Captain Harlock
Démocratie Participative
31 octobre 2019
Ces démons à forme humaine que sont les juifs ne cessent jamais de répandre la mort et la destruction.
Avec l’effondrement de leur stratégie de démantèlement de la Syrie, ces terroristes ont déplacé le centre de gravité de leurs opérations au Liban où ils entendent bien créer une guerre civile afin de détruire le Hezbollah pro-iranien.
Les juifs veulent faire faire leur sale besogne par les sunnites et les Chrétiens de ce pays, les sunnites étant soutenus par les djihadistes qui contrôlent l’Arabie Saoudite.
Le ministère US du Trésor a lancé, le Partenariat international contre le Hezbollah (Counter-Hizballah International Partnership – CHIP), le 25 octobre 2019. Une trentaine de pays étaient présents autour de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international.
Dans la lignée de la « Réunion ministérielle visant à promouvoir un avenir de paix et de sécurité au Moyen-Orient » (Varsovie, 14 et 15 février) et de la réunion de suivi (Bahreïn, 21 octobre), les États-Unis entendent couper les revenus non-iraniens du Hezbollah. Cette stratégie devrait acculer le Hezbollah et le contraindre à se plier à l’Iran jusqu’à provoquer la rupture avec Téhéran.
C’est précisément cette opération qui a provoqué la clôture des banques libanaises (toujours fermées) et les manifestations qui suivent depuis 12 jours.
Avec un Liban doté d’un taux de change fixe avec le dollar, la monnaie libanaise est au bord de l’implosion en raison d’une dette souveraine devenue incontrôlable.
La finance juive a profité de la situation pour lancer un assaut financier contre le secteur bancaire libanais, incontournable pour gérer la dette nationale. Le but des juifs étant de pousser la population contre le Hezbollah.
L’annonce de nouvelles taxes a suffi à déclencher les troubles.
Après le retrait des troupes américaines du nord de la Syrie suite à l’invasion turque, les juifs ont compris que pour obtenir une guerre globale contre l’Iran, ils devaient trouver un autre hameçon et changer de théâtre d’opération.
Le journal belliciste juif « The Washington Post » l’a annoncé sans détour le 16 octobre dernier avec une alternative : le Liban.
Dans une série de conversations officieuses, des politiciens et des responsables de la sécurité libanais se sont dits préoccupés par l’acquiescement de Trump à l’invasion de la Syrie par la Turquie et par l’éclipse apparente du pouvoir des États-Unis. « J’ai pitié de l’Amérique », m’a dit un membre éminent du Parlement. « Nous ressentons de la pitié », a déclaré un haut responsable de la sécurité. « Cette Amérique n’est plus l’Amérique que nous connaissions. »
Plusieurs responsables ont déclaré que le retrait du soutien des États-Unis à leurs alliés en Syrie était presque une garantie de victoire pour l’alliance qui comprend l’Iran, la Russie et le régime syrien du président Bachar al-Assad, qui travaille peut-être en collaboration avec la Turquie.
« L’axe Iran-Syrie-Russie a gagné « , a déclaré un haut responsable politique libanais. « La Syrie sera de nouveau unie « , alors que le régime conclut un accord avec la milice kurde affaiblie qui s’y trouve, a déclaré le haut responsable de la sécurité. Il a expliqué que, pour l’Iran, ce dénouement syrien est idéal : « Qui pourrait leur offrir une situation meilleure que cela ? »
L’anxiété des Libanais face aux revirements américains en Syrie est en grande partie une question d’intérêt personnel. Le Liban survit en maintenant un équilibre entre l’Est et l’Ouest, l’Iran et l’Arabie saoudite, les sunnites et les chiites, les chrétiens et les musulmans. Ce qui a contribué à maintenir cette structure précaire en vie pendant des décennies, c’est la conviction que les États-Unis, en fin de compte, ne laisseraient pas le pays être entièrement dominé par des ennemis de l’Occident.
Les ennemis de (((l’Occident))).
Mais toute confiance restante dans le pouvoir américain a été ébranlée la semaine dernière. Hasan Nasrallah, le leader du Hezbollah, s’est réjoui le lendemain de l’invasion turque : « On ne peut pas faire confiance aux Américains puisqu’ils ne tiennent pas leurs promesses envers ceux qui dépendent d’eux. » D’autres Libanais ont eu du mal à ne pas être d’accord.
Voici une suggestion pour une administration Trump qui doit réaffirmer ses intérêts au Moyen-Orient : doubler la mise sur le Liban, un pays où les États-Unis fournissent déjà un soutien économique et militaire important. Le secrétaire d’État Mike Pompeo, qui dit vouloir un Liban plus fort, devrait conditionner cette aide supplémentaire à des réformes économiques spécifiques qui peuvent endiguer la corruption qui constitue une menace presque aussi grave que le Hezbollah.
Certains responsables de l’administration soutiennent que Beyrouth est déjà une cause perdue : le Hezbollah est la force politique dominante ici, alors laissons l’Iran s’inquiéter de l’effondrement du Liban, affirment-ils. Mais cet argument est faux, surtout maintenant. La dernière chose dont le Moyen-Orient a besoin, c’est d’un autre État en déliquescence, surtout à la frontière israélienne. Un État libanais plus fort ferait du mal au Hezbollah plutôt que de l’aider.
« Surtout à la frontière israélienne. »
Ce « surtout » me plonge dans un état de contemplation.
Les États-Unis fournissent déjà environ 200 millions de dollars par an en matériel et en formation aux forces militaires et de sécurité libanaises, ont indiqué des responsables américains. Et c’est le plus grand donateur d’aide pour les quelque 1,3 million de réfugiés de guerre syriens ici. Les États-Unis devraient encourager l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis et les autres puissances régionales qui s’opposent à l’Iran à investir davantage d’argent au Liban également. Mais les Etats-Unis doivent convaincre les états du Golfe que leur argent ne disparaîtra pas dans le gouffre de la corruption libanaise.
Le principal ennemi d’un Liban fort et souverain est le Hezbollah, qui profite du chaos. Il s’ensuit qu’un Liban plus fort affaiblira, avec le temps, la milice chiite. La faillite du Liban pour faire pression sur l’Iran, comme le suggèrent certains responsables américains, serait une folie de plus pour une administration Trump qui a déjà fait beaucoup trop d’erreurs au Proche-Orient.
En résumé, les juifs appellent à plonger le Liban dans l’anarchie et la guerre civile pour détruire le Hezbollah, seule force armée en mesure de tenir tête à la bête hébraïque retranchée en Palestine.
La juiverie qui contrôle les USA a donc donné le feu vert.
Washington et des pays du Golfe sanctionnent 25 entités liées à l’Iran et au Hezbollah https://t.co/iIaTPTEuep
— i24NEWS Français (@i24NEWS_FR) October 30, 2019
Israël demande aux Occidentaux de conditionner leur aide au Liban à des actions contre les missiles du Hezbollah https://t.co/jcgz4ZpTZ8
— i24NEWS Français (@i24NEWS_FR) October 30, 2019
Pour parvenir à quelque résultat que ce soit, les juifs ont besoin d’entraîner les USA dans une guerre directe contre l’Iran.
Pousser dans un premier temps les USA contre un allié de l’Iran ferait l’affaire et c’est ce que font ces sales juifs au Liban. Le Hezbollah libanais peut servir d’appât et justifier une intervention occidentale pour le compte d’Israël.
Ce nouvel incendie nous intéresse au premier chef car le gouvernement français, totalement contrôlé par les youpins et les bédouins d’Arabie Saoudite, ne pourra pas s’empêcher d’aller fourrer son nez dans ce trou à rats.
Ce qui signifie que des soldats français seront expédiés au Liban pour défendre les intérêts de Yahwé.