Les médias juifs béatifient une gonzesse morte du Coronavirus parce qu’elle a 16 ans

Captain Harlock
Démocratie Participative
28 Mars 2020

 

Nous n’avions pas assisté à une campagne de dramatisation médiatique aussi pornographiquement lacrymale depuis l’affaire du « Petit Aylan ».

Ce truc fonctionne toujours de la même façon : faire pleurer dans les chaumières pour paralyser toute distance critique.

Cela fonctionne merveilleusement sur les beaufs et les rombières.

« Massacre ».

Une grande partie de la populace a l’impression de vivre un « massacre ».

Avec moins de 2,000 morts dans un pays où chaque année 600,000 personnes meurent, y compris de grippe ou de pneumonie.

L’hallucination collective atteint un tel point qu’on a l’impression d’être en pleine Première Guerre Mondiale.

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Les médias ne rapportent pas le fait que 93% des personnes qui meurent ont plus de 65 ans contre seulement 1% des moins de 40 ans.

Ni d’ailleurs que des centaines de milliers de gens, sinon des millions, sont déjà contaminés en France et que les morts de masse n’ont pas eu lieu et n’auront pas lieu.

Même si en France 30,000 vieux devaient mourir de ce virus, ce serait toujours dérisoire statistiquement. Les variations de 10,000 ou 20,000 morts d’une année sur l’autre, notamment en fonction de la virulence de la grippe, est une chose parfaitement commune.

L’objectif de cette martyrologie officielle est de terroriser toute la population en lui faisant croire qu’elle risque de mourir au même titre que les Boomers. Face à une population dévirilisée et domestiquée, le message passe à 300%.

La sidération médiatique tourne à plein régime.

Du genre, « comment éviter de mourir en achetant une baguette ? ».

Outre l’évidente manipulation, la population française autochtone n’a plus aucune fortitude.

L’attitude des afro-maghrébins est frappante à cet égard. Si elle est globalement commandée par le refus de l’ordre et leur stupidité congénitale, elle témoigne aussi d’une réelle indifférence face au danger.

La France est devenue cacochyme.