La rédaction
Démocratie Participative
29 juillet 2022
Il est temps de rendre l’Espagne aux musulmans en échange de quelques plongeurs.
Une véritable politique prolétarienne mise en place par les socialistes et le patronat espagnols.
LCI :
Malgré l’un des taux de chômage les plus élevés de la zone euro, l’Espagne manque cruellement de main d’œuvre. Le gouvernement espagnol a adopté ce mardi une réforme facilitant le recours à l’immigration dans le pays, confronté à une pénurie de personnel dans plusieurs secteurs d’activité, dont le tourisme et l’agriculture. Adoptée en Conseil des ministres, cette réforme prévoit « plusieurs mesures d’envergure », destinées à « encourager une immigration régulière, ordonnée et sûre », a assuré le ministre de la Sécurité sociale José Luis Escriva.
Le texte facilite notamment la régularisation des immigrés sans-papiers présents sur le territoire espagnol depuis plus de deux ans. Ils pourront ainsi occuper légalement un emploi ou bénéficier d’une formation dans les secteurs où existent de nombreux emplois non pourvus. Cette réforme simplifie aussi l’accès au marché du travail pour les étudiants étrangers. Ils seront autorisés à travailler jusqu’à 30 heures par semaine durant leurs études, puis à intégrer le marché du travail après leur formation sans avoir obligatoirement vécu au préalable trois ans en Espagne.
Elle favorise également le regroupement familial et l’octroi de visas de travail dans les secteurs d’activité sous tension, avec une simplification et une uniformisation des démarches administratives à accomplir.
Ces mesures vont « améliorer le modèle migratoire espagnol et ses procédures, souvent lentes et inadaptées », « ce qui génère de longues périodes d’irrégularité » pour les immigrés, « avec des coûts sociaux et économiques élevés » pour l’Espagne, souligne le ministère.
L’Espagne, qui possède l’un des taux de chômage les plus élevés de la zone euro, à 13,65%, est pourtant confrontée depuis plusieurs années à un manque de main d’œuvre dans certains secteurs d’activité, comme l’hôtellerie, l’agriculture, le bâtiment ou les transports. Ce phénomène, qui s’est accru depuis la pandémie de Covid-19, est régulièrement pointé du doigt par les entreprises de ces secteurs, qui disent peiner à recruter des salariés, ce qui limite leurs perspectives de croissance.
C’est le rêve de Davos : en parallèle à la délocalisation vers le tiers-monde de tout ce qui peut l’être, l’oligarchie importe le tiers-monde pour tout ce qui ne peut pas l’être : la plonge et laver les toilettes.
C’est comme ça que l’on se retrouve sans industrie, repeuplés de livreurs Uber Eats et Deliveroo somaliens.
Les économies européennes criblées de dettes et écrasées d’impôts refusent de payer décemment pour recruter, c’est la raison pour laquelle il n’y a pas de demande organique pour ces emplois. Avec l’effondrement démograhique européen engendré par le féminisme total, l’importation du tiers-monde pour combler le manque de larbins est encore plus pressante pour le capital apatride.
Ma philosophie est la suivante : s’il faut soi-disant importer l’Afrique pour quoi que ce soit, il faut s’en passer car le coup racial est infiniment supérieur au profit à court terme généré pour le patronat et le fisc.
Les bobos ont besoin d’Uber Eats, pas les travailleurs blancs.
Quant aux restaurants, c’est le même principe. Le fonctionnement des restaurants est sans importance. Nous nous en sommes passés pendant des millénaires, nous pouvons nous en passer pendant des millénaires.
Comme des allogènes en somme.
Ces discours patronaux soutenus par les marxistes ne satisfont que les juifs. Si l’on ferme les frontières, les salaires monteront verticalement. C’est que la gauche et la droite immigrationnistes essaient d’empêcher à toute force.