Le Libre Panzer
Démocratie Participative
21 avril 2018
Les juifs ne sont pas contents. Ils pleurent un peu partout parce que les flyers prolétariens de Démocratie Participative fleurissent ici et là.
Alors ils les prennent en photos pour geindre.
Ce flyer est certainement très réussi.
Goldman Sachs contrôle effectivement l’Eurozone et la Banque Centrale. C’est la machine financière juive par excellence, celle qui a plongé la Grèce dans le chaos le plus absolu, ruinant des millions de vies.
Mais le juif, tel le vampire, n’en a que faire.
Il y a deux approches principales qui mènent à la lutte contre les juifs.
La première, celle qui est habituellement cultivée dans les milieux nationalistes, touche à la nature même de la société que veulent imposer les juifs aux goyim. Le juif veut toujours reconfigurer les sociétés non-juives pour les sémitiser à outrance, notamment par la destruction du socle racial de celles-ci.
Bref, c’est la destruction de l’ordre social que recherchent constamment les juifs qui nous met en alerte.
Dans nos milieux, nous parlons souvent du rôle des juifs dans l’immigration, l’idéologie sans-frontiériste, l’instrumentalisation des masses non-blanches contre les Blancs, la destruction des valeurs traditionnelles, etc.
Mais nous devons avoir à l’esprit que des millions de gens sont déjà intoxiqués par le sémitisme mental. Pour eux, la promotion de la dégénérescence ne les choque pas outre-mesure, ni que l’on importe le Soudan à Auxerre.
Le nomadisme attalien leur paraît être la règle universelle.
Ils rejettent toute notion d’ordre, de limites. Ce sont des individualistes forcenés qui sont devenus des sociopathes. Ils se considèrent eux-mêmes comme des victimes d’un système que le juif lui a présenté comme intrinsèquement blanc, patriarcal, guerrier, exploiteur.
Bien sûr, ce système est juif de part en part.
Ces gens-là, bien que profondément insatisfaits, adhèrent à la narration sémitique des causes de leur mal-être. Parmi lesquelles, l’argent que volerait les « capitalistes blancs ».
Comment doit-on parler aux Blancs zombifiés ?
Vous ne pouvez pas savoir à quel point un communiste est obsédé par l’argent. Presque autant qu’un juif. Un communiste est obsédé par la fiche de paie de son voisin.
Pour des gens comme ceux-là, il nous faut un message adapté et leur expliquer qui contrôle effectivement les destinées financières de l’Europe, qui exige l’austérité actuelle, à qui vont les remboursements prohibitifs des dettes.
Donc, aux juifs.
Vous ne les rallierez pas à en vantant les mérites du libéralisme économique. Aucune chance.
Si vous commencez à dire que Goldman Sachs contrôle l’Eurozone et la BCE dont Mario Draghi est le shabbat goy officiel, que c’est une banque intégralement juive et revendiquée comme telle et que n’importe qui peut le vérifier, votre communiste commence à douter.
Je ne parle pas ici des dégénérés de Tolbiac, mais de l’électeur moyen de Mélenchon qui a un emploi réel ou même de l’abstentionniste acquis à cet inconscient.
De là, on peut aisément ébranler tout l’édifice de certitudes sur lequel sont assis ces Blancs zombifiés par le judéo-trotskisme ambiant.
Vous exposez ensuite la profonde immoralité de ces juifs qui dictent sans arrêt leur conduite aux goyim. Par exemple en dénonçant le degré de cruauté de ces juifs avec l’exemple grec, comment Goldman Sachs a trafiqué les comptes du pays pour le faire entrer dans l’Euro et spéculer ensuite sur la dette du pays.
Il vous suffit de dire ensuite : « Tu te rends compte de jusqu’où sont prêts à aller ces juifs pour de l’argent ? A priver des vieux de quelques centaines d’euros par mois pour ajouter des milliards à leurs milliards ! ».
Un communiste reste pétrifié devant cette démonstration élémentaire.
Vous n’intéresserez jamais ces gens avec des histoires d’identité puisque, par définition, ces gauchistes sont d’abord et avant tout des êtres antisociaux qui rejettent toute notion d’obligation collective et normative.
Pour l’enfermer définitivement, il suffit enfin de citer la Palestine. Naturellement, nous n’avons rien à faire de ces bougnoules palestiniens, mais montrer la sauvagerie avec laquelle ces juifs traitent les arabes permet d’exposer le double-discours juif. « Ils brûlent des enfants au phosphore blanc ! ».
Et vous interrogez : pourquoi tous ces juifs défendent tant les arabes chez nous mais les brûlent vivants en Palestine ? Pourquoi aident-ils les djihadistes en Syrie ?
Toutes ces questions donnent le vertige au gauchiste de base.
Sur les migrants, il ne faut pas parler aux gauchistes en termes identitaires, mais en termes de culpabilité : qui a détruit la l’Irak, la Libye et la Syrie ? Qui demande au prolétariat d’Europe de payer la note en accueillant ces migrants dont les pays ont été détruits ?
En résumé : « les juifs privatisent les bénéfices de ces guerres et nationalisent les coûts de ces guerres ».
Une fois qu’il a divorcé avec la Licra, le Crif et la juiverie internationale, votre communiste est mûr pour le virage définitif.
Sortir de sa zone de confort
Bref, ce qu’il faut retenir, c’est qu’un gauchiste a une structure mentale victimaire imprimée dans son esprit et qu’il faut aborder les problèmes avec lui sous cet angle : « Qui est le maître au pouvoir qui te persécute ? ».
Pour un gauchiste, ordre et exploitation sont synonymes. Si vous parvenez à lui faire admettre qu’il fait face à un ordre juif, c’est-à-dire à l’anarcho-tyrannie juive, vous l’avez rallié.
Une personne passablement intoxiquée par le sémitisme en reviendra. Un gauchiste radical acquis à sa propre destruction, probablement pas car c’est un cas psychiatrique qui calque des motivations politiques pour justifier de sa propre déchéance. De tels cas ne recherchent pas la vérité, mais à légitimer leur échec personnel.
Encore que, il y a des exceptions.
Ce qui en ressort, c’est que nous sommes plus cohérents que les gauchistes obstinément soumis aux juifs. Notre discours social, anti-financier, doit être antisémite et c’est ce qui le rend crédible, parce que révolutionnaire et violemment combattu par le gouvernement d’occupation juif. La répression étatique agit sur les masses anti-système comme une preuve de crédibilité.
Nous devons sortir du cadre psychologique qui est le nôtre, sortir de notre zone de confort, si nous voulons toucher les masses jusqu’à présent inaccessibles à notre discours.
Une fois que ces gauchistes conçoivent de l’hostilité à l’encontre de ces juifs, le racisme cesse d’être un argument véritablement efficace sur eux puisqu’ils le trouvent légitime contre la juiverie.
Il n’est plus qu’une question de temps avant que ces gens reconnaissent alors notre axiome : les métèques sont l’arme des juifs contre le peuple autochtone.