La rédaction
Démocratie Participative
20 février 2024
Les pièces du puzzle ont l’air de se mettre en place.
La femme de Navalny a été désignée chef du gouvernement russe en exil par les juifs de Washington, réalité ratifiée aussitôt par Bruxelles.
Yulia Navalnaya, épouse d’Alexei Navalny : « Nous savons exactement pourquoi Poutine a tué Alexei il y a trois jours. Nous vous en ferons part bientôt ».
Yulia a déclaré qu’elle continuerait à se battre pour la cause d’Alexei Navalny et a exhorté d’autres Russes à la rejoindre.
Yulia Navalnaya, wife of Alexei Navalny: « We know exactly why Putin killed Alexei three days ago. We will share this with you soon. »
Yulia said she will continue fighting for Alexei Navalny’s cause and urged other Russians to join her. pic.twitter.com/xymCSiKZrR
— Anton Gerashchenko (@Gerashchenko_en) February 19, 2024
URGENT : De nouvelles images montrent l’épouse d’Alexei Navalny, Yulia Navalnaya, rencontrant Charles Michel, président du Conseil européen, à Bruxelles.
BREAKING: New pictures show Alexei Navalny’s wife Yulia Navalnaya meeting Charles Michel, President of the European Council, in Brussels
Latest: https://t.co/M1QC8iWAcm
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— Sky News (@SkyNews) February 19, 2024
Dorénavant, elle est de fait la présidente de la Russie. Du moins, dans la tête de l’oligarchie occidentale. Entre deux séjours sur la Côte d’Azur, cette traînée fera le tour des capitales occidentales en jet privé pour faire des photo shootings contre Poutine.
Ce faisan de Macron doit glapir d’impatience à l’idée de l’accueillir à l’Élysée pour avoir l’air dans le coup.
Toute cette affaire est de plus en plus louche.
Le magazine allemand BILD vient de révéler que des négociations étaient en cours depuis des mois entre les États-Unis et la Russie pour échanger Navalny contre un agent russe détenu en Allemagne.
Les autorités allemandes, américaines et russes avaient discuté de l’échange du leader de l’opposition russe Alexei Navalny contre Vadim Krasikov, un tueur à gages russe condamné à la prison à vie en Allemagne, avant la mort de Navalny, a rapporté le journal allemand Bild le 18 février, citant ses sources.
Vadim Krasikov
Depuis 2021, Krasikov purge une peine de prison à vie pour le meurtre d’un dissident tchétchène-géorgien en exil, Zelimkhan Khangoshvili, à Berlin en 2019. Des rapports d’enquête ont suggéré que Krasikov était un agent des services de renseignement russes.
« Vladimir Poutine voulait l’agent russe Vadim Krasikov, qui est emprisonné en Allemagne. Il a été discuté qu’en échange, Poutine libérerait Navalny », a déclaré Bild dans un message sur Telegram.
Le Wall Street Journal a révélé pour la première fois l’existence d’un échange possible en septembre 2023. Citant des responsables occidentaux anonymes, le journal a rapporté que la Russie recherchait l’échange de Krasikov, citant Navalny comme l’une des personnes susceptibles d’être échangées dans le cadre d’un éventuel échange de prisonniers.
Manifestement, Poutine était si peu inquiet de la dangerosité de Navalny que l’échanger ne lui posait aucun problème.
Des gens, quelque part, ont estimé que Navalny serait plus utile mort que vivant. Avec sa femme propulsée au rang d’héroïne des démocraties pour appeler à la guerre depuis l’extérieur, c’est le cas.
Poutine n’avait aucune raison de se priver de cette monnaie d’échange. Les Russes ont peut-être flairé quelque chose ces derniers temps, ce qui expliquerait pourquoi ils ont récemment expédié Navalny dans l’une des prisons les plus isolées du pays. Hélas, le MI6 britannique et les Ukrainiens disposent d’un solide réseau d’espions dans le pays où ces derniers peuvent se fondre dans la masse sans difficulté.
Les Russes ne peuvent évidemment pas se vanter d’avoir perdu un prisonnier de cette façon. Les explications contradictoires des autorités à l’annonce de la mort de Navalny laissaient entrevoir une certaine confusion. Si les Russes avaient prévu de l’assassiner, ils auraient eu un scénario prêt pour les médias.
La succube qui lui servait de femme est désormais la nouvelle dirigeante de la Russie démocratie. Cette créature paraît encore plus psychotique que Hillary Clinton.
Cette femme était justement à Munich où, entre Zelensky, Clinton et le reste, elle a rencontré Nancy Pelosi, encore récemment la cheffe de file du parti de Biden au parlement américain.
Le (((hasard))).
Alexei Navalny widow Yulia and Nancy Pelosi embrace at Munich Security Conference pic.twitter.com/22s779285V
— Howard Mortman (@HowardMortman) February 16, 2024
Une femme blanche propulsée par les juifs dans un tel rôle est toujours une très mauvaise nouvelle pour la paix mondiale. Cette hyène n’aura qu’une seule ambition : faire couler des fleuves de sang.
Nous allons la voir partout, un peu comme le Dalaï Lama jadis.
Ce traître de Navalny a oublié que lorsque l’on dîne avec le Diable, il faut une longue cuillère.
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