Captain Harlock
Démocratie Participative
21 juin 2021
Les ultra-capitalistes du CAC40 main dans la main avec les ultra-marxistes de SOS Méditerranée, la boucle est bouclée.
Les dirigeants de dix grands groupes français et internationaux lancent un appel «en faveur de l’intégration en entreprise des personnes réfugiées», dans Le Journal du Dimanche .
Ces patrons et hauts responsables d’entreprises de secteurs variés (Accor, Adecco, Barilla, BNP Paribas, Ikea, Ipsos, Keolis, L’Oréal, Michelin, Sodexo) se sont regroupés au sein d’un collectif « Refugees are talents » ou «Les réfugiés sont des talents pour nos entreprises». «Chaque année, la France accueille 50.000 personnes réfugiées et autant de talents» qui «tous ont des compétences et des expertises recherchées par les organisations, et avant tout, une forte volonté d’intégration», soulignent les signataires de cette tribune publiée dans le JDD.
Les humanistes de la BNP ont le cœur sur la main.
Bien entendu, aucune des filles de ces banquiers ne vit à proximité d’un quartier repeuplé de migrants musulmans.
Le collectif «se donne pour mission de partager de bonnes pratiques, de renforcer la sensibilisation des collaborateurs et de favoriser le processus d’intégration des réfugiés statutaires», qui «ont le droit de travailler». «Il est de notre responsabilité à tous de préparer l’avenir de nos entreprises et de nous entourer des meilleurs talents», soulignent les dirigeants.
La France avait reçu quelque 95.600 demandes d’asile l’an dernier, selon l’Office de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra), l’organe chargé d’attribuer le statut de réfugié. Les principaux pays d’origine des demandeurs sont l’Afghanistan, le Bangladesh, le Pakistan, la Guinée, la Turquie et la Côte d’Ivoire.
Quelques semaines après l’assassinat de Rambouillet, il fallait oser.
Les fameux « talents » du Pakistan, du Bangladesh ou d’Afghanistan sont à n’en pas douter indispensable à la société française.
Avec déjà des millions de chômeurs sur les bras, le grand patronat appelle à ouvrir davantage les vannes de l’invasion.
Il n’y a pas de fin à ce processus. Ces oligarques veulent un flux permanent d’esclaves africains ou orientaux pour étendre le marché intérieur et maximaliser le dumping social. Peu importe les effets destructeurs de cette fuite en avant.
Ces gens s’en fichent : leurs résidences sont hyper sécurisées, ils voyagent de villa en palace et de palace en yacht.
Cette expansion démographique est financée par la dette que doivent rembourser ensuite les goyim prisonniers de ce système en expansion permanente.
Leur projet de société, c’est un système de consommation par des sous-hommes marron pour des sous-hommes marron.
C’est le projet du Great Reset.
Le seul système qui a écrasé ce projet global, c’est le national-socialisme allemand qui a en tiré toutes les conclusions, sans n’en omettre aucune.
Nous pouvons jouer sur les termes, mais la synthèse nationale-socialiste est la seule pertinente.
Sans révolution sociale et biologique, c’est la barbarie du bolchevisme financier qui imposera son projet apocalyptique.