condamnés ce jeudi à 3 et 6 mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Bourgoin-Jallieu pour avoir accroché une tête de sanglier à la porte de la petite salle de prière musulmane de leur village.
Les deux jeunes de 20 et 22 ans étaient poursuivis pour provocation à la haine raciale en lien avec la religion. Les deux jeunes hommes avaient reconnu les faits en garde à vue puis lors de l’audience en septembre, plaidant une « mauvaise blague » sur fond de soirée trop alcoolisée.
Fin juillet, circulant dans une voiture avec trois autres amis, ils avaient percuté un sanglier. Après avoir ramassé l’animal mort, ils l’avaient dépecé et congelé la viande. Quant à la tête, l’un des prévenus avait proposé de la déposer devant la salle de prière qui, sans aucun signe ostentatoire, est toutefois connue de tous dans ce village.
Seul le jeune homme compère de 23 ans avait suivi l’idée, tandis que les trois autres s’étaient désolidarisés de l’entreprise. Au matin, des fidèles estomaqués avaient fait la sanguinolente découverte en venant pratiquer leur culte. L’enquête n’avait pas mis 48 heures pour retrouver les auteurs de cette provocation, un délit passible de cinq ans d’emprisonnement.
Outre la peine de prison avec sursis, les deux coupables devront verser 2.000 euros à l’Association du Juste milieu, qui gère le lieu, et 2.000 euros à l’association de Défense des Droits de l’Homme – Collectif contre l’Islamophobie en France, qui s’étaient toutes deux constituées parties civiles. Ils devront aussi payer 1.000 euros de frais de justice.
« Hé ho là, fâcher nos frères arabes, ça coûte cinq ans mon petit gars ! ». J’abhorre cette façon qu’ont ces larbins du pouvoir que sont les journalistes de rappeler systématiquement au peuple ce qu’il en coûte de défier l’ordre établi.
En outre, la purge des magistrats rouges devient une urgence politique absolue.