Les pétasses gauchistes qui accusent de Taha Bouhafs de viol refusent de porter plainte « pour ne pas faire le jeu » des hommes blancs

Captain Harlock
Démocratie Participative
12 mai 2022

 

Vous êtes au courant, le jeune espoir Taha Bouhafs a retiré sa candidature à Venissieux où il avait toutes les chances d’être élu.

Dans un premier temps, la gauche radicale blanche a expliqué que c’était en raison des pressions énormes du système (juif) contre l’étoile montante du Mélenchonisme.

Clémentine Hautaine l’a explicitement affirmé mardi.

On a appris depuis que Clémentine avait reçu Taha le weekend dernier à propos d’accusations de viol et d’agression sexuelle. C’est-à-dire avant de justifier ce retrait pour cause de « harcèlement raciste et islamophobe ».

Maintenant, les mélenchonistes font du damage control tous azimuts sur le thème du féminisme en expliquant qu’ils ont dégagé Bouhafs pour protéger les nanas de leur mouvement.

Rousseau essaie de réaliser la quadrature du cercle en expliquant que c’est de la faute de l’extrême-droite patriarcale blanche.

Dans cet univers mental bizarre, au final, c’est toujours de la faute des Blancs quand il pleut ou quand un arabe viole.

J’ai regardé la vidéo de Clémentine sur l’affaire.

Actuellement, tout repose sur des déclarations anonymes de pétasses gauchistes qui disent avoir peur d’alimenter le « racisme » et « l’islamophobie » en parlant de Taha Bouhafs.

Je n’invente rien, vous pouvez visionner, ça dure 10 minutes.

Au stade actuel, tout repose sur des trucs que trois garces pro-métèques disent à d’autres garces pro-métèques. Il n’y a rien d’autre.

Et il n’y aura rien d’autre parce que ces garces veulent protéger leur violeur algérien du péril blanc.

Que les maghrébins soient des pointeurs compulsifs, cela n’a rien de nouveau. Ceci dit, c’est désormais une constante : dès qu’un type devient gênant, des pétasses surgissent de nulle part et hurlent au viol, ce qui suffit à condamner l’accusé.

Zemmour ou Branco ont subi le même truc.

Dans cette affaire, la gauche radicale intersectionnelle se retrouve précisément à l’intersection du racialisme allogène et du féminisme. Par rapport aux traînées féministes, les allogènes sont situés très en dessous de l’échelle du pouvoir.

C’est ce qui se manifeste depuis 48 heures.

Maintenant, imaginez que la gauche radicale ne soit pas contrôlée par des hypocrites de la bourgeoisie blanche, mais par des noirs et des maghrébins.

D’après vous, est-ce que les accusations de viol anonymes de trois garces de gauche, très probablement blanches, auraient entraîné les mêmes réactions ?

Aucune chance.

Ce que les mahométans de banlieue découvrent, c’est que les femmes blanches de la gauche radicale, pour amatrices de chibres marron qu’elles soient, n’en demeurent pas moins des putes déterminées à porter le pantalon. Elles veulent se servir des noirs et des arabes comme de chiens de garde contre les hommes blancs tentés de les renvoyer à la cuisine.

C’est ça, l’OS sur lequel tourne la gauche radicale en France.

L’hyper vigilantisme sexuel qui s’exprime au sein de la gauche en ce moment même est l’expression du suprémacisme des femmes blanches alpha qui veillent à garder leur main mise sur le processus reproductif au détriment des hommes.

C’est par le rationnement sexuel et la transformation des hommes en sextoys qu’elles tiennent la société entre leurs mains.

Imaginez un peu les musulmans de banlieue dans une telle équation.

La gauche radicale blanche, pour que son affaire tienne, a besoin du vote des banlieues afro-musulmanes. Mais son objectif est de renforcer la tyrannie vaginocratique, pas le patriarcat islamique. C’est la faille dans leur alliance bancale. Les gauchistes blancs chercheront systématiquement à dévier les tensions internes entre femmes blanches et islamistes en ciblant l’homme blanc, c’est-à-dire dans la phraséologie de gauche, « les racistes ».

C’est le seul ennemi commun qui peut temporairement les maintenir ensemble.

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