Captain Harlock
Démocratie Participative
28 septembre 2021
Si vous voulez faire plier les Polonais face à l’anal, il suffit de menacer de leur couper leur RSA européen.
BFMTV :
Après la région de Kielce, c’est au tour de celles de Cracovie, de Rzeszow et de Lublin de revenir sur leurs déclarations selon lesquelles elles étaient des « zones sans idéologie LGBT ».
Trois régions polonaises ont renoncé lundi, à la suite de pressions de Bruxelles, à être des « zones sans idéologie LGBT ».
À la mi-juillet, la Commission européenne a entamé une procédure d’infraction contre la Pologne pour ces « zones sans idéologie LGBT » décrétées par nombre de régions, de communes et d’autres collectivités locales.
L’exécutif européen, qui a dénoncé le caractère discriminatoire de ces mesures à l’encontre des personnes LGBT+, a envoyé à la Pologne une lettre de mise en demeure. Bruxelles a en outre suspendu les négociations avec cinq régions concernées sur le versement de fonds du programme de soutien à la reprise en faveur de la cohésion REACT-UE.
Lundi, les régions de Cracovie (sud), de Rzeszow (sud) et de Lublin (est) ont décidé de revenir, comme l’avait fait la semaine dernière celle de Kielce (sud), sur leurs déclarations selon lesquelles elles étaient des « zones sans idéologie LGBT », les remplaçant par d’autres textes.
Les députés de la région de Rzeszow ont notamment souligné dans leur nouveau texte leur opposition à « toutes les tentatives de haine et de discrimination sur le fondement du sexe, de l’âge, de la race, du handicap, de l’origine ethnique, de la religion, des croyances ou de l’orientation sexuelle ». Les trois régions ont également souligné leur attachement à la tolérance, au christianisme et au rôle traditionnel de la famille dans la vie de la société polonaise.
En Pologne, au total une centaine de collectivités locales avaient adopté depuis 2019 une résolution « anti-idéologie LGBT » ou une « charte des droits des familles ». Elles constituent environ un tiers du territoire polonais et sont principalement situées dans le sud-est et l’est, des zones traditionnellement très catholiques.
À la suite de ces déclarations, Bruxelles avait appelé au respect de la dignité et des droits humains qui sont « des valeurs fondamentales de l’UE » et avait assuré que la Commission utiliserait tous les instruments à sa disposition pour défendre ces valeurs. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, avait, quant à elle, fustigé des « zones sans humanité » qui « n’ont pas leur place » dans l’UE.
La démocratie est partout la même.
Sa fonction est de vendre aux juifs une nation entière.
Priver des politiciens de leurs chèques suffit à leur faire faire un retournement à 180°. Bruxelles n’a eu qu’à menacer de priver les démocrates locaux de leurs pots-de-vin pour les faire rentrer dans le rang et leur faire valider le pédo-LGBTisme maximal au nom des droits-de-l’homme.
C’est le genre de « droite catholique » que nous avions en France, lorsque De Gaulle était au pouvoir.
Selon le même principe, la légalisation de l’avortement sera tôt ou tard imposée au nom du féminisme radical. De toute façon le gouvernement catholique polonais se contente de préserver les apparences sur ce sujet : il y a au moins 100,000 traînées polonaises qui avortent chaque année.
Les traînées sont tout autant déchaînées dans ce pays qu’en France.
Quand on parle de féminisme et de LGBTisme, on parle des pulsions de mort alimentées par la machine de propagande juive globaliste qui inocule son poison dans le corps de sa victime.
Le LGBTisme permet aux juifs d’introduire dans l’appareil d’état des gouines et des sodomites nihilistes qui forment ensuite la cinquième colonne du pouvoir juif international. Les traînées viennent en second. Le programme de ces goules sataniques se résume ensuite à une seule chose : détruire la natalité du pays (blanc) en question.
Tous les pays blancs devraient être en état d’alerte maximal. Avec 1,4 enfant par femme, la Pologne perd 25% de chaque génération.
La moindre avorteuse devrait être fusillée sans jugement.
La moindre traînée tentant de se faire avorter devrait finir dans un camp de travail.
Au lieu de quoi, les démocrates polonais rampent pour quelques millions d’euros et jurent de servir la cause de l’anal et du lesbianisme.
Tout cela a des conséquences.
Très bientôt, vous verrez les grandes villes polonaises se diversifier racialement. Le très catholique patronat polonais aura négocié avec le très catholique gouvernement polonais l’ouverture du pays à l’immigration non-blanche. Mais attention, à des métèques non-musulmans, venus d’Inde ou des Philippines, Jésus oblige.
Le Vatican va déployer toute son énergie pour aider les capitalistes polonais à repeupler le pays avec toute la sous-humanité « chrétienne » que compte le tiers-monde, vous pouvez compter là-dessus.
L’argument est toujours le même : faire du fric.
Un état qui accepte de détruire son socle de peuplement pour protéger les coffres forts de ses grands capitalistes est un état criminel. Ce genre de discussions dans l’espace public devrait normalement se conclure par la pendaison immédiate de ceux qui les tiennent.
Si une nation doit perdre 50% de son niveau de vie pour préserver son identité et son futur biologique, alors elle doit le faire sans réfléchir. Une nation qui préfère mourir plus tard pour jouir tout de suite est une nation sans avenir.
Jamais vous n’entendrez la droite réactionnaire catholique évoquer le cataclysme racial qui menace. Il n’est question que d’islam – et encore, marginalement.
En termes darwiniens, que Varsovie soit repeuplée de créatures marron allant à la messe ou de créatures marron faisant le ramadan est du pareil au même : la ville ne sera plus de peuplement slave. Ce serait un bidonville similaire à Paris.
On peut même dire que si l’islam n’était pas si urticant, l’immigration serait un non-sujet à droite en Europe Occidentale.
Il suffit de contempler Marine Le Pen ou Eric Zemmour se livrer à une surenchère permanente sur le thème de la France brésilienne patriote pour s’en convaincre. Et je ne parle pas de tous ces médias réactionnaires qui exhibent leurs nègres bavards comme au plus beau temps de la colonisation.
C’est la gauche les vrais racistes – summum de ce que peut dire la droite démocratique
Si une nation ne tient pas en laisse ses capitalistes, elle est mûre pour l’anéantissement. Banquiers, politiciens et grands patrons se foutent totalement de savoir avec quelles peuplades les autochtones doivent coexister dans leurs quartiers ou par quelles bêtes sauvages leurs filles se font violer. Ils vivent dans des enclaves globalisées ultra protégées, que ce soit en Pologne, en France ou aux Etats-Unis.
Cette classe de parasites est la même partout et son système d’exploitation est cette démocratie apatride dont l’Occident juif fait si grand cas.
Il est aussi illusoire qu’absurde de penser qu’on puisse survivre à la syphilis démocratique en refusant d’en guérir.
Juiverie, démocratie, LGBTisme, traînées : tout cela n’est qu’un seul et même bloc.
En 2021, tout ce qui se situe en dessous du standard fixé par les talibans est une impasse.
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