Captain Harlock
Démocratie Participative
10 juillet 2019
L’échec final de l’ingénierie féministe
Les féministes grasses du cul et les femelles de couleur ragent à fond.
Le site pornographique xHamster a réalisé une enquête d’opinion auprès de ses utilisateurs masculins du monde entier pour déterminer « la femme parfaite » et la réponse n’est pas du tout conforme aux attentes des vaginocrates.
L’Obs :
Les clichés sexistes sur les canons de beauté féminins ont la vie dure. Cette fois-ci, c’est l’initiative du site porno xHamster qui nous le prouve. Le site a demandé à 50 000 membres d’imaginer la « femme parfaite ».
Le résultat c’est « Shy Yume », une simulation réaliste en 3D des réponses des usagers, qui – est-ce vraiment surprenant -… cumule toute une série de clichés sexistes. La « femme parfaite » (des utilisateurs de xHamster, rappelons-le), qui a maintenant son propre compte Instagram, a donc 25 ans, elle fait 1m65, a les cheveux raides et sombre et des yeux bleus perçants. Elle est eurasienne et a des courbes mais une poitrine, une taille et un derrière de taille « moyenne ». Elle est enfin intégralement épilée, bisexuelle et n’est pas féministe. Tiens donc !
Au final, les caractéristiques de Shy, dont le prénom, qui n’a pour le coup pas été soumis au vote des utilisateurs, signifie « timide » en anglais et infuse au personnage un caractère docile, ne surprennent personne. Pour Slate qui s’est fait l’écho de cette surprenante initiative, Shy est tout bonnement « une machine qui englobe tous les fantasmes masculins, entre sexisme et fétichisation raciste et bisexuelle ».
Si 38 % des utilisateurs interrogés ont affirmé que leur femme parfaite était plutôt blanche, xHamster a décidé de faire de son modèle une métisse eurasiatique. Pour 25 % des sondés, la couleur de peau n’avait pourtant pas d’importance, et en troisième position, une personne sondée sur dix disait préférer une Asiatique. Ajoutez à cela le nom Shy (qui signifie donc « timide »), et cette simulation de la femme parfaite perpétue de vieux clichés, selon l’historienne de Princeton Beth Lew-Williams, interrogée par Cosmopolitan.
Cette histoire de femme eurasiatique, c’est des conneries.
La très grande majorité des sondés, à travers le monde, voulaient une femme de race blanche.
Cumulées, les femelles noires, asiatiques, hispaniques, indiennes, orientales ou métisses n’arrivent même pas à dépasser la popularité globale des femmes blanches.
Autant vous dire que les négresses le vivent très mal du haut de leurs pitoyables 8%.
Et dire que ces négresses putrides viennent ensuite baver sur le thème des « canons de beauté blancs imposés par l’Occident ».
Gravez-vous bien ce chiffre dans la tête : négresses 8 – Blanches 38 (en extérieur).
XHamster a très probablement imposé cette histoire d’eurasienne pour promouvoir le mélange racial auprès des Blancs.
Le site l’a également fait pour éviter l’inévitable accusation de promouvoir la beauté blanche au détriment des femelles marron. Ce qui se serait produit si son modèle final avait été une Blanche.
Mais comme ce site reste une machine commerciale, aller trop frontalement contre les résultats du vote aurait fortement déplu aux sondés. Cette « eurasienne » est donc pratiquement blanche.
Autre point crucial : pas de place pour les bourrelets ou la culotte de cheval-Nutella.
Quand je pense à toutes ces poufiasses blanches qui pensent que les canons de beauté en vogue sont ceux qu’imposent les producteurs de rap juifs, je rigole.
Désolé, personne ne veut de bouteilles d’Orangina d’Afrique, ça n’existe pas.
Des millénaires d’évolution ne s’effacent pas par quelques grosses campagnes de publicité sur YouTube.
« L’image d’une femme eurasienne soumise et hypersexualisée est particulièrement perturbante car elle se fonde sur d’anciens fantasmes orientalistes. L’Occident a longtemps perçu l’Orient et ses habitants comme féminins, serviles et prêts à la consommation. »
Lol.
Sauf que les utilisateurs de ce site se retrouvent dans le monde entier.
Wikipédia indique par exemple que le site est suivi aussi bien en Turquie qu’en Thaïlande et ailleurs.
Et surtout, cette histoire d’Asie est une invention de xHamster. C’est leur équipe qui a imposé ce mème.
Ces folles ne savent même pas ce qu’elles disent, elles se contentent de rager sans même avoir étudié les résultats.
De toute façon, qu’est-ce que cherchent à insinuer ces lesbiennes ? Que les mâles d’Irak ou du Pakistan veulent des femmes fortes et indépendantes ?
Oui, non.
Ajoutez à cela sa sexualité, qui pour certains commentateurs, comme Alice la cofondatrice du compte Instagram Paye Ta Bi interrogée par Slate, est un choix qui répond avant tout aux désirs sexuels d’hommes hétérosexuels :
« Elle est bisexuelle pour être disponible pour des plans à trois mais pas avec deux hommes. Seulement pour le plaisir de l’homme hétérosexuel en faisant l’amour avec lui et une autre femme. »
Ainsi, « la femme parfaite » est bisexuelle pour 40 % des interrogés et hétérosexuelle pour 34 %, mais lesbienne que pour 5 % d’entre eux, ce qui laisse probablement présager du profil démographique des sondés.
Ouais.
Ce truc d’avoir d’innombrables gonzesses dans son lit est populaire chez les mecs mais ce n’est pas de la « bisexualité ».
C’est de la polygamie.
Tout le monde hait les goudous.
Quand les mecs répondent « bisexuelle », ils pensent simplement à leur butin de guerre. Et uniquement au niveau sexuel.
Aucun type rationnel ne veut vivre avec deux ou trois femmes.
Il faudrait avoir une case en moins.
C’est probablement ce qui doit rendre fous les bougnoules. La polygamie réelle.
Et puis il y a ses opinions sur l’égalité entre les hommes et les femmes. Pour 60 % des intéressés, la « femme parfaite » n’est pas féministe. Pas chiante, quoi.
Ha !
Les hommes veulent des femmes féminines, en effet.
C’est-à-dire obéissantes, sexuellement disponibles et soucieuses du bien-être de leur homme comme de leur foyer.
Et gentilles.
Quelque chose d’assez éloigné de la Française type en 2019.
Pour les pétasses émancipées, cette définition se traduit dans leur cervelle par un mot :
EFFORT
Un terme terrifiant pour ces garces progressistes qui entendent dominer les mâles pour ne rien foutre et non pas être placées à leur service.
Face à la polémique, Shy, qui, on le rappelle, est un produit marketing créé par un site pornographique, s’est insurgée sur son compte Instagram contre l’interprétation qui aurait été faite de sa bisexualité dans les médias.
« on le rappelle »
Tiens, soudainement le libéralisme sexuel semble redevenir problématique.
« Vous, comme tant de biphobes et antiféministes avant vous, pensez que les bisexuels sont juste le produit du fantasme des hommes. Laissez-moi vous dire qui m’a fait bisexuel : d’autres bisexuels. Près d’un quart des utilisateurs de xHamster s’identifie comme bi, et 5 % sont gays ou lesbiennes. […] Et un tiers de nos utilisateurs sont des femmes. J’ai dû subir des commentaires biphobes dans nos commentaires, donc si vous pensez que je suis bisexuelle pour satisfaire les fans de porno, vous vous trompez. »
Difficile de vérifier les dires du faux mannequin « parfait », car xHamster n’a pas partagé en plus de détails les caractéristiques démographiques des personnes interrogées. On sait juste que ceux-ci proviennent de plus de 150 pays différents. Mais, quand dans son argumentaire « Shy » fait référence aux proportions d’utilisateurs n’étant pas des hommes hétérosexuels, elle se base sur l’ensemble des utilisateurs du site. On ne sait toutefois pas si la proportion est la même parmi les sondés.
C’est simplement du déminage marketing de xHamster qui savait très bien que les femelles colorées et les lesbiennes féministes fondraient un plomb.
Ils ont inventé ce concept d’esclave sexuelle blanche volontaire se déclarant « féministe ». Autant en faire la définition officielle du féminisme orthodoxe d’ailleurs.
En tout cas cette étude démontre que l’archétype de la femme désirée par les mâles blancs est invariable.
Il est temps d’en finir avec cette vaginocratie d’état qui n’engendre que de la frustration et de la misère sexuelle. Les hommes n’en veulent pas.
Soit ces femelles hystériques sont ramenées à la cuisine soit les femmes synthétiques capables de cloner des bébés aryens mâles les remplaceront d’ici 30 ans.