Les nouvelles recrues de banlieue de la police s’ambiancent pendant le confinement (vidéo)

Captain Harlock
Démocratie Participative
02 novembre 2020

 

Ce truc ne peut surprendre que les plus naïfs. Comme les Boomers par exemple.

Dans ces vidéos, nous voyons les nouvelles recrues de la police républicaine organiser en plein confinement une soirée dans les locaux de leur école où le rap arabo-négroïde tonne à fond. Lorsqu’une patrouille de police intervient finalement pour disperser la foule, les recrues s’alertent en utilisant leur dialecte de narco-trafiquants de cité.

Ce sont ces futurs flics qui seront demain sur le bord des routes pour harceler les Blancs ou dans les magasins pour semer la terreur sanitaire. Et ces flics auront des armes et seront couverts par leur hiérarchie pour se livrer à toutes les extorsions, menaces et crimes possibles et imaginables.

La plupart de ces gens-là sont par ailleurs d’ardents musulmans qui doivent approuver les décollations de blasphémateurs.

Contrôle routier, Rodez, 2041

Tous ces gens-là, une fois pleinement intégrés au sein de la police, vont collecter la moindre information sur les ennemis de l’islam, réels ou supposés, pour renseigner les moudjahidines chargés de procéder au châtiment des infidèles.

Pour les musulmans, les ennemis de l’islam représentent une catégorie très large. C’est-à-dire tous ceux qui ne sont pas musulmans.

Je ne sais pas si vous connaissez l’histoire du policier Jallamion. Le type a été purgé de la police après avoir été dénoncé par une policière algérienne à sa hiérarchie comme un ennemi de l’islam suite à un post Facebook anodin sur les attentats commis par les djihadistes en France.

Quand il a voulu contester sa mise à l’écart professionnelle, l’Etat a envoyé des janissaires le lyncher chez lui.

C’était il y a quatre ans.

Aujourd’hui tout est bien pire. Le régime républicain intensifie la purge des flics blancs soupçonnés de ne pas adhérer au projet de remplacement complet de la population autochtones par des dizaines de millions de colons venus du monde afro-musulman.

Comme les policiers de Rouen.

Le moindre flic maghrébin ou noir est un informateur qui poignardera dans le dos ses collègues blancs à la première opportunité.

Comme ces recrues que l’on voit dans les vidéos ci-dessus.

N’oubliez pas en outre que les djihadistes ont les identités de tous les agents du renseignement intérieur français. Actuellement, les flics ne savent toujours pas comment le couple de policiers de Magnanville a été repéré et égorgé par nos compatriotes de confession musulmane devant leur gosse de 3 ans.

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