La rédaction
Démocratie Participative
19 septembre 2023
Mais pourquoi le juif Alimi, comme tous les juifs qui répètent la formule du juif Heinrich Heine, ne dit pas de quels livres il s’agit ?
L’extrême droite à toujours fini par brûler les livres avant de brûler les femmes et les hommes. La raison et l’humanité #autodafe https://t.co/RMB7mpCckE
— Arié Alimi Avocats (@AA_Avocats) September 19, 2023
En Allemagne, en 1933, les Nationaux-Socialistes ont brûlé des livres.
Vous en avez forcément vu les images en cours d’histoire, car c’est une part essentielle de l’embrigadement judéo-antifasciste dit « républicain ».
Vous vous êtes dit, « c’est trash quand même ».
Par contre, vos profs (de gauche) ne vous ont jamais dit quels livres ont été brûlés.
N’est-ce pas curieux ?
Si vous aviez été pleinement informé, vous auriez appris que les Nationaux-Socialistes ne se sont pas mis à brûler des livres au hasard, encore moins à grande échelle.
Il s’agissait de livres juifs parlant de marxisme, de freudisme, d’homosexualité, de pédophilie, de travestis, d’inceste.
Les mêmes immondices que les juifs déversent actuellement sur le monde entier via Netflix, Disney, etc..
Les images fameuses que vous avez vues ont été prises après que les NS ont saisi l’Institut de Sexologie du juif homosexuel Magnus Hirschfeld, à Berlin, en mai 1933.
Le 6 mai 1933, trois mois après la prise du pouvoir par Adolf Hitler, la jeunesse nationale-socialiste défile devant l’institut sous la protection des S.A..
Le même jour, les étudiants allemands prennent d’assaut l’établissement.
Toute la littérature infâme qui s’y trouve est collectée, dûment répertoriée et entreprosée en vue de sa destruction.
C’est un concentré de ce qui se fait de pire à cette époque et qui n’a rien à envier aux horreurs qui sont répandues dans les écoles en ce moment.
Hirschfeld, patron de l’institut, est considéré comme le pionnier du « transexualisme ».
Il a supervisé le cas du premier « transexuel » de l’histoire, Dora Richter, qu’il employait dans cet institut.
Les livres immondes saisis par les patriotes allemands sont brûlés à Berlin le 10 mai, place de l’opéra, lors d’une grande manifestation publique.
Les autorités allemandes ne procèdent pas en catimini, bien au contraire : elles veulent montrer au monde, et aux juifs, que l’ère de la déchéance est révolue.
Le Docteur Joseph Goebbels donne ce soir-là un grand discours où il proclame la fin de « l’intellectualisme juif » devant les étudiants berlinois déchaînés.
Encore il y a peu infectés de bolchevisme juif, ils sont tous galvanisés par la renaissance spirituelle de l’Allemagne qui prend forme sous leurs yeux.
C’est un des plus grands moments de la libération spirituelle d’une nation aryenne qui se révolte du joug sémitique.
C’est pour cette raison que la presse juive y revient constamment, encore sous le choc de ce puissant séisme qui précipita l’effondrement quasi complet de la juiverie en Europe, effondrement dont elle ne s’est jamais remise, malgré tous ses efforts.
Les juifs ne diront jamais quels livres les Nationaux-Socialistes ont brûlés, même encore aujourd’hui. Ils se contenteront de montrer des images d’autodafés et de parler de barbarie, misant sur la stupidité des masses pour ne pas chercher plus loin que les images.
La seule sauvagerie qui existe sur cette terre est celle produite par les juifs, race destructrice par essence, fumier des nations.
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