La rédaction
Démocratie Participative
20 avril 2023
Crédit Suisse a fait faillite le mois dernier.
L’une des principales raisons était l’agressivité croissante de Washington qui s’est arrogé une juridiction mondiale sur toutes les transactions en dollars, donc d’inventer des dossiers, de les juger aux États-Unis et de prononcer des peines d’amendes pour remplir les coffres des juifs.
Les dirigeants du Crédit Suisse en avaient assez et ont préféré organiser leur faillite.
Le problème, c’est que les juifs ont faim.
Et que font les juifs quand ils ont faim et que des goyim tentent d’échapper à leur voracité ?
RTS.ch :
Une enquête effectuée pendant deux ans par Credit Suisse a infirmé mardi les allégations selon lesquelles de nombreux nazis en Argentine ont eu des comptes chez l’ancêtre de cette banque. Des sénateurs américains contestent la façon dont les recherches ont été menées.
Il y a quelques années, une liste de membres de l’Unión Alemana de Gremios (UAG), une organisation en relation avec le nazisme allemand avait été dévoilée. Elle comptait des milliers de personnes ainsi que des relations bancaires en Suisse. A l’issue de la Seconde Guerre mondiale, l’Argentine avait été considérée comme un lieu de fuite pour les dirigeants du régime nazi.
En mars 2020, le Centre Simon Wiesenthal de lutte contre l’antisémitisme et le racisme avait établi une liste de 12’000 nazis installés en Argentine, soupçonnant beaucoup d’entre eux d’avoir eu des comptes au Schweizerische Kreditanstalt (SKA), l’ancêtre de Credit Suisse, en relation avec des fonds de victimes de l’holocauste. En 1999, la banque aux deux voiles avait signé un accord amiable mondial sur les fonds de la Shoah.
Ces juifs avaient en effet déjà extorqué 1,25 milliard de dollars aux Suisses en pleurant longuement à propos de cette histoire grotesque de chambres à gaz.
À présent que Crédit Suisse sort du jeu, les juifs sortent en panique de leur crypte et activent leurs créatures au parlement américain pour braquer la banque avant qu’il ne soit trop tard.
A sa demande, Credit Suisse avait accepté d’ouvrir une enquête dans ses archives et mandaté le cabinet AlixPartners pour faire des recherches. Une équipe de 50 personnes a examiné quelque 480’000 documents pour un total de 50’000 heures de travail, a quantifié la banque mardi soir dans un communiqué.
« Les enquêteurs n’ont trouvé aucune preuve pour soutenir les allégations du Centre Simon Wiesenthal selon lesquelles de nombreux individus sur une liste de 12’000 personnes en Argentine avaient eu des comptes au Schweizerische Kreditanstalt (…) pendant la période nazie », peut-on lire dans le document.
L’enquête n’a pas non plus trouvé de preuves selon lesquelles huit comptes, fermés depuis longtemps, auraient contenu des actifs de victimes de la Shoah, toujours selon le communiqué.
Mais une commission spéciale du Sénat américain accuse la banque d’avoir « limité le champ des recherches internes » et « laissé des angles morts » dans son enquête. De plus, les travaux étaient initialement supervisés par un médiateur indépendant, mais Credit Suisse a « de manière inexpliquée » mis un terme à sa collaboration avec lui en cours d’enquête, fustige cette commission.
Vous serez surpris d’apprendre que cette « contre-enquête » du sénat américain fonde toutes ses accusations sur les déclarations de l’avocat juif new-yorkais Neil Barofsky.
Apparemment, quand les juifs exigent de l’argent, le réflexe aux États-Unis est de constituer un comité d’enquête parlementaire « indépendant » entièrement contrôlé par les juifs.
D’après ce Barofsky, si ses congénères n’obtiennent pas une part du cash de Crédit Suisse, ce serait littéralement une nouvelle shoah.
Le sénat US est déchaîné.
« Lorsqu’il s’agit d’enquêter sur des questions de nazisme, la droiture de la Justice impose de ne négliger aucun détail », a déclaré le sénateur Chuck Grassley, cité dans le communiqué de cette commission sénatoriale paru mardi, jugeant que la banque « a échoué » sur ce point. Il lui reproche d’avoir opté pour une approche « rigide et étroite » dans son champ d’investigation et d’avoir « refusé de poursuivre de nouvelles pistes » mises au jour en cours d’enquête.
Ce Grassley est un agent des juifs, reconnu comme tel par la juiverie organisée qui ne tarit pas d’éloges sur son empressement à servir Sion.
Je dois dire qu’il a également un phénotype suspect.
C’est le genre de type avec lequel vous devez compter vos doigts après lui avoir serré la main.
Les terroristes juifs en tant que tels ne sont pas non plus restés inactifs.
Dans un communiqué séparé, le Centre Simon Wiesenthal, qui traque les criminels nazis, a lui aussi déploré la fin de la coopération avec le médiateur, expliquant que cette décision a érodé sa confiance dans « une revue historique équitable, indépendante et transparente ».
Contactée mercredi, Credit Suisse n’a pas souhaité faire de commentaires sur la fin de la collaboration avec ce médiateur. Dans le communiqué, elle évoque de « nombreuses erreurs factuelles » ainsi que des « propos trompeurs et gratuits » de la part du médiateur.
Ce groupe terroriste juif « traque les Nazis » 78 ans après la deuxième guerre mondiale et rien n’indique qu’il compte arrêter de le faire ces 78 prochaines années, même si personne ne sait au juste de quels Nazis il s’agit exactement.
Tant que l’Europe est occupée par la pieuvre judéo-américaine, le continent continuera de s’enfoncer dans le chaos, social et racial. Ce n’est pas avec le « populisme » démocratique dirigé par des femmes blanches que cette race de bandits cessera ses méfaits, encore moins son entreprise génocidaire contre les peuples blancs.
Sans rebâtir d’une façon ou d’une autre le mouvement national-socialiste en Europe, ces criminels internationaux seront libres d’agir à leur guise, agrippés à leur démocratie. Un mouvement révolutionnaire qui contredit si frontalement le système en place dans ses bases ne peut pas exister et triompher dans l’ordre des choses existant, encore moins dans le cadre étatique actuel. Non seulement parce qu’il serait violemment combattu dès sa naissance, mais encore parce que les masses sous l’emprise des juifs demeurent hypnotisées par sa puissance médiatique et ses mensonges. Un tel ordre ne peut véritablement prendre vie que de la future guerre mondiale et de ses résultats, exactement comme le NSDAP émergea de la ruine de 1918 en Allemagne.
Il faut dépasser la réalité du moment pour se projeter dans la grande phase historique qui va suivre. La prudence est à présent mauvaise conseillère, car nous arrivons au point d’ébullition générale ou la prime va au révolutionnaire et à l’audacieux, pas aux formules acceptables pour la bourgeoisie.
Une minorité raciste, révolutionnaire et organisée peut précipiter la chute du régime en exploitant à son avantage la fragmentation raciale, social et territoriale en cours. C’est un changement de paradigme continental dont il est question.