Les traînées peuvent désormais assassiner leurs maris en toute impunité

Captain Harlock
Démocratie Participative
26 juin 2021

Si une garce tue de sang froid un homme, elle devient une star de la démocratie vaginocrate

Nous sommes désormais dans une vaginocratie totale.

Dans une vaginocratie totale, les traînées ont le droit d’abattre leurs maris en toute impunité avec l’appui plein et entier de la justice.

Le Point :

C’est un soulagement pour Valérie Bacot : elle ne retournera pas en prison. Le ministère public avait demandé la clémence pour elle, vendredi 25 juin 2021, et une condamnation sans réincarcération tenant compte du fait qu’elle avait été «  une victime  » d’un mari violent et proxénète qu’elle a fini par tuer. L’avocat avait ainsi requis cinq ans de prison, dont quatre avec sursis. Reconnue coupable du meurtre de son mari, Valérie Bacot a été condamnée à quatre ans de prison, dont trois avec sursis : elle va ressortir libre du tribunal, puisqu’elle a déjà effectué un an de prison en détention provisoire pour l’assassinat de son mari, d’octobre 2017 à octobre 2018.

L’accusée, souvent surnommée «  la nouvelle Jacqueline Sauvage  », a tué Daniel Polette le 13 mars 2016 d’une balle dans la nuque après plus de vingt-quatre ans de viols, de violences et de prostitution contrainte. Elle encourait la perpétuité. À l’écoute des réquisitions, Valérie Bacot s’était effondrée en larmes, perdant connaissance, visiblement épuisée. Les secours avaient été dépêchés pour la soigner et elle semblait recouvrer ses esprits en milieu de matinée. Un tonnerre d’applaudissements a éclaté à la lecture du verdict, certains proches de l’accusée fondant en larmes.

Aucune surprise, les juges sont elles-mêmes des traînées adeptes de la terreur ovarienne.

Lisant les motivations de la cour et du jury, la présidente Céline Therme a souligné qu’ils avaient retenu « la terreur » dans laquelle a vécu Valérie Bacot et les « multiples traumatismes de son enfance ». « Je voudrais remercier la cour », a déclaré Valérie Bacot à sa sortie du tribunal, d’une voix très faible. « C’est un nouveau combat maintenant pour toutes les autres femmes et toutes les maltraitances », a-t-elle ajouté, se disant non pas soulagée « mais vidée ».

L’avocat général semble avoir flairé une partie de l’arnaque.

Lorsqu’il posait des questions trop gênantes à cette garce, la présidente du tribunal intervenait systématiquement pour sortir la pute de ses contradictions.

Il a ramé contre le courant et il en était parfaitement conscient.

«  Une cour d’assises, c’est l’affirmation des valeurs de la civilisation qui sont d’abord de protéger la vie. Une société qui se fait justice soi-même, c’est la guerre des uns contre les autres  », avait estimé l’avocat général. «  Valérie Bacot est victime, très clairement mais c’est son procès, pas une tribune d’opinion  », avait-il ajouté. Toutefois «  un emprisonnement nouveau n’apportera pas plus d’éléments à la protection : la dangerosité criminologique est très faible  », avait expliqué Éric Jallet, estimant que «  la peine doit accompagner plutôt que de retirer à nouveau  ».

Le procès est truqué depuis le début.

Tout au long du procès, ouvert lundi, la défense a dépeint les «  violences extrêmes subies pendant près de vingt-cinq ans  » par Valérie Bacot et sa «  peur de les voir se perpétuer à l’encontre de sa propre fille  », Karline, qui avait 14 ans au moment des faits.

Une condamnation, si clémente soit-elle, aurait été cependant encore trop pour Valérie Bacot, avait de son côté plaidé Nathalie Tomasini qui, avec Janine Bonaggiunta, défend Valérie Bacot. « Comment la société pourrait demander réparation à Valérie Bacot alors qu’elle n’a pas su la protéger ? » avait demandé Me Tomasini, listant une « chaîne de dysfonctionnements multiples », en particulier les deux signalements que des proches de l’accusée ont faits à la gendarmerie, en vain.

Il n’y a jamais eu de signalements : c’est une fabrication des enfants de cette traînée meurtrière.

Les gendarmes ont témoigné lors du procès, indiquant qu’ils n’ont jamais reçu la moindre plainte.

Ces enfants ayant enterré le corps, ils avaient tout intérêt à confirmer les délires de leur traînée de mère.

L’avocate avait au contraire demandé l’acquittement, plaidant l’abolition du discernement, donc l’irresponsabilité pénale, en se basant sur un arrêt canadien de 2006 qui a permis la relaxe d’une femme victime d’un « syndrome de la femme battue » pendant trente ans et qui a tué son mari bourreau dans son sommeil. Cet arrêt a estimé que l’accumulation de violences avait entraîné un « geste d’automaticité » : le meurtre n’a « pas été une décision mais était automatique », avait expliqué Me Tomasini.

Le meurtre « automatique » si vous avez un vagin : c’est déjà en vigueur au Canada.

« Je voudrais dire pardon à mes enfants de ce que je leur ai fait endurer », avait déclaré l’accusée avant que les jurés ne se retirent délibérer, dans une référence à l’enfouissement du corps de Daniel Polette, auquel ont participé deux des enfants de Valérie Bacot. « Je ne pense qu’à une chose : être avec mes enfants », avait-elle ajouté dans un filet de voix.

Des experts psychiatre et psychologue avaient souligné que l’accusée n’avait aucune autre «  échappatoire  » que de «  faire disparaître  » son mari tant elle souffrait de son «  emprise permanente  » et de sa «  surveillance  » très serrée, ce qui l’empêchait d’aller porter plainte.

« Désolé, pendant 25 ans elle ne pouvait pas déposer plainte. Du coup, elle n’avait pas d’autre choix que d’assassiner froidement son mari » : c’est le discours des « psychiatres ».

Et c’est maintenant celui de la justice.

Naturellement, cela ne fonctionne pas si vous êtes un homme blanc harcelé par des arabes. Le droit de tuer est réservé aux putes.

Valérie Bacot a décrit comment son mari l’avait plusieurs fois menacée avec une arme, lui assurant que, «  la prochaine fois, il ne la louperait pas  ». L’homme alcoolique et violent l’a prostituée pendant quatorze ans à l’arrière de la 806 familiale, exigeant de son épouse qu’elle porte une oreillette afin de pouvoir entendre les «  instructions  » de son mari qui guidait la passe.

À 12 ans, elle avait été violée une première fois par Daniel Polette, qui était alors l’amant de sa mère. Condamné et incarcéré en 1996, l’homme est pourtant autorisé, dès sa sortie de prison en 1997, à réintégrer le domicile familial. Et «  tout recommence comme avant  », raconte Valérie Bacot dans son livre Tout le monde savait (Fayard), publié en mai dernier. Quand elle tombe enceinte, à 17 ans, Valérie Bacot part s’installer avec «  Dany  », expliquant cette décision surprenante par le besoin d’offrir un «  père  » à son enfant qu’elle voulait garder.

C’est le cœur de l’affaire : il n’y a jamais eu de viol.

C’était une relation glauque consentie dès l’origine.

C’est pour ça qu’à la première occasion, Bacot a quitté la maison de sa mère pour aller vivre avec cet homme. Elle l’a écrit en toutes lettres à sa mère.

L’affaire n’est pas sans rappeler le cas de Jacqueline Sauvage, devenu le symbole des violences conjugales après avoir été condamnée pour avoir tué son mari, puis graciée en 2016. Les avocates de Valérie Bacot, Janine Bonaggiunta et Nathalie Tomasini, ont d’ailleurs défendu Jacqueline Sauvage.

En effet, comme cette traînée, Jacqueline Sauvage a assassiné son mari froidement avant de mentir pour se couvrir.

Sauvage s’est dite « battue » en plein tribunal, ce que les experts ont démenti. Elle a ensuite expliqué avoir abattu son mari en état de légitime défense de 3 cartouches de fusil dans le dos, alors qu’il était à table. Les experts balistiques ont démonté sans difficulté les mensonges de cette hyène.

Mais cela n’a eu aucun effet : quoique condamnée, cette succube de Sauvage a été libérée parce que le lobby féministe en a décidé ainsi.

Dans le cas de Bacot, les médias ont réécrit l’histoire pour peser au maximum sur le procès.

Bacot a même essayé d’empoisonner son mari, ce qu’elle a reconnu devant les gendarmes avant de mentir à ce sujet devant le tribunal, prétextant « ne plus se souvenir ». Quand l’avocat général a pointé du doigt ses mensonges, la présidente est encore une fois intervenue pour noyer le poisson et poursuivre.

Ce sera désormais la règle : si une pute se dit « battue », la justice la laissera en liberté si elle tue son conjoint.

Le but du féminisme est légitimer le meurtre des hommes blancs.

Tout le reste n’est que de la littérature marxiste.

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