Les nouveaux lauréats du « Concours de la Résistance et de la Déportation » entendent inspirer la jeunesse française

Captain Harlock
Démocratie Participative
21 mai 2021

Quelle satisfaction de voir la Résistance arriver à sa conclusion logique.

Actu.fr :

C’est une nouvelle reconnaissance du travail accompli. Depuis 2003, le lycée Henri-Becquerel de Nangis participe au concours national de la Résistance et de la Déportation (CNRD), non sans un certain succès. « Le lycée de Nangis est l’un des établissements les plus titrés », confirme Vincent Kropf, non sans une certaine fierté.

Il faut dire que le professeur d’histoire-géographie prépare depuis plusieurs années les lycéens à ce concours dont la thématique n’est pas au programme de première, mais dont l’objectif est de perpétuer chez les élèves la mémoire de la Résistance et de la Déportation pour leur permettre de s’en inspirer et d’en tirer des leçons civiques dans leur vie d’aujourd’hui.

« Cette année, Giovanni et William offrent les 21e et 22e récompenses du lycée. S’ajoute la mention spéciale du jury pour la présentation collective des élèves de STG, pour les recherches et le travail effectué. »

Pour les deux élèves lauréats, qui se définissent comme des compétiteurs, ce concours fut « une bonne expérience et une opportunité de se confronter aux autres élèves ».

Pour le préparer, ils ont pu s’appuyer sur des articles de presse, des informations trouvées sur Internet et des documents fournis par leur professeur. Le tout avec des informations pertinentes, comme les différentes missions de résistance menées par Joséphine Baker, ou encore le rôle du recteur de la Mosquée de Paris qui a fourni de faux papiers aux juifs pendant l’Occupation.

Il faut bien intéresser le nouveau peuple français aux faits d’armes, certes très anecdotiques, de la résistance antifa.

Samuel Paty s’y emploie à coup de mosquée et de revue nègre.

« Nous sommes la première génération qui n’a pas connu la guerre. Le courage des jeunes Français en 1940 est inspirant pour les adultes que nous allons devenir », confie Giovanni, particulièrement marqué par l’histoire de Jean Moulin.

William, lui, a été frappé par le dévouement de la France pendant cette période : « C’est à nous de porter désormais cet héritage historique, conclut-il. C’est à la fois un fardeau et une chance. »

C’est qu’officiellement, le préfet Jean Moulin est devenu une icône de la France submergée par le tiers-monde.

Il faut dire que Moulin était déjà travaillé par le virus de l’antiracisme et de la négrophilie pathologique, précurseur de la grande majorité des Français contemporains qui s’empressent de donner leurs filles à des cafres.

Extase au RN

En juin 1940, les Allemands avaient été échaudés dans l’Eure-et-Loire, le département du préfet Moulin, par les pratiques des troupes nègres françaises. Un officier allemand tué au combat s’étant fait prélever des parties du corps à la lame pour la confection de grigris – une pratique pittoresque qui avait déjà cours en 14-18 et qui faisait honneur aux armes de la République.

Dans le même secteur, les Allemands ne mirent pas longtemps à découvrir que dans la débandade générale, les nègres s’étaient livrés à des exactions sur des civils français. Dans une ferme, les mahométans du Sénégal avaient violé des femmes blanches avant de les massacrer effroyablement sous les yeux des hommes qui furent ensuite pareillement égorgés. Le commandement allemand voulut passer par les armes les pointeurs nègres de la glorieuse armée républicaine, mais c’était trop pour Moulin qui, piqué dans son brûlant patriotisme, refusa. Les Allemands le traînèrent sur les lieux pour le faire méditer sur les cadavres des civils français massacrés par la soldatesque peule, allant même jusqu’à le planter une nuit entière à côté d’une femme française violée et tuée pour qu’il cogite sur ses responsabilités.

Rien n’y fit : Jean Moulin aimait les nègres et entendait bien résister au péril blanc. L’homme, visiblement atteint mentalement, était entré dans un délire si intense qu’il voulut se suicider sous les yeux d’un pauvre nègre des troupes coloniales interné avec lui.

Ce n’est pas par hasard qu’il est devenu l’icône de la Fronsse.

Très exactement 81 ans plus tard, les nègres sont fermement établis en France et pas qu’en Eure-et-Loire.

Dûment encadrés par les Samuel Paty de l’EdNat, ils reçoivent une soigneuse formation à la haine raciale antiblanche, dans une belle continuité résistante. C’est que ces nègres doivent savoir pourquoi ils ont le droit de mettre la main sur un maximum de femmes blanches en France : pour venger racialement leurs ancêtres amateurs de grigris et s’assurer de la Gaule qui leur revient de droit. Mais aussi, pour faire honneur au Prophète de l’Islam, à l’image de la Mosquée de Paris qui, dit-on, protégeait les juifs, nos maîtres à tous.

Le mythe de la Résistance, c’est encore De Gaulle qui en parle le mieux.

On a les mythes qu’on peut, j’imagine.

Voilà donc que la Résistance finit en boubou, juchée sur une France repeuplée par l’Afrique, rigoureusement tenue par la main sûre de la juiverie. Une France toute patriotique, se consumant d’une haine sincère et totale pour tout ce qui peut rappeler l’Europe blanche.

Qu’un sang blanc abreuve nos sillons

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