Les mendiants gâtés de l’Ukraine factice ordonnent à l’Open d’Australie de chasser le père de Djokovic

La rédaction
Démocratie Participative
27 janvier 2023

Srdjan Djokovic

Les Ukrainiens font partie de ces peuples qui ont une capacité presque illimitée de vous les faire haïr plus que la veille. Avec les juifs et les Algériens.

BFMTV :

L’ambassadeur d’Ukraine à Canberra a exigé vendredi des organisateurs de l’Open d’Australie qu’ils retirent l’accréditation du père du tennisman serbe Novak Djokovic, Srdjan Djokovic, qui a été filmé avec des supporteurs brandissant des drapeaux pro-russes.

Plus tard dans la soirée, ce dernier a finalement renoncé à assister au match. « Je suis là uniquement pour soutenir mon fils. Je n’avais pas l’intention de faire les gros titres ni de causer de perturbations (…). Pour qu’il n’y ait pas de perturbations durant la demi-finale pour mon fils ni pour son adversaire, j’ai choisi de regarder le match de la maison », a écrit Srdjan Djokovic dans un communiqué dont l’AFP s’est procuré un copie.

Même si c’était intentionnel, cette histoire de drapeaux russes interdits est odieuse. Surtout qu’on nous met partout le drapeau du pays factice qu’est l’Ukraine inventée en 1991.

Les boomeuses blanches obèses adorent particulièrement ça.

En outre, les Serbes, écrasés par les bombes de l’OTAN pour assurer la victoire de la racaille islamo-albanaise, ont toutes les raisons d’avoir de la sympathie pour les Russes.

Pour recontextualiser, ces mendiants ukrainiens ne figuraient sur aucun radar de la planète il y a encore un an.

Ce pays était si insignifiant, pauvre et défaillant, qu’il était situé entre le Tchad et l’Ouzbékistan sur la carte des pays sinistrés dont tout le monde se fout.

Ce n’est devenu un truc qu’à partir du moment où les médias juifs en ont décidé.

En un an de guerre juive, ces clochards sont devenus les stars de l’Occident et ils ne s’en sentent plus pisser. Chaque jour qui passe apporte son nouveau caprice de pouilleux agressif estimant avoir le droit au dernier traitement de luxe.

Bien entendu, le tout formulé sur un ton d’escort botoxé.

Hier c’était celui de décider qui est invité ou non aux JO de Paris, aujourd’hui de choisir qui peut avoir un billet à l’Open d’Australie, demain ce sera autre chose d’encore plus extravagant d’impudence et d’insolence.

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Je ne les supporte plus.

Je les supporte d’autant moins qu’ils nous entraînent dans une guerre mondiale pour protéger leur trou à rats dont eux-mêmes se sont tirés en masse il y a un an pour aller s’éclater à Monaco et à Courchevel.

Ce n’est pas le bon pays que l’on sanctionne économiquement et qu’on arme.

J’ai besoin de décompresser en regardant les Russes remettre ces méchantes gens à leur place. Leur machine de mort Terminator est précisément ce dont mes nerfs ont besoin.

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