Sigmar Polaris
Démocratie Participative
05 décembre 2021
Bref aperçu des vaccinés de la semaine.
Dans sa maison de Colomiers Jean-Marc est toujours sous le choc. Il y a quelques jours, il a appris brutalement la mort subite de son frère qui travaillait comme surveillant à l’hôpital de la prison de Fresnes, en région parisienne. Un décès qui lui semble bien étrange. « Je l’ai eu au téléphone juste avant d’apprendre la nouvelle et dans la conversation que nous avons eue, il m’a expliqué qu’il avait des ganglions qui étaient apparus au niveau du cou », explique Jean-Marc à La Dépêche du Midi.
Il ne l’a pas revu vivant. Et il se pose aujourd’hui beaucoup de questions. « Mon frère est décédé quatre jours seulement après avoir reçu sa deuxième dose de rappel du vaccin Moderna sur son lieu de travail, en milieu hospitalier et les médecins n’ont rien pu faire, note Jean-Marc e. Les circonstances du drame ne sont pas claires. Ce qui est sûr, c’est que c’était un homme de 54 ans en pleine santé, un sportif, qui avait juste un problème d’hypertension, suivi de près par son médecin traitant ».
Alors que s’est-il passé au centre hospitalier de Fresnes et ce décès peut-il être mis en relation avec l’injection du vaccin Moderna ? « Comme mon frère est mort sur son lieu de travail, entouré d’ailleurs du médecin de garde, le directeur a demandé une autopsie et nous attendons les résultats », précise Jean-Marc. Ce décès suspect intervient au moment où la défiance du public à l’endroit du vaccin Moderna est de plus en plus grande.
Ce complotiste doute de la science.
La vaccination ne pose AUCUN danger.
Actu.fr :
Alors qu’il s’apprêtait à démarrer sa tournée de ramassage, le chauffeur d’un bus de transport scolaire est décédé ce jeudi 2 décembre 2021 vers 7 h 45 à Saint-Vaast-la-Hougue (Manche) sur la place Belle-Ile.
A l’arrivée du SMUR 50 et de quatre sapeurs-pompiers, depuis le centre de Valognes, l’homme de 55 ans était en arrêt cardio-respiratoire. Il avait été victime d’un malaise. Malgré les nombreuses tentatives de réanimation, il a été déclaré décédé sur place par le médecin du SMUR.
Dans un premier temps, l’hélicoptère de la sécurité civile Dragon 50 avait été engagé. Quelques minutes avant d’être annulé suite au décès du conducteur. Deux enfants se trouvaient à proximité du véhicule. Ils ont été pris en charge rapidement par leur mère, qui a averti les secours.
Et alors ?
Ce dimanche 28 novembre, aux alentours de 16 h 15, un homme de 55 ans, posté dans une cabane de chasse, sur la commune Biarne, est tombé brutalement au sol, victime d’un malaise cardiaque.
Ses camarades, présents sur place, ont tenté de lui prodiguer les premiers soins avant l’arrivée des secours. Las, le quinquagénaire, originaire de Jouhe, n’a pu être ranimé.
Sa dépouille a été transportée à Besançon, non pas pour une autopsie, la mort naturelle ne faisant aucun doute, mais pour un simple examen du corps.
La chasse est un loisir dangereux.
Ce dimanche matin, peu après 11 h, les secours de Cysoing sont intervenus. Ils avaient été appelés car un homme de 45 ans était en arrêt cardiaque sur la voie publique. À l’arrivée des secours, un témoin avait débuté le massage cardiaque. Malgré ces premiers secours prodigués et l’intervention rapide des secours, la victime a été déclarée décédée. Les moyens engagés ont été les suivants : une ambulance, un véhicule infirmier, soit quatre sapeurs-pompiers.
Il marchait trop !
La grande famille du 8eRPIMa vient de perdre l’un de ses anciens fidèles. Sybil Rougevin, 49 ans, est décédé le 15 novembre des suites d’un malaise cardiaque alors qu’il était sur un chantier à Albi.
Embauché en intérim depuis deux ans dans la société Benezech TP, son décès brutal a fortement marqué les salariés du bâtiment. « Il n’a jamais causé le moindre problème, il était ponctuel, travailleur », témoigne le directeur de l’entreprise albigeoise, encore marqué.
Originaire de Reims, il s’était engagé jeune dans l’armée, directement au 8eRPIMa. « Il était fier de son engagement. Sybil a toujours eu besoin d’adrénaline. Il a aussi trouvé dans l’armée une famille soudée qu’il n’a pas toujours eue. Ses anciens camarades étaient d’ailleurs à ses obsèques », confie avec humilité sa petite sœur Anne-Sophie. « Il était à la 3e compagnie, moi à la 4. C’était un super frère d’arme, on a fait des Opex ensemble, en Afrique surtout. Il avait toujours le sourire, c’était un bon chef, un bon gars. On était toujours en contact, je l’ai eu peu de temps avant son décès, on devait se voir… », se rappelle Sébastien, 44 ans, ancien du « 8 ».
Père de deux enfants, divorcé depuis le début des années 2000, Sybil Rougevin avait élu domicile à Puygouzon, après sa période castraise. « Je le voyais comme un héros. Il était solide, j’avais le sentiment que rien ne pouvait lui arriver même s’il était hypersensible. Il était protecteur, accueillant et avait le cœur sur la main », poursuit Anne Sophie, dernière d’une fratrie de trois dont Sybil était l’aîné.
Ce sont des choses qui arrivent.
Tragique début de semaine au supermarché Match d’Oignies. Ce lundi matin, quelques minutes après l’ouverture des portes, un client a été victime d’un malaise cardiaque en plein magasin.
Rapidement sur place, une équipe des sapeurs-pompiers d’Oignies, épaulés par le SMUR, lui a porté secours. Malgré les tentatives de réanimation, l’homme de 69 ans a été déclaré décédé par le médecin urgentiste. Le corps de la victime a ensuite été pris en charge par la police. Un examen devrait avoir lieu afin de confirmer les causes du décès.
N’oubliez pas de prendre votre troisième dose !