Captain Harlock
Démocratie Participative
13 décembre 2019
Il a plus vorace et dénué de scrupules qu’un juif.
Une femme qui couche avec un juif.
Un accord de principe a été trouvé pour indemniser des victimes présumées d’Harvey Weinstein, a indiqué mercredi à l’AFP l’avocat d’une d’entre elles, prévoyant le versement de quelque 25 millions de dollars à des dizaines de femmes accusant le producteur de cinéma d’abus sexuels. Cette transaction, révélée par le «New York Times» mais qui reste à valider par un juge, serait sans effet sur l’action contre Harvey Weinstein au pénal: le producteur doit comparaître en procès à partir du 6 janvier à Manhattan pour répondre d’accusations d’agressions sexuelles sur deux femmes, qui lui font risquer la perpétuité.
L’avocat Aaron Filler, représentant de l’actrice Paz De La Huerta, qui affirme avoir été violée par Harvey Weinstein en 2010, a confirmé à l’AFP qu’il y avait accord de principe. L’indemnisation de dizaines de victimes présumées de l’ancien magnat hollywoodien figure dans un document qui solderait l’ensemble des dettes, contentieux et obligations de The Weinstein Company, la société de production créée par Harvey Weinstein et son frère Bob.
Les femmes du show biz juif telles qu’elles se décrivent.
Telles qu’elles sont vraiment.
Au total, selon le «New York Times», les assureurs de l’entreprise, en dépôt de bilan, ont accepté de verser 47 millions de dollars aux victimes présumées de harcèlement et d’agression sexuelles, mais aussi aux créanciers du groupe. Harvey Weinstein n’aura pas à débourser le moindre dollar de la somme prévue, l’ensemble étant pris en charge par les compagnies d’assurance, y compris ses frais de justice au civil, selon le journal.
Si l’accord est validé, il mettra fin aux poursuites engagées par toutes les femmes qui en accepteraient les termes, les autres conservant leurs droits à réclamer réparation devant les tribunaux civils. Selon le «Wall Street Journal», il soldera aussi l’action engagée au civil par le procureur de l’Etat de New York contre les dirigeants de la Weinstein Company pour négligence. Plusieurs victimes du producteur ou leurs avocats ont immédiatement dénoncé les conditions de cet accord de principe. «Nous rejetons l’idée selon laquelle cet accord serait le meilleur possible pour les victimes», a commenté Douglas Wigdor, avocat de deux femmes affirmant avoir été agressées par le créateur du studio Miramax. L’avocat a indiqué que ses clientes n’entendaient pas renoncer à leurs poursuites en justice. «Si c’est ce que les survivantes (d’agressions) peuvent obtenir de mieux, le système ne fonctionne plus», a aussi déploré le mouvement de défense des droits des femmes Time’s Up, né peu après l’éclatement de l’affaire Weinstein.
L’imminence d’une transaction avec les victimes était annoncée depuis mai, mais plusieurs femmes avaient initialement indiqué qu’elles ne s’y associeraient pas.
Les rares traînées qui refusent pensent simplement pouvoir faire beaucoup plus de cash en allant devant les tribunaux.
Rien de plus.
« Ma vie est détruite, j’ai longtemps culpabilisé, plus rien ne sera comme avant«
« Ouiiii, trop canon le sac, je vais enfin pouvoir me le payer »
#MeToo, le hashtag des femmes qui sont surtout des putes.