L’Espagne monte un hôpital de campagne de 5500 lits tandis que l’armée française peine à monter sa tente pour 30 patients

Captain Harlock
Démocratie Participative
23 Mars 2020

 

Que Coronachan soit une épidémie dévastatrice ou un virus à la dangerosité exagérée par les médias, le résultat reste le même pour la France.

Tout le monde a vu en direct la déliquescence de l’Etat, gangrené par des décennies de corruption, d’inflation bureaucratique, de gabegie et de lente tiers-mondisation raciale.

L’Espagne est capable d’une riposte impensable en France.

Son armée a construit un camp de plusieurs milliers de lits à Madrid.

L’armée française lutte pour installer 30 lits et il faut pas moins de dix jours pour le rendre opérationnel.

Ce dont la rombière féministe mandatée par Macron pour jouer au ministre des Armées est très fière.

Tout ça dans un contexte où la France n’est même pas saturée. Car la France n’est pas saturée.

Pour donner le change, Macron a donné l’ordre à quelques machines de l’armée de tourner pour les caméras.

Comme en Corse.

C’est absurde. On ne mobilise pas un navire de cette taille pour déplacer 12 personnes.

C’est un coup de com’ de Macron pour essayer d’impressionner l’opinion publique. Mais ça ne prend pas.

La réalité est aussi simple qu’inavouable : le peu de ressources qui restent à l’armée française est dédié à la protection des juifs.

Et je ne parle pas de ces fameux masques qui arriveront des semaines et des mois trop tard.

Cette débandade étatique démontre que cette république juive n’a comme seule fonction que de se survivre à elle-même tout en continuant de piller au maximum le bétail que sont les contribuables blancs.

Et ce n’est qu’un tout petit aperçu de ce qui vient avec le remplacement démographique organisé à marche forcée par les élites qui contrôlent le pays.

D’ici 20 ans, la France sera un état africain.

Dans un pays où des dizaines de millions de gens ont été élevés dans le mythe de la toute-puissance de l’Etat, se retrouver du jour au lendemain abandonné dans son appartement est un choc considérable.

Le peu de confiance qui existait s’est effondrée.

Tous les jours, les gens guettent les informations et découvrent de nouveaux aspects de l’impuissance du système.

En pleine panique, les prisons et les centres de rétention de migrants clandestins sont vidés. Les dealers de dope continuent de circuler dans leurs quartiers.

Mais l’Etat s’acharne sur les Blancs pour donner l’illusion de sa force.

Hormis les cas sociaux et les Boomers accrochés à leurs retraites, plus personne ne fera confiance à l’Etat pour sa survie. Ni face aux égorgeurs d’Allah, ni pour sa santé ou l’éducation de ses enfants.

Les Blancs ne pourront compter que sur eux-mêmes pour s’en sortir.