Captain Harlock
Démocratie Participative
09 Janvier 2021
Quand il s’agit de poignarder dans le dos les goyim les plus crédules, les juifs ne déçoivent jamais.
L’Anti-Defamation League, l’équivalent de la Licra américaine – c’est-à-dire une organisation juive ayant pour but de promouvoir le génocide des personnes de race blanche -, a exigé le renversement immédiat de Donald Trump plutôt que d’attendre 11 jours.
Nous ne pouvons pas permettre que les événements historiques et horribles des dernières 48 heures s’estompent sans conséquences significatives. En plus de 100 ans d’histoire, @ADL n’a jamais demandé la destitution du président des États-Unis. Aujourd’hui, cela change.
We cannot allow the historic & horrific events of the past 48 hours to fade without significant consequences. In our 100+ years of history, @ADL has never called for the President of the United States to be removed from office. Today, that changes. https://t.co/QWPplt3h6z
— Jonathan Greenblatt (@JGreenblattADL) January 8, 2021
Cela change peut-être mais d’autres choses ne changent jamais.
Donald Trump est le président qui a le plus ostensiblement témoigné de son amour pour les juifs. Ne serait-ce que parce que sa fille s’est convertie au judaïsme pour épouser un juif orthodoxe, Jared Kushner.
Il est difficile de citer tout ce que Trump a accordé aux juifs, que ce soit en dizaines de milliards de dollars d’armement gratuit, de soutien diplomatique et militaire ou de dénonciation de ses propres soutiens s’ils manifestaient leur scepticisme à l’égard des agissements des juifs. Sans parler des postes stratégiques dans son gouvernement, que ce soit le ministère de la Justice où il a installé William Barr ou bien le ministère des Finances où il a installé le juif Steve Mnuchin, pour ne citer qu’eux.
Trump a aussi mandaté un ambassadeur itinérant d’origine juive pour traquer les gens critiquant les juifs partout dans le monde : le juif Elan Carr (et sa kippa).
Trump faisait également des discours à propos des 6 trilliards de juifs transformés en savon et en abats-jours par Adolf Hitler dans de petites pièces secrètes quelque part dans la campagne polonaise.
Et puis les fêtes de hanoukka et les nuées de rabbins à la Maison Blanche.
Trump invitait beaucoup de juifs orthodoxes à la Maison Blanche pour dénoncer ses propres supporters qu’ils accusaient « d’antisémitisme », c’est-à-dire d’un manque de docilité – [les juifs, tout particulièrement les juifs orthodoxes, croient que leur dieu leur a donné le droit de dominer les peuples du monde entier et de génocider tous ceux qui s’y opposent].
Il a même donné les clefs de la Maison Blanche au chef de l’état d’Israël, Benjamin Netanyahou.
Israël est un état qui repose sur l’idée que la race juive, pour dominer les peuples du monde, doit établir un sanctuaire racial où sa suprématie serait totale.
Trump a souvent dit qu’il adorait ce projet.
Bref, Trump a donné aux juifs bien plus d’affection que n’importe quel président américain.
En retour, il espérait un peu de considération. Voire, de soutien.
Pour les juifs, c’est une demande incompréhensible car les juifs partent du principe que Yahvé, leur dieu, leur a donné la terre entière – à commencer par l’Amérique. Aux yeux des juifs, ce sont eux qui ont accordé un privilège extraordinaire en laissant Donald Trump s’humilier pour les servir pendant 4 ans.
Maintenant, les juifs finalisent son renversement pour installer le gouvernement le plus juif de l’histoire américaine.
Les juifs ont pour tradition de châtier avec plus de cruauté que d’ordinaire ceux qui les ont servi le plus. C’est une sorte de rite pour dire aux goyim que le meilleur des goyim reste un animal qui mérite d’atroces tourments. Le message étant que les autres ne peuvent s’attendre qu’à subir infiniment pire.
Tout ça pour dire que servir les juifs est une mauvaise idée.