Captain Harlock
Démocratie Participative
19 décembre 2019
Tes ancêtres nordiques étaient des aborigènes, goy
Il y a quelques millénaires, en Scandinavie, nos aïeux avaient des faces de pakpak.
Deux ou trois personnes sont formelles sur le sujet.
Géo.fr :
Dans le sud du Danemark, des chercheurs ont mis au jour un « chewing-gum » vieux de 5.700 ans constitué de bouleau mâché. Ils ont réussi à en extraire le génome complet de sa propriétaire, une femme du Néolithique qui avait probablement la peau sombre et les yeux bleus.
« Probablement ».
Chasseur-cueilleur danois
Après une chasseuse-cueilleuse morte il y a 7.000 ans en Suède, c’est au tour d’une autre femme du Néolithique de sortir de l’oubli. Au Danemark, des chercheurs ont réussi à « redonner vie » à celle qu’ils ont prénommée Lola, une femme qui vivait il y a 5.700 ans sur l’île de Lolland dans le sud du pays. Sauf que contrairement à la première, ce ne sont pas ses ossements qui ont parlé pour elle.
Résumons : dans le nord scandinave, les populations locales étaient « probablement » foncées comme des mulâtres.
Tout juste 2000 ans avant le début de l’histoire de la Grèce mycéenne (-1600 av JC) avec ses femmes à la peau de lait.
Oui.
Cette fois-ci, les scientifiques ont en effet travaillé à partir d’un matériau plus inhabituel : un « chewing-gum » multimillénaire retrouvé durant des fouilles sur le site de Syltholm. Considéré comme le principal site néolithique du Danemark, ce lieu unique a permis de nombreuses découvertes archéologiques, grâce à la boue épaisse qui y a favorisé la préservation de ce qui s’y trouvait.
En l’analysant, les archéologues ont constaté que le fragment était particulièrement riche en informations. Grâce à ses propriétés, il a en effet permis de remonter jusqu’à son propriétaire, l’individu qui l’avait mâché il y a 5.700 ans d’après la datation. Comment ? Grâce à l’ADN très bien préservé qu’il contenait encore et qui a permis de reconstituer le génome complet de cet ancêtre du Néolithique.
D’après l’étude publiée dans la revue Nature Communications, l’individu était donc de sexe féminin et était, du point de vue génétique, plus proche des chasseurs-cueilleurs du continent européen que de ceux qui vivaient dans le centre de la Scandinavie à la même époque. Les analyses ont également indiqué qu’elle avait probablement la peau et les cheveux sombres, et les yeux bleus.
« Probablement ».
En science, le « probable » n’existe pas. Il y a ce qui est démontré et ce qui ne l’est pas.
2 + 2 ne font pas « probablement » 4.
C’est la réédition de l’affaire de « l’homme de Cheddar », en Grande-Bretagne.
Au printemps dernier, les médias occidentaux avaient soudainement saturé l’espace visuel d’un faciès d’aborigène en nous disant, sur un ton professoral, « ha ! vous voyez, vos ancêtres sont des basanés ».
Et puis, au bout de quelques semaines, des gens ont demandé aux fameux « scientifiques » britanniques par quelle méthodologie ils avaient pu déterminer que l’homme en question avait la peau aussi foncée qu’un nettoyeur d’égouts d’Islamabad.
Ils ont alors répondu que tout ça était compliqué, que c’était « probable » et « logique » mais qu’en fait ils n’en avaient aucune espèce d’idée.
Mais l’un des généticiens qui a effectué la recherche prévient que la conclusion n’est pas du tout certaine, et selon d’autres experts, nous ne sommes pas encore en mesure de connaitre la couleur de la peau d’un humain vivant à cette époque-là.
« Les gènes connus liés à la pigmentation de la peau, découverts principalement dans les populations d’Asie de l’Est de l’Europe, n’expliquent pas la variation de la pigmentation de la peau dans les populations africaines. L’idée qu’il n’y a vraiment qu’une quinzaine de gènes liés à la pigmentation de la peau n’est pas correcte. Il semble maintenant probable que de nombreux autres gènes affectent la couleur de la peau. Nous ne savons pas comment. »
« Si nous étudions encore le lien entre les gènes et la pigmentation de la peau dans les populations vivantes, nous ne pouvons pas encore déterminer la couleur de la peau des personnes préhistoriques ».
Donc personne ne sait quoi que ce soit sur le sujet mais des « scientifiques » reproduisent des mèmes un peu partout en Europe à la moindre carcasse retrouvée pour décréter que nous sommes noirs par procuration.
Comme tous ces enfants migrants qui viennent nous enrichir.
Il s’agit bien évidemment d’une réécriture de l’histoire de type soviétique pour conforter la politique de remplacement racial mis en place par le système.
Ils sont prêts à inventer les histoires les plus grossièrement délirantes pour se justifier.