Capitaine Harlock
Démocratie Participative
14 juin 2017
Voici la nouvelle lutte des lesbiennes : dénoncer les « hommes qui écartent les jambes » dans les transports en commun.
#Manspreading : « C’est assez révélateur de la place des femmes et des hommes dans la société. » @Margaux_Collet #LNE pic.twitter.com/EQmaYaADQY
— La Nouvelle Édition (@LNE) 14 juin 2017
Ce n’est pas comme si des sauvages en provenance de Tombouctou ou d’Alger étaient occupés à livrer l’Europe au pillage et à cibler les Blanches, comme à Paris au pied de la Tour Eiffel.
Cette grande cause européenne aurait presque été occultée par les tueries de Manchester ou Londres. Les (((médias indépendants))) sont là pour corriger la barre, très spontanément.
Heureusement les juifs sont également présents pour redresser la barre et rappeler aux hommes blancs qu’ils doivent rendre des comptes.
Ces putes féministes veulent encore intensifier la culpabilisation de l’homme en poussant le processus jusqu’à la rééducation gestuelle et corporelle.
Dans l’absolu, je pourrais m’étendre sur le sujet, mais au fond ça n’a aucune importance. Parce que la clientèle des transports en commun change très vite à Paris et dans les grandes villes hexagonales.
Pour résumer le résultat probable de l’expérience, voici ce que cette initiative va donner d’ici quelques années :