Captain Harlock
Démocratie Participative
04 décembre 2020
Une section Bokassa va ouvrir à Sciences Po.
C’est une polémique dont Sciences Po Paris se serait bien passé. Ce jeudi 3 décembre, l’UNI (Union nationale inter-universitaire), organisation étudiante de droite, a révélé une partie des revendications publiées sur Instagram par le collectif «BeingBlackatSciencesPo», un groupe dont le but est de permettre «aux étudiants noirs» de débattre en toute sécurité. Dans une série de publications photo, le collectif réclame notamment la création de modules obligatoires pour les étudiants «à propos de l’intersectionnalité raciale, la théorie critique de la race et la pensée décoloniale».
L’objectif de ce groupe d’étudiants? Permettre aux jeunes «racisés» (les étudiants non-blancs, ndlr.) de se sentir «en sécurité sur le campus» de Sciences Po Paris en obligeant tous les élèves à suivre ces modules. Des cours qui donneraient la possibilité, selon eux, «aux étudiants non-racisés (ceux qui sont blancs, ndlr.) qui continuent de perpétuer le racisme au sein de l’institution (…) de se rendre compte de leur attitude raciste». Le collectif ajoute que «ce module permettrait aux étudiants de comprendre la portée du colonialisme dans le curriculum, et d’analyser d’un œil critique le biais que cela pose dans l’éducation que nous recevons à Sciences Po».
Ma foi, transformer Sciences Po en camp de rééducation négro-communiste pour y torturer les bobos blancs n’est pas dénué de pertinence.
Il n’y a pas de raison que les bienfaits de la diversité soient limités aux smicards autochtones.
Une communication qui ulcère la présidence de l’UNI, qui a immédiatement dénoncé ces propos sur son compte Twitter. «Il s’agit d’une nouvelle dérive indigéniste, décolonialiste et racialiste», dénonce auprès du Figaro Jacques Smith, délégué national du syndicat étudiant. «C’est un exemple de plus que les universités françaises sont gangrenées par cette idéologie mortifère pour notre pays. Ces demandes mettent en péril la cohésion nationale et Sciences Po doit prendre des mesures fermes face à ce genre de propos», poursuit-il.
Non, Jacques. Ce ne sont pas ces « propositions » qui mettent en péril la « cohésion nationale ». Ce sont les nègres et tout le fatras allogène qui prolifère en raison du repeuplement de la France par le tiers-monde organisé par l’Etat Français.
Au sein de la droite réactionnaire française, on peine encore en 2020 à comprendre qu’il n’y a pas de cohésion nationale sans cohésion raciale.
Ce n’est pas la première fois que Sciences Po fait face à ce type de polémiques. Il y a trois mois, une sélection d’ouvrages «à lire» traitant notamment de l’antiracisme et du «privilège blanc» avaient été publiés sur le compte Instagram officiel de Sciences Po Paris. Une liste de lectures qui avait également été vivement critiquée. Cette «liste idéologique», dont certains titres «peuvent être choquants», témoigne, selon Alexandre Urvois, président des Républicains Sciences Po, d’un «manque de diversité» et est aux antipodes des valeurs de la grande école. «Sciences Po privilégie l’esprit critique, la diversité et le pluralisme. Tout le contraire de cette liste, qui met en avant un point de vue unique», dénonçait à l’époque l’élu sur notre site.
Contactée par Le Figaro, la direction de Sciences Po Paris n’a pas souhaité faire de commentaire.
Je ne compte pas sur la « droite » pour apporter un début de réponse pertinente à la guerre raciale. Le concept même de guerre raciale est pour elle un continent inconnu. Et puis la droite, avant d’être de droite, est d’abord française. L’amour des nègres y est donc la prédisposition par défaut. Quand on commence à évoquer le lien logique entre immigration africaine, fossé génétique et balkanisation, les gens de droite vous regardent d’un sale air.
Le plus probable est que la droite continuera de citer Aimé Césaire pendant les 50 prochaines années en répétant un peu partout que c’est la gauche qui est raciste. D’ailleurs, c’est la droite qui a historiquement déclenché l’invasion totale de la France sous la direction du tandem Giscard/Chirac, en 1975.
Bref, c’est sans intérêt.
Le fait que le racialisme surgisse à l’extrême-gauche du spectre politique est une excellente chose. Cela permet de prendre dialectiquement à revers cette grosse république juive et de la comprimer jusqu’à l’implosion. Je suis à 100% favorable à la militarisation de l’immigration allogène pour en faire des régiments entiers de nègres et d’arabes gorgés de haine raciale antiblancs.
Par contrecoup, les jeunes Blancs sont tirés de leur sommeil par ces millions de sauvages qui leur annoncent fièrement vouloir leur génocide. Tout ce qui radicalise et racialise est à encourager.
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