La Rédaction
Démocratie Participative
16 octobre 2024
Rajmund Andrzejczak
Les Polonais veulent apparemment disparaître de la surface du globe.
Rajmund Andrzejczak, général de l’armée polonaise et ex-chef d’état-major de l’armée polonaise de 2018 à 2023, a déclaré que son pays attaquerait Saint-Pétersbourg si la Russie envahissait un État balte, lors de la conférence sur la défense des pays baltes intitulée Defending Baltics. La Pologne et ses alliés lanceront immédiatement une frappe à longue portée sur Saint-Pétersbourg si la Russie attaque un pays frontalier de l’OTAN, a déclaré Rajmund Andrzejczak, un général polonais qui a dirigé les forces armées de son pays de 2018 à 2023.
Lors de la conférence sur la défense des pays baltes (Defending Baltics) à Vilnius, en Lituanie, l’ex-chef d’état-major de l’armée polonaise a évoqué des scénarios de sécurité concernant une éventuelle victoire russe en Ukraine et ses implications pour le bloc militaire dirigé par les États-Unis, notamment pour les pays limitrophes de la Russie. «Après une victoire russe en Ukraine, nous pourrions voir une division russe à Lviv, une à Brest et une à Grodno», a-t-il ainsi déclaré, faisant référence aux villes les plus à ouest de l’Ukraine et de la Biélorussie. Rajmund Andrzejczak a ajouté que dans ce scénario, la Pologne et la Lituanie seraient de fait encerclées par les forces russes. Face à cette éventualité, Rajmund Andrzejczak a souligné la nécessité de dissuader la Russie de toute offensive potentielle. «Si la Russie attaque ne serait-ce qu’un pouce de territoire lituanien, la riposte sera immédiate. Non pas le premier jour, mais dès la première minute. Nous frapperons tous les objectifs stratégiques dans un rayon de 300 kilomètres. Nous attaquerons directement Saint-Pétersbourg», a-t-il menacé.
Selon lui, la Pologne doit prendre l’initiative dans la dissuasion à l’encontre de Moscou. «La Russie doit comprendre qu’une attaque contre la Pologne ou les pays baltes signifierait également sa fin… C’est la seule manière de dissuader le Kremlin de telles agressions. Dans cette optique, la Pologne achète actuellement 800 missiles d’une portée de 900 kilomètres», a-t-il déclaré. Vladimir Poutine a, à plusieurs reprises, rejeté l’idée que Moscou ait l’intention d’attaquer l’OTAN, qualifiant ces spéculations de «non-sens» et estimant qu’elles étaient destinées à effrayer et endoctriner le public occidental.
Ces Polonais ne s’expriment de la sorte que parce que leur maître judéo-américain le leur ordonne.
Pas plus qu’il n’existe une armée ukrainienne, il n’existe d’armée polonaise. Si la viande est ukrainienne ou polonaise, le matériel, les munitions, la structure du commandement, le système satellitaire, tout est sous contrôle américain.
Nous nous retrouvons dans la configuration de 2014 en Ukraine lorsque le régime pro-OTAN a commencé ses provocations armées contre la Russie. Ce que prétend faire la Pologne en menaçant Saint-Pétersbourg n’est pas différent de ce que Zelensky veut faire en mendiant des missiles pour cibler Moscou et embraser toute l’Europe.
Historiquement, le roquet polonais n’a jamais fait illusion sur les champs de bataille modernes et cette fois-ci ne serait pas différente. Hélas, il a tendance à surestimer ses capacités militaires. La dernière fois qu’il a emprunté ce chemin, c’était en 1939, et les Polonais ont dû attendre 50 ans avant de disposer d’un état en propre.
Les Russes n’ont aucune raison de s’intéresser à un pays aussi sinistré que la Pologne. En revanche, si les provocateurs de Varsovie se décidaient à remplacer le golem ukrainien, l’équation serait différente. Envahir préventivement cet état serait une mesure défensive rendue inévitable par les circonstances nouvelles.
Les Russes devraient réfléchir à cette situation et bâtir un grand plan de paix en Europe de l’Est. Le démantèlement de la Pologne actuelle paraît souhaitable. Cela offrirait l’avantage de rétablir Nord Stream 2 et de sauver l’économie continentale. La Russie pourrait à cette occasion rétrocéder les territoires volés par les Polonais à l’Allemagne de l’Est. Comme elle est déjà partiellement dirigée par l’AfD, ce serait un solide point de départ pour un partenariat stratégique. Et puis les Polonais n’ont pas besoin de la Silésie, ni de la Poméranie. Sans parler de Dantzig, une ville allemande.
En somme, les Russes doivent leur mettre sous le nez la carte de leur futur état si d’aventure les Polonais décident de faire quelque chose de stupide pour le compte des juifs.
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