Les livres brûlés par les Nationaux-Socialistes « traitaient des sujets LGBT et du transexualisme » : la radio d’état allemande avoue enfin qu’Hitler n’a rien fait de mal

La rédaction
Démocratie Participative
05 juillet 2022

 

Pour approfondir : L’ordre SS, éthique et idéologie

La DW, la radio d’état allemande, – dirigée par des hipsters communistes, des homosexuels et des gouines sous la supervision de la CIA – a balancé par inadvertance quelques infos cruciales sur les fameux « autodafés » réalisés par les nationaux-socialistes allemands, peu après la libération de l’Allemagne en 1933.

Vous avez toujours entendu parler de ces autodafés (par les profs rouges à l’école, pour commencer), amalgamés à un « crime contre la civilisation », mais, curieusement, jamais de quels livres exactement il s’agissait.

Ces livres vont vous paraître étrangement familiers.

Une traînée américaine vous présente une « oeuvre d’art réalisée par un artiste israélien » qui rappelle l’autodafé du 10 mai 1933 en plein Berlin, actuelle Place de Bebel, du nom du marxiste Auguste Bebel.

Déjà, les lunettes de pétasse névrotique qui croit vivre dans un film noir, non.

Ensuite, sous la vidéo, les infos qui comptent.

Questions Fréquemment Posées : Quels livres ont été brûlés ? 📚

Le 10 mai 1933, des membres de l’Union des Étudiants Allemands NS et leurs professeurs ont brûlé des livres dans le cadre d’une action nationale « contre l’esprit non allemand ».

Les livres brûlés étaient considérés comme subversifs ou comme représentant des idéologies opposées au national-socialisme. Par exemple, des ouvrages d’auteurs juifs et de communistes comme Karl Marx, ainsi que ceux d’Albert Einstein, Sigmund Freud, Heinrich Mann et Kurt Tucholsky.

La fraude Einstein, le génocidaire fils de rabbin Marx, le détraqué sexuel Freud… pour ne citer que ceux-là.

Tout est du même tonneau : des youtres marxistes, sodomites et pédophiles voulant incendier l’Europe entière.

Heinrich Mann :

Mais venons-en au plus piquant :

Les livres de l’Institut de sexologie, qui a été saccagé, ont également été brûlés. Dirigé par Magnus Hirschfeld, l’institut publiait des ouvrages sur les sujets LGBTQ et le transsexualisme.

Nous avons déjà parlé du juif Hirschfeld.

Cet homosexuel juif est le grand précurseur du LGBTisme, tout spécialement dans son versant travelo.

Visez un peu ce faciès de Judée.

Rappelez-vous que les pédés à barbe ont toujours du foutre séché sur la gueule

Déjà cerné de tous les monstres dégénérés au début du 20e siècle, nous lui devons la promotion des travelos.

Ce satire homosexuel juif a ouvert la première « clinique » pour travelos d’Allemagne sous la république de Weimar, le régime démocratique juif imposé par les Alliés américains, français et britanniques en 1919.

Les NS n’ont rien brûlé par hasard.

Pas plus que ce n’était un (((hasard))) si toute la pourriture imprimée incendiée était un ramassis d’insanités sémitiques tournant autour de la destruction de l’ordre social blanc et du viol d’enfants.

La saturation pédo-LGBT médiatique actuelle n’est pas un accident.

Maintenant que les juifs croient les masses occidentales suffisamment embrigadées, ils revendiquent de quoi traitait les bouquins avec lesquels ils contaminaient l’Allemagne dont ils taisaient très soigneusement le contenu il y a encore 5 ans.

Les fiottes, gouines, travelos et autres tarés du même genre ne sont rien d’autre que des bêtes malades utilisées par les juifs dans leur entreprise d’anéantissement de toute forme de civilisation.

Ce que les juifs appellent « la démocratie » et « les droits de l’homme ».

Encore une fois, Adolf Hitler n’a rien fait de mal.

Aussi, il faut un giga mouvement NS pour nettoyer l’Europe, du sol au plafond.

Mais cette fois, pour de vrai.

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