Captain Harlock
Démocratie Participative
17 décembre 2019
Les élections ne vont pas régler un problème bio-médical.
Les maires progressistes de Budapest, Varsovie, Prague et Bratislava ont scellé lundi un «pacte des villes libres» pour peser face aux populistes au pouvoir dans leurs pays respectifs et resserrer les liens avec l’Union européenne.
Un schéma nouveau : la bourgeoisie boboïsée d’Europe centrale qui tente de monter un putsch avec l’aide de (((Bruxelles))).
Je suppose qu’une bonne louche de LGBTisme sera ajoutée au cocktail pour faire bonne mesure.
Une cérémonie réunissant les dirigeants des quatre capitales s’est déroulée à Budapest où le nouveau maire de centre-gauche, Gergely Karacsony, a remporté en octobre une victoire surprise sur le candidat du pouvoir qui dirigeait la ville depuis neuf ans. Il s’affiche depuis son élection en opposant de premier plan au premier ministre nationaliste Viktor Orban. A Varsovie, le maire centriste Rafal Trzaskowski, victorieux en 2018 face à un candidat conservateur nationaliste, est également une figure emblématique de l’opposition.
«Le populisme est une réponse erronée et simpliste aux problèmes», a déclaré lors d’une conférence de presse le maire de Prague, Zdenek Hrib, élu de 38 ans affilié au parti Pirate et critique envers le pouvoir du premier ministre et homme d’affaire tchèque Andrej Babis. Le quatrième signataire du «pacte» est Matus Vallo, maire de Bratislava, issu du militantisme local et sans affiliation partisane dans un pays gouverné par la gauche populiste slovaque.
La déclaration stipule leur engagement commun à promouvoir «la liberté, la dignité humaine, la démocratie, l’égalité, l’Etat de droit, la justice sociale, la tolérance et la diversité culturelle».
Voilà, nous y sommes.
Tout le reste, les flonflons, les podiums, les costumes, les discours sur « l’Europe », etc., ne sont que des guirlandes pour les naïfs.
Le seul et unique but de ces conspirateurs à la solde de la banque juive est de repeupler leurs pays respectifs avec des ingénieurs et des mathématiciens d’Afghanistan et de Somalie.
Le maire de Budapest voit dans cette alliance «un nouveau chapitre», permettant de «protéger ce qu’il y a de bon dans l’appartenance européenne» alors que les gouvernements des quatre pays de l’Est ont des relations houleuses avec les institutions communautaires de Bruxelles sur des sujets comme l’immigration, la justice ou la corruption.
L’alliance des quatre élus espère pouvoir dialoguer directement avec les instances de l’UE pour décrocher des fonds européens au profit des grandes villes, en contournant les administrations centrales. «Ces dix dernières années, ces fonds sont souvent allés à des oligarques amis du gouvernement, il est scandaleux que l’argent européen finance l’autocratie et les oligarques», a déploré le maire de Budapest.
Et voilà !
S’il y a bien quelque chose qui m’a toujours rendu sceptique avec cette affaire d’élargissement de l’UE, ce sont tous ces politiciens de l’Est avides de sucer tout notre argent.
Ceux-là sont encore pires : ils se portent carrément volontaires pour noyer leurs capitales de nègres et de musulmans pour obtenir quelques centaines de millions d’euros et gaver les hipsters dégénérés qui votent pour eux.
Une nouvelle fois la démocratie apparaît pour ce qu’elle est : la peste bubonique juive qui se développe sur le corps putréfié de la bourgeoisie.
Le populisme ne mènera à rien parce qu’il repose sur la démocratie, le cirque électoral et que les juifs investiront toujours sur le candidat de leur choix et attendront leur heure.
Sans une révolution autoritaire qui purge la société de ses miasmes bourgeois, la pourriture menacera de s’étendre.
La charogne démocratique doit être balancée à l’équarrissage.