La rédaction
Démocratie Participative
18 mars 2024
Kusti Salm est un voleur estonien
La victoire de l’Ukraine est certaine, il faut simplement lui donner beaucoup plus d’argent.
Kusti Salm, secrétaire permanent du ministère estonien de la défense, a déclaré que 120 milliards d’euros par an d’aide militaire est « un montant généreux qui devrait suffire à permettre à l’Ukraine de gagner la guerre ».
« suffire » n’est pas le premier mot qui vient à l’esprit quand on entend parler de 120 milliards d’euros par an.
Cette somme colossale proviendrait invariablement presque entièrement des contribuables occidentaux, qui doivent déjà s’acquitter d’un montant avoisinant les 150 milliards d’euros.
M. Salm a suggéré que ce montant soit fourni à l’Ukraine, au moins en partie, par le biais d’emprunts conjoints de l’UE sur les marchés financiers, comme ce fut le cas pour le fonds de reconstruction et les 50 milliards d’euros d’aide votés cette année. Depuis des mois, les hommes politiques estoniens insistent sur le fait que pour que l’Ukraine gagne la guerre, il suffit que les alliés occidentaux consacrent chaque année 0,25 % de leur PIB à l’aide militaire à l’Ukraine. Selon les calculs de l’Estonie, cela correspondrait à peu près au montant susmentionné.
« Avec cet argent, l’Ukraine pourrait épuiser la Russie d’ici 2025 », affirme M. Salm.
Plus que 120 milliards d’euros, goy, et c’est gagné l’an prochain ! (à Jérusalem).
Il estime toutefois qu’il ne peut en être ainsi, étant donné qu’à l’heure actuelle, les alliés occidentaux dépensent deux fois moins que la Russie pour la guerre, selon le média hongrois Mandiner.
M. Salm est conscient que » certains pays ont dit que ce n’était pas abordable « , mais c’est pourquoi ils soulignent la possibilité d’une émission d’obligations commune : il n’y aurait pas besoin de payer ce montant énorme sur les budgets nationaux si la Commission européenne l’empruntait simplement au nom des Etats membres. Selon Euractiv, la question pourrait être à l’ordre du jour du prochain sommet de l’UE, car l’idée est soutenue par les Estoniens, les Belges, les Français et le président de l’UE Charles Michel.
« Les soutiens s’accumulent rapidement, a déclaré M. Salm à Euractiv, notant que le scénario de l’emprunt est apparemment beaucoup plus attrayant que de trouver 120 milliards d’euros dans nos budgets nationaux.
S’endetter auprès des banquiers de New York, avec un généreux taux d’intérêt : c’est le prix de la démocratie.
Toutefois, si un pays trouvait encore le montant trop élevé, le fonctionnaire estonien offre une réponse rassurante : « Ce montant peut sembler élevé, mais il reste inférieur d’un ordre de grandeur au risque potentiel. »
Des inquiétudes ont été exprimées quant à la corruption en Ukraine, une grande partie des milliards déjà envoyés dans le pays n’ayant pas été comptabilisée. Le pays, qui était déjà l’un des plus corrompus au monde avant la guerre, est considéré comme encore moins transparent qu’auparavant en raison du chaos de la guerre.
Personne ne sait précisément pourquoi l’Estonie, avec le PIB de l’Allier, se met à réquisitionner l’argent de tout le monde pour remplir les poches de la mafia ukrainienne.
Ce qui est certain en revanche, c’est que ce racket pour maintenir en vie ce pays zombie est virtuellement sans fin. Il n’y a plus de gouvernement ukrainien, il y a seulement des employés de la CIA. Si l’argent cessait d’arriver, les Ukrainiens déposeraient les armes dans les 48 heures.
C’est qui est arrivé au Sud Vietnam en 1975.
Il y a toutefois un facteur de plus, celui des hommes disponibles en Ukraine pour se faire tuer. La situation est critique et l’argent ne suffira pas pour la gérer.
Il faut être raisonnable, cesser de donner notre argent durement gagné à Zelensky et le laisser régler ses histoires avec le président Poutine, triomphalement réélu.
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