Les smartphones en Afrique : conséquences pratiques

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
13 mars 2017

Nombre de personnes ignorent un fait crucial : près de 350 millions d’africains utilisent des smartphones. C’est-à-dire qu’au milieu d’un village malien ou ivoirien, un négrillon de 10 ans peut voir l’Occident, ses villes, ses femmes. Et le torrent de publicités qui inonde les réseaux sociaux.

Naturellement, quand vous voyez une publicité surgir sur votre écran, cela vous saoule. Qu’il s’agisse de la dernière Mercedes ou du parfum de chez Chanel vanté par une blonde à demi dénudée. Mais sur le cerveau du négrillon précité, l’effet est radicalement différent : ces objets brillants sont à portée de regard, donc de mains. Mais sitôt le téléphone éteint, il n’y a que les mêmes cahutes en bouse séchée.

Les nègres, les afghans et autres qui se bousculent en Europe le disent sans détour : ils viennent prendre ce qu’on leur a promis, depuis l’Europe, de leur donner. Une maison, des femmes à violer, des BMW.

Avec ceci à l’esprit, vous pouvez imaginer ce que les sites internet africains génèrent chez les centaines de millions de nègres qui s’agglutinent dans les bidonvilles d’Afrique :

Demandez-vous ce que ce titre génère chez un malien vivant dans une poubelle ? Si vous l’ignorez, lire les commentaires vous aidera.

« Y’a mougou à gogo ». Et « des papiers ». « Pour y vivre tranquille ».

Je laisse le suivant à votre curiosité :

« Ceci ne fera baisser les viols que de 6% maxi ». FAN-TAS-TI-QUE. Nul ne besoin de faire de la propagande. Il suffit de faire parler Mamadou.

« Dès qu’il monte, c’est pour un bébé ». « On comprend que l’homme africain ne tient pas trop compte de l’esthétique lorsqu’il fait l’amour ».

Les nègres savent parfaitement qu’ils baisent à l’infini.

Pour l’anecdote, je travaillais un temps au milieu de fonctionnaires. L’un d’eux était un antillais. Un jour, celui-ci me sort à propos d’une femme assez laide avec laquelle il avait couché : « Je baise n’importe quoi, c’est mon côté africain ».

Ils le savent. Gardez ça à l’esprit.

Gardez autre chose à l’esprit : les laiderons blanches le savent aussi.

Voilà, vous avez compris l’antiracisme féminin. Ou disons, 90% de l’antiracisme féminin.

Le meilleur pour la fin :

Voilà.