Captain Harlock
Démocratie Participative
29 juin 2018
Vous vous en rappelez sûrement, les USA avaient été le théâtre d’une vague d’antisémitisme suite à l’élection de Donald Trump. Les Nazis, reprenant confiance en eux, s’en prirent avec fanatisme aux synagogues et institutions juives du pays.
Ces animaux ont ainsi lancé des centaines d’alertes à la bombe contre ce petit peuple persécuté, par ailleurs phare moral de l’humanité.
Trump, soudainement harcelé de toutes parts, avait dû expliquer qu’il se prosternait aux pieds des juifs dont il jura de garantir la sécurité envers et contre tout.
Finalement, le FBI avait pu tirer l’affaire au clair et mettre la main sur ces Nazis.
Un tribunal israélien a reconnu jeudi un jeune israélo-américain coupable d’avoir provoqué à travers le monde plus de 2 000 alertes à la bombe aux dépens d’institutions juives ou de compagnies aériennes.
Sa peine devrait être prononcée ultérieurement.
L’arrestation du jeune homme de confession juive en 2017 avait fait grand bruit. Ses agissements avaient nourri les accusations de poussée de l’antisémitisme aux Etats-Unis sous la présidence Trump, commencée seulement quelques mois auparavant.
La multiplication des alertes qui lui sont attribuées était devenue suffisamment grave pour que des investigations soient lancées simultanément dans plusieurs pays et que le bureau d’enquêtes fédéral américain (FBI) dépêche ses agents en Israël.
Âgé de 19 ans aujourd’hui mais mineur au moment des faits, il est jugé par un tribunal pour enfants de Tel-Aviv pour 2 000 fausses alertes aux dépens non seulement d’institutions juives, mais aussi d’aéroports, de compagnies aériennes, d’écoles à travers le monde, ainsi que des personnes privées, dont le sénateur de l’Etat américain du Delaware Ernesto Lopez.
Il aurait également menacé un avion utilisé par l’équipe de basket de la NBA Boston Celtics, provoquant une fouille de l’appareil alors en route pour un match.
L’une de ses impostures aurait contraint des avions des armées de l’air française et suisse à escorter un appareil de la compagnie israélienne El Al à bord duquel se trouvait prétendument une bombe censée exploser au-dessus du territoire helvétique, selon les autorités israéliennes.
Le jeune homme qui vit à Ashkelon, dans le sud d’Israël, a également été reconnu coupable d’escroquerie, de blanchiment d’argent, de trafic de drogue, d’agression d’un agent de police et de possession d’images à caractère pédopornographique.
La justice américaine l’a elle aussi inculpé pour une multitude d’appels passés entre le 4 janvier et le 7 mars 2017 et prévenant faussement des centres communautaires juifs de Floride de l’imminence d’attentats à la bombe ou à l’arme à feu. Mais Israël a tenu à ce qu’il soit jugé sur son territoire.
M. (la justice israélienne ne dévoile pas le nom des prévenus mineurs) utilisait des appels et des messages écrits pour proférer ses menaces, transformant sa voix et cachant son identité grâce à des techniques sophistiquées.
Ses avocats ont plaidé qu’il n’était pas responsable de ses actes car il souffre d’une tumeur au cerveau et d’autisme.
Le juge a réfuté ces arguments, se fondant sur le rapport de trois psychiatres qui ont considéré qu’il était pénalement responsable.
Ha !
En fait, c’était les juifs.
C’est toujours les juifs.
Cependant, cette fois-ci, Trump a, dans la coulisse, exigé la tête du petit youtre qui opérait pour le compte de la synagogue de Satan. Ce qui a contraint Netanyahou à lâcher l’auteur.
Vous pouvez être sûr que ce youpin sera libéré d’ici l’année prochaine.
Dans 100% des cas, ces histoires de « profanations » ou de « menaces » sont de facture juive. Dans 100% des cas. C’est le meilleur thermomètre à notre disposition pour mesurer l’ampleur des crimes auxquels se livrent les juifs : plus ils sont occupés à piller et détruire, plus ils multiplient ce genre de fausses persécutions pour se poser bruyamment en victimes dans la presse hébraïque.