Captain Harlock
Démocratie Participative
02 Février 2021
Je ne sais pas pourquoi le journal Var Matin a consenti à laisser fuiter des témoignages attestant de ce que je dis ici depuis des mois sur le fait que le nombre de morts du Cohen19 est artificiellement gonflé par le gouvernement.
Quoi qu’il en soit, cet article a été publié et il démontre l’ampleur de l’opération de manipulation des statistiques par le système.
La crise sanitaire complique les obsèques des personnes testées positives à la Covid-19, que le virus soit ou non la cause du décès. Leurs proches dénoncent des situations inhumaines.
Soins funéraires, toilette mortuaire, présentation du corps, mise en bière… Les règles ont évolué depuis le début de l’épidémie. Un décret, paru au Journal officiel le 12 décembre, précise les dernières dispositions.
« Les défunts atteints ou probablement atteints de la Covid-19 au moment de leur décès font l’objet d’une mise en bière immédiate », rappelle le décret.
Le défunt ne peut donc pas faire l’objet d’une présentation en chambre funéraire. Les proches ne pourront revoir le défunt qu’à l’Ehpad ou l’hôpital, avant son transport.
« Les soins de conservation sont interdits sur le corps des défunts probablement atteints de la Covid-19 au moment de leur décès », détaille le décret.
Il s’agit des soins de thanatopraxie, invasifs, de type embaumement, consistant à prolonger la conservation du défunt et à lui rendre des traits apaisés lors de la présentation du corps.
En revanche, une toilette mortuaire simple et l’habillement du défunt restent possibles mais « uniquement à condition qu’ils soient réalisés par des professionnels de santé ou des thanatopracteurs », précise le décret.
« Mais tous n’acceptent pas de le faire, reconnaît Brice Pinatel, directeur des agences de pompes funèbres Roblot de Nice centre et Nice ouest. Car selon les informations dont nous disposons, même décédées les personnes positives au coronavirus sont toujours contagieuses. »
Une décision très mal vécue par les familles, plongées dans l’incompréhension. D’autant plus que la non-présentation du corps complexifie le travail de deuil.
« Nous comprenons que cela est compliqué pour les familles qui ne peuvent plus voir leur défunt. Les obsèques se tiennent avec peu de monde, peu de fleurs », compatit Brice Pinatel, qui constate depuis mi-décembre une hausse de 20 à 30 % de son activité, mais aspire à « retrouver quelque chose de plus qualitatif », notamment dans la relation avec les familles et l’accompagnement des proches que l’urgence et la crise sanitaire ont bouleversés.
« J’ai l’impression que ma mère est partie comme un chien et qu’on nous vole son enterrement. »
Après la peine causée par le décès de sa mère, âgée de 77 ans, à l’hôpital de Nice, place à la colère pour Cathie, une Laurentine de 57 ans.
Admise pour un cancer généralisé contre lequel elle luttait depuis 5 ans, la septuagénaire a contracté la Covid lors de son séjour, sous une forme asymptomatique. Elle a pourtant été déclarée décédée du coronavirus. Ce qui l’empêche d’avoir droit à une toilette funéraire et prive ses proches de lui dire au revoir une dernière fois avant sa crémation.
« A Noël, elle n’arrivait plus à se déplacer. Elle a été hospitalisée à Pasteur. A son arrivée, un test PCR a été pratiqué. Il était négatif. On l’a réhydratée. Pensant qu’il s’agissait d’une simple déshydratation, le médecin a décidé de ne pas la garder », se souvient Cathie.
Malheureusement, son état reste préoccupant. Le 27 décembre elle est admise à l’hôpital de Cimiez.
« Après lui avoir fait faire des analyses, les médecins nous ont annoncé qu’elle avait des métastases au cerveau. Qu’elle n’en avait plus que pour quelques jours », se souvient sa fille.
« Une semaine plus tard, elle semblait avoir repris du poil de la bête. Puis on nous a annoncé qu’elle avait passé un test PCR et qu’il s’était révélé positif. Bien qu’asymptomatique, ma mère a rejoint l’unité Covid pour sept jours d’isolement, du 4 au 10 janvier. Les visites ont été suspendues. »
Le virus pourrait avoir été contracté à l’hôpital, puisqu’elle y était entrée avec un test négatif en poche. « On a tout le temps porté le masque. On a fait très attention. Les visites étaient limitées », énumère Cathie qui juge peu probable que sa mère ait été contaminée lors d’une visite de la famille.
« Le mardi 12, je suis retournée la voir. Le médecin m’a dit qu’il préférait la garder jusqu’à la fin de la semaine dans l’unité Covid et qu’un point sera fait le lundi 18 avec la possibilité qu’elle quitte cette unité. »
Dimanche 17, « ma sœur se rend à l’hôpital pour lui rendre visite. On lui annonce que notre mère vient de décéder et que dans une heure elle sera transférée en chambre froide à Pasteur et que nous ne pourrions plus la voir du tout. Mon neveu a insisté pour qu’ils repoussent le transfert pour me laisser le temps de venir. Ce qui a été accepté. C’était un dimanche. Il n’y avait personne. On ne nous a rien dit de plus. On était perdus. »
Le lendemain, le lundi, Cathie contacte les pompes funèbres. Son interlocuteur lui demande quelle est la cause du décès.
« J’ai répondu : j’espère qu’elle n’a pas été déclarée morte de la Covid. Il rentre dans la base de données et me confirme que c’est bien le cas. Ce qui signifie qu’elle sera enterrée comme elle était, en chemise d’hôpital, sans toilette, et que le cercueil sera fermé sans que nous puissions lui dire au revoir une dernière fois. Ce n’est pas un enterrement digne. Comment être sûre que c’est bien ma mère qui sera dans le cercueil ? Le fait qu’elle soit déclarée morte de la Covid nous vole son enterrement. Or je suis certaine qu’elle n’est pas morte de la Covid. Mais même pour les gens qui meurent de la Covid, je trouve ça lamentable. »
C’est exactement à propos de ça que je hurle ici depuis le début.
L’Etat peut désormais vous décréter « positif » au Cohen19 avec des tests qui ont prouvé leur inefficacité, vous faire hospitaliser de force, vous euthanasier au Rivotril et empêcher légalement vos proches de vous voir ou de voir votre corps.
Il n’y aura jamais d’autopsie ni de révision du certificat de décès.
Ce dispositif ne sera pas suspendu. Il qui n’a qu’une fonction : liquider des gens gênants au milieu d’une foule de vieillards ou de gens gravement malades qu’on jette en vrac dans la colonne des « morts du Covid ».
Pour le moment, il ne sert qu’à gonfler les statistiques pour entretenir la terreur.
Accueillie dans un Ehpad de Seillans, dans le Var, depuis plusieurs années, Claudette, 81 ans, souffrant de la maladie de Parkinson, est décédée dans la nuit du 23 au 24 janvier.
Sa nièce, Amandine, une Niçoise de 35 ans, dénonce un « abus » : « Elle a été testée positive à la Covid quelques jours avant son décès mais était asymptomatique. Elle est décédée dans son sommeil, des suites de la maladie de Parkinson, mais son décès a été prononcé pour “cause Covid”. Ce qui est faux. On a l’impression qu’on nous a caché beaucoup de choses. »
Conséquence : « Cela complique les obsèques. Pas de toilette, pas de reposoir. Rien. Juste un scellement du cercueil à la va-vite, déplore la jeune femme. Il y a un protocole particulier et les sociétés de pompes funèbres sont obligées de le respecter. »
Autre déconvenue, l’agence de pompes funèbres varoise choisie par la famille “a fait effectuer la crémation à l’Athanée de Nice” mais “n’a pas eu le temps de déposer l’urne au cimetière de Caucade”, nous a-t-on rapportés. Ils sont débordés, il y a trop de décès. Mais la loi nous interdit de garder l’urne à domicile. Nous sommes donc pour le moment sans solutions. Ce n’est pas tous les jours qu’on enterre quelqu’un, nous ne connaissons pas toutes les ficelles. Je trouve tout cela inadmissible ».
Cette machine infernale aux mains des globalistes entrera en action si des troubles importants ont lieu.
C’est l’évidence et jusqu’à présent, personne ne parlait de cette évidence.