Captain Harlock
Démocratie Participative
12 mai 2019
« C’est la lutte finale »
La branche armée de la secte bergoglienne en France s’est livrée à une série de tweets particulièrement vindicatifs à l’endroit des Français ces derniers jours.
Au cas où vous l’ignorez, cette branche armée porte le nom de « Secours Catholique » ou encore « Caritas » et a principalement recours à de l’armement biologique et bactériologique pour perpétrer ses crimes.
Les nègres donc.
Cette organisation profite des élections européennes pour rappeler la mission de la France : déifier le nègre.
« Parce qu’elles sont donc la voix des citoyens, ces élections européennes peuvent porter le visage d’une #Europe plus solidaire, plus respectueuse des droits fondamentaux et plus en adéquation avec les valeurs de #paix à l’origine de l’Europe. »#JournéeDeLEurope pic.twitter.com/tlJiOFSpxI
— Secours Catholique (@caritasfrance) 9 mai 2019
Je trouve que ça manquait dans le débat. On parle trop peu souvent de cette obligation morale qui nous incombe : offrir notre pays, nos femmes, notre argent au Dieu Nègre.
Soyons honnête, notre église rencontre un problème : il y a encore des polythéistes, repliés dans leurs campagnes inhospitalières, qui ne croient pas en l’unicité du dieu négroïde.
Des athées du négrisme. Des fous, si vous voulez.
Cette race païenne ose s’appeler communément « française de souche ».
Vous arrivez à identifier qui est « Français de souche », vous ?
En réalité ce terme ne correspond à aucune réalité puisque la France a été construite par l’immigration depuis des siècles 😉
— Secours Catholique (@caritasfrance) 9 mai 2019
C’est à partir de combien de générations la « souche » ? Juste pour savoir, hein.
— Secours Catholique (@caritasfrance) 9 mai 2019
Cela fait des siècles que la France est construite par l’immigration.
Tous nos paysages en témoignent, nos villages. Des dizaines de millions de migrants, au fil des siècles, ont construit la France.
Prenez toutes ces belles cathédrales construites par des migrants. De quoi aurions-nous l’air si nous n’avions pas eu tous ces gens pour apporter leur culture et enrichir une France en friche, stérile ?
Nos vignerons sans-papiers n’auraient pas pu façonner nos paysages.
On aurait l’air frais.
Nous sommes, tous, des migrants. Nous sommes de passage. Se croire « propriétaire » de la France, c’est réfléchir en petit possédant mesquin sur la base d’un fantasme qui n’a pas le moindre début de réalité.
Je suis quand même content de voir, à la veille d’élections cruciales pour la démocratie et les droits de l’homme, que l’Eglise Catholique maintient le cap de l’une-et-indivisibilité du nègre et qu’elle rappelle que nous ne sommes pas chez nous.
Prenez n’importe quel document d’archive : je vous mets au défi de me trouver un « Français de souche » comme disent les Nazis.
Monter à l’échelle ou transporter du bois, à 89 ans, Madame Hervé n’a peur de rien. pic.twitter.com/oJpcGuszAV
— Ina.fr (@Inafr_officiel) 12 mai 2019
C’est bien simple, ça n’existe pas.
Ni le « Grand Remplacement » d’ailleurs. Comment peut-on remplacer des êtres humains par des êtres humains puisque, par définition, ils sont pareils et interchangeables ?!
Je ne savais pas qu’on pouvait reconnaître une personne étrangère en ouvrant les yeux. Vous savez bien que les personnes étrangères sont minoritaires en France. De l’ordre de 4M parmi 67 Millions. On est loin du remplacement 😉
— Secours Catholique (@caritasfrance) 9 mai 2019
Voilà.
Alors, le Secours Catholique, qui dépend exclusivement des dons des grand-mères françaises de 85 ans pour nourrir nos frères migrants et les aider à prendre possession de ce qui leur appartient, rappelle solennellement que sa tâche consiste à pomper autant de mélanine que possible.
Non c’est faux : nous aidons chaque personne qui en a besoin et en fait la demande quelle que soit sa nationalité, couleur de peau, opinion politique,…
— Secours Catholique (@caritasfrance) 9 mai 2019
Il est important que la situation s’améliore dans leurs pays d’origine oui. Mais si ces personnes sont persécutées et viennent demander asile parce qu’elles sont menacées d’emprisonnement pour leur croyance religieuse, idéologie politique que faire? Les renvoyer et les condamner?
— Secours Catholique (@caritasfrance) 9 mai 2019
Alors en fait l’objet du 1er tweet est juste de dire qu’une personne migrante arrivant en France devrait pouvoir faire une demande d’asile en France, cela ne veut pas dire qu’elle aura l’asile mais elle doit pouvoir le demander. #StopDublin
— Secours Catholique (@caritasfrance) 9 mai 2019
Comme ça vous le condamnez à mort c’est vrai que c’est plus pratique comme solution. Mais est-ce seulement faire preuve d’humanité ?
— Secours Catholique (@caritasfrance) 9 mai 2019
J’ai bien compris votre « solution ». Mais les expulser alors qu’ils sont en France sans qu’ils puissent demander l’asile (afin que leur cas soit étudié) est dangereux pour eux voire mortel: vous savez bien que les réfugiés fuient le terrorisme, les conflits armés, les persécutions
— Secours Catholique (@caritasfrance) 9 mai 2019
Aucune préférence. Contrairement à ce que vous prônez, nous ne faisons justement aucune distinction entre les personnes en grande précarité qui viennent nous rencontrer. On ne regarde ni leurs papiers ni leur arbre généalogique. Bonne journée Victoire.
— Secours Catholique (@caritasfrance) 10 mai 2019
Une belle mission religieuse que celle-là.
Si pour une raison X ou Y vous pensez que ces marxistes à la solde de Bergoglio sont des parasites au service de la finance juive, alors il ne vous reste qu’une option : appelez sur l’heure vos proches pour qu’ils cessent de verser ne serait-ce qu’un centime à cette bande.
Ah, si d’aventure vous vous rendez dans une église, faites disparaître tous ces affreux flyers de Caritas que l’on trouve à l’entrée.