Captain Harlock
Démocratie Participative
20 Juillet 2020
Aujourd’hui, le journal juif Le Monde [Propriété des oligarques juifs (((Xavier Niel))) et (((Matthieu Pigasse))), directeur de la publication (((Louis Dreyfus))), directeur de la rédaction (((Luc Bronner))) ] a publié un article validant le concept antiblanc de « micro-agressions » inventé par les révolutionnaires juifs des universités américaines.
L’article est payant mais une moitié est cependant accessible et c’est amplement suffisant pour comprendre la démarche de mise au pas idéologique qu’il soutient.
Le Monde :
« Vous venez de quel pays ? » « Tu dois aimer quand il fait chaud ! », « Comme vous parlez bien français ! » Ces petites remarques anodines se veulent souvent bienveillantes. En réalité, elles pétrifient les Français des Antilles ou d’origine africaine à qui elles s’adressent. Signe d’ethnocentrisme blanc, ignorance ou racisme euphémisé, ces expressions assénées « sans penser à mal » mais ressenties douloureusement sont partie intégrante d’une expérience de vie que seules connaissent les personnes appartenant aux minorités visibles, mais qu’il n’est pas interdit aux autres de chercher à comprendre, voire à combattre.
« Ce sont des microagressions, si petites que les auteurs ne les perçoivent jamais, mais qui blessent », témoigne l’historien Pap Ndiaye. Professeur à Sciences Po, il raconte s’être fait proposer l’adhésion à un club de perfectionnement en lecture lors de son inscription dans une bibliothèque municipale. « C’est comme le supplice de la goutte d’eau. Une fois, cela n’a rien de grave, mais un million de fois, c’est insupportable », constate-t-il.
Paternalisme, héritage colonial, assignation à identité… Les explications possibles dépassent le cadre d’un attrait pour la différence ou du simple quiproquo : elles relèvent d’une essentialisation de la couleur de la peau, du soupçon d’extranéité. « Etre français, c’est encore être blanc ; être non-blanc, c’est être d’ailleurs », analyse Pap Ndiaye. Ainsi, les microagressions révéleraient notre difficulté à « penser le fait d’être français indépendamment de la couleur de la peau ».
Relancé dans le sillage de la mort de George Floyd, aux Etats-Unis, et de l’affaire Adama Traoré, le débat français sur le racisme met en lumière la diversité des registres dans lesquels se manifestent les préjugés.
La nouvelle figure tutélaire de la gauche judéo-progressiste parisienne.
Un acteur porno noir mort d’overdose.
A côté d’un noyau dur (violence, injure, incitation à la haine), réprimé par la loi, existe toute une gamme d’expressions plus diffuses, moins explicites et donc plus difficiles à cerner et à combattre, mais largement plus courantes. Les microagressions en question sont une manifestation de ce racisme implicite, voilé, souvent inconscient mais ravageur.
Cette réalité n’est pas neuve. Décrite dès la fin des années 1960 aux Etats-Unis, elle a ensuite été largement documentée et analysée. Dénommée « racisme systémique, structurel ou institutionnel, [elle] repose sur des modalités de discrimination qui n’ont pas besoin d’être portées par des individus explicitement racistes », rappelle le sociologue Michel Wieviorka, spécialiste du racisme et directeur d’études à l’Ecole des hautes études en sciences sociales, dans Pour une démocratie de combat (Robert Laffont, 488 p., 21 euros).
La presse juive ne rate jamais une occasion de promouvoir agressivement un de ses rabbins à la faveur de la moindre polémique qu’elle cherche à déclencher. Ici, en l’espèce, le vieil hébreu marxiste Wieviorka qui a consacré sa vie à fomenter une guerre raciale d’anéantissement sur le territoire français.
Visez un peu ce faciès de vendeur de dattes levantin, plein de sa haine tranquille
Avant de passer à l’idée centrale de cet article, il est important de comprendre que ce qui tient lieu « d’élites » en France en 2020 considère cette feuille rabbinique qu’est Le Monde comme faisant autorité en matière d’exégèse talmudique tout comme au 19ème siècle le journal La Croix faisait autorité auprès des Catholiques. Quand cette publication sémitique met son imprimatur sur le concept de « micro-agressions » pensé par les révolutionnaires juifs pour alimenter la haine antiblanche au sein des masses allogènes, cela signifie qu’il respecte la kashrout de l’idéologie dominante. Partant, il est bon pour la consommation.
Pour en venir au concept lui-même qui est développé dans cet article, il vise ni plus ni moins qu’à désaryaniser la nationalité française pour la remplacer par une « citoyenneté » pensée par et pour les juifs – avec le concours des démocrates et autres marxistes – dont le principe cardinal est le cosmopolitisme.
En réalité, au plan purement légal, la nationalité française est sémitisée depuis déjà longtemps. La constitution de la 5ème République, rédigée en 1958 par le petit-fils de rabbin Michel Debré avec l’aval de De Gaulle, est explicitement « antiraciste », c’est-à-dire conçue pour prévenir la formation d’une conscience raciale collective des populations blanches de France :
Article Premier. La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances.
Ce n’est là que la transcription d’un principe qui se trouvait déjà dans le préambule de la constitution de 1946 :
Au lendemain de la victoire remportée par les peuples libres sur les régimes qui ont tenté d’asservir et de dégrader la personne humaine, le peuple français proclame à nouveau que tout être humain, sans distinction de race, de religion ni de croyance, possède des droits inaliénables et sacrés.
Le principe d’une nationalité découplée de la race est donc théoriquement immédiatement mise en place au lendemain de la défaite du Troisième Reich. Nous le devons à l’hébreu le plus éminent du gaullisme : René Cassin.
Le rabbin René Cassin à droite de De Gaulle
Le Quai d’Orsay raconte avec enthousiasme la sémitisation radicale de la constitution française sous la direction du principal scribe israélite de De Gaulle.
On notera que le comité était au départ en présence d’une proposition britannique de véritable convention ayant une plus grande force juridique qu’une simple déclaration. Mais le délégué soviétique proposa que l’on rédige d’abord un texte de base sous forme d’une déclaration-manifeste ; cette proposition fut adoptée, et fut réalisée, on l’a vu, par René Cassin. On notera également que son avant-projet reprenait le contenu de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, mais y ajoutait les droits politiques, le droit à la nationalité, la protection des étrangers, et les « droits sociaux, économiques et culturels ». Cette dernière question allait faire par la suite l’objet des plus grands débats et des plus grandes difficultés dans l’élaboration complexe de la Déclaration de 1948 et ensuite des conventions qui devaient en découler. Mais cette extension de la notion de droits de l’homme, au-delà de la déclaration de 1789, correspondait à l’évolution des conceptions françaises dans ce domaine, telles qu’elles avaient été formulées dans le programme du Conseil national de la Résistance puis dans le préambule de la constitution de 1946. René Cassin lui-même citait ce préambule comme l’exemple d’un excellent point de passage entre la société universelle que constituent les Nations-Unies et les droits des individus d’un État donné.
L’évolution des « conceptions françaises » sur le sujet était surtout le résultat de la main mise juive sur l’appareil d’état républicain fraîchement restauré avec à sa tête le fantoche De Gaulle. Avec la constitution de 1946 puis la Déclaration des « droits de l’homme » de 1948, il s’agissait de poser les bases juridiques d’un futur gouvernement mondial d’inspiration sémitique qui serait édifié sur les ruines des nations écrasées par l’alliance entre ultra-capitalistes anglo-américains et ultra-communistes russes, alliance rendue possible grâce au mortier du judaïsme international en 1939.
La question de l’immigration est posée par le gouvernement antifa dirigé par De Gaulle dès 1945. Un affrontement a lieu entre d’un côté George Mauco, défenseur d’une saine politique raciale, et l’un des juifs de l’entourage de De Gaulle, Robert Debré, fils de rabbin dont le fils, Michel, a intégré la désaryanisation de la nationalité française dans le premier article de la constitution de 1958.
L’hébreu gaulliste Robert Debré
L’hébreu gaulliste Michel Debré (fils du précédent) et « sa » constitution antiraciste de 1958
L’hébreu gaulliste Jean-Louis Debré, fils du précédent et ex-président de l’Assemblée Nationale
Mauco comprend parfaitement la question raciale et appelle à une politique d’immigration strictement raciste.
Gisti :
Il porte ce jugement dans un témoignage écrit (jusqu’à présent inédit) qu’il produit, le 3 septembre 1941, à la demande de la Cour suprême de justice siégeant à Riom. Dans l’ordre croissant d’indésirabilité : les Russes, les Arméniens et bien sûr les Juifs. « Les Juifs pratiquaient une politique internationale au service de laquelle ils s’efforçaient de mettre le pays d’accueil. […] Dans tel village de l’Oise, la venue d’un médecin Roumain israélite fait tomber la moitié de la natalité par avortements. […] Leur aptitude à la compilation du savoir et de l’argent leur permettait d’affluer dans les sphères dirigeantes de la nation ».
Quelque temps après ce témoignage, dans un article publié en mars 1942 dans L’Ethnie française, journal dirigé par Georges Montandon, Mauco développe sa pensée en reprenant souvent mot pour mot son témoignage de Riom. Pour lui, les réfugiés politiques sont les plus indésirables des immigrés pour deux raisons principales.
La première raison est que cette immigration est imposée à la France et est, de ce fait, cause de bien des maux : depuis 1882 « l’immigration [de réfugiés] imposée par une étrange anomalie, était laissée sans contrôle. En 1936, un comité composé des délégués de la Ligue des droits de l’homme, des associations israélites, des comités de réfugiés étrangers et des partis socialiste et communiste, fut institué au ministère de l’Intérieur, pour accorder le droit d’asile à tous les apatrides et réfugiés, sans préoccupation sanitaire, ethnique ou économique. […] Les tendances politiques égalitaires des gouvernements leur interdirent d’agir en conséquence et d’assurer la protection ethnique du pays ».
Après sa conquête de la France en 1936, le juif Blum ouvre immédiatement les vannes de l’immigration à tout ce que comptait l’Europe d’agents juifs du NKVD soviétique, de rouges italiens et de violeurs de nonnes espagnols en fuite, faisant de la France le dernier refuge judéo-communiste d’un continent intégralement conquis par les puissances autoritaires aryennes.
Dès lors, la France ne s’appartiendra jamais plus, devenant une simple réserve de viande aryenne pour les besoins de la nouvelle guerre mondiale que fomentent les juifs pour abattre les puissances de l’Axe avant que l’Europe n’échappe définitivement à la prédation financière de la juiverie new-yorkaise et moscovite.
L’hébreu rouge Léon Blum
Mauco comprend à quel point, en 1945, la France a déjà le sang soufflé par des millions de sujets insolites, pour l’essentiel venus des ghettos d’Europe de l’Est ou des coins les plus malfamés de Méditerranée ou des colonies. Le cap, insiste-t-il, doit être à la (re)nordicisation de la France sous peine de mort biologique de la nation française :
En fin de compte, le débat au sein du gouvernement portera sur les critères de recrutement de ces immigrés. Partisan d’une sélection ethnique par quotas, inscrite dans les textes, G. Mauco la fonde encore sur une classification des ethnies selon un degré d’assimilabilité. Il fait approuver par le Haut-Comité de la population un projet de « directive générale ». « La politique de l’immigration doit subordonner l’entrée des individus aux intérêts généraux de la nation sur le plan ethnique, sanitaire, démographique et géographique ». La sélection devra tenir compte de critères d’abord ethniques : « Il conviendra de limiter les entrées des méditerranéens et des orientaux dont l’afflux a profondément modifié la structure humaine de la France depuis un demi siècle ». Un ordre de « désirabilité » nationale ou ethnique, est donc déterminé.
Les premiers dans l’ordre de « désirabilité » sont les « nordiques » qui comprennent Belges, Luxembourgeois, Hollandais, Suisses, Danois, Scandinaves, Finlandais, Irlandais, Anglais, Allemands et Canadiens. La proportion de nordiques souhaitée au sein de l’immigration totale est de 50 %. C’est surtout la main-d’œuvre allemande « encadrée » qui semble être recherchée.
Les deuxièmes, d’après cette échelle de valeurs, sont les « méditerranéens », dès lors qu’ils viennent du nord de chacun des États concernés : Espagne, Portugal ou Italie ; proportion souhaitée : 30 %. Les Slaves, Polonais, Tchécoslovaques, Yougoslaves pourraient enfin représenter 20 % des introductions. Pour « les étrangers d’autres origines », leur introduction en France « devra être strictement limitée aux seuls cas individuels présentant un intérêt exceptionnel ». Pour des raisons démographiques, l’arrivée de familles et d’éléments jeunes est exigée ; outre un contrôle sanitaire des arrivants, ce texte prévoit l’organisation d’une sélection par profession et la protection des professions libérales ou du commerce.
Mauco veut interdire toute immigration non-blanche, hormis quelques cas « exceptionnels » que l’on imagine liés à des considérations purement politiques. C’est que toute la pouillerie des colonies françaises se déverse déjà en masse sur la métropole depuis l’entre-deux-guerres et qu’il y a grande urgence à agir.
Le Gisti rappelle :
Le 20 septembre 1947, l’attribution de la citoyenneté aux musulmans d’Algérie légalise leur liberté de circulation en métropole, déjà effective depuis 1946. Dès lors, la politique de l’immigration se réorganise autour du problème algérien.
L’activiste immigrationniste d’origine juive Patrick Weil détaille l’affrontement entre George Mauco et le tandem Debré/Sauvy sur la question cruciale de l’immigration non-blanche :
Mauco s’est déjà prononcé sur les deux questions et reste fidèle à sa pensée : la politique d’immigration doit être avant tout fondée sur la qualité et l’origine ethnique est déterminante pour l’assimilation. Alfred Sauvy et Robert Debré sont en faveur d’une immigration de masse et ils ont rapidement obtenu un accord sur un objectif quantitatif de 300 000 entrées par an. Mauco précise alors : « une immigration d’une telle ampleur ne serait admissible qu’à condition d’être strictement dirigée sur les plans ethniques, sanitaires, professionnels et géographiques. » Si on admet le chiffre limite de 300 000 immigrés par an, il faudrait prévoir dans cet apport annuel : 195 000 Nordiques, 105 000 Méditerranéens et Slaves. » Pour lui la sélection « ethnique » est donc une condition déterminante de la quantité.
Si le gaulliste Robert Debré est un juif, Alfred Sauvy ne l’est pas. En revanche, c’est un narbonoïde louche des confins de la Catalogne française dont les sympathies pour ses congénères anarchistes d’outre-Pyrénées ne sont pas un secret.
Alfred Sauvy ressemble à un vieil algérien
A tel point qu’il est membre du gouvernement d’union antifasciste dirigé par Blum en 1936.
En témoigne, un débat qui oppose au cours d’une réunion interministérielle le 10 avril 1945, Mauco et Sauvy. Mauco soutient avec énergie qu’il faut repousser une offre de transfert de 100 000 travailleurs musulmans faite par le gouverneur d’Algérie. Il souligne « les résultats déplorables de l’expérience du passé » et « l’unanimité de l’opinion » sur la gravité des risques que créerait cette arrivée. Sauvy lui « fait remarquer qu’une migration d’Algérie en France pourrait être un jour considérée comme une migration intérieure à laquelle il serait difficile de s’opposer ». Pour ce dernier, mieux vaut des Italiens que des Turcs ou des Arabes, mais le besoin de population nouvelle pour la France est tel que si on n’a pas le choix, mieux vaut des Arabes ou des Turcs que pas d’immigrés du tout. Tandis que pour Mauco, l’origine détermine tellement l’assimilation que si on ne peut les choisir que parmi des Juifs ou des Arabes mieux vaut pas d’immigrés du tout.
Le 10 avril 1945, alors que Berlin continue de résister aux assauts du bolchevisme juif, le nouveau gouvernement français sous influence hébraïque est déjà occupé à normaliser l’arrivée de centaines de milliers de colons afro-musulmans. Projet que tente de combattre comme il le peut George Mauco, sans succès.
La destruction des Blancs de France
En 1946, comme je l’expliquais plus haut, la constitution de la 4ème République consacre dans son préambule le principe de l’abolition de toute conscience raciale blanche à l’initiative du juif René Cassin. L’année précédente comme je l’expliquais également, la juiverie planifie l’immigration de masse au rythme de 300,000 migrants importés par an, y compris d’Afrique du Nord.
Mais ce n’était là qu’une première étape aux yeux des juifs.
En 2020, l’abolition théorique de la race blanche par la constitution de 1946 puis de 1958 n’est plus suffisante. Comme n’était plus suffisante aux yeux des révolutionnaires marxistes juifs l’égalité devant la loi de 1789 qu’ils entendaient dépasser par l’égalité réelle, c’est-à-dire par le collectivisme et le meurtre de masse. Il s’agit à présent d’enclencher l’abolition réelle de la race blanche en France.
L’importation massive d’allogènes orchestrée par les juifs depuis 1945 leur permet à présent de passer à la phase active de l’abolition physique et définitive des Français de souche. C’est pourquoi l’article du Monde présente les indigènes agressés par l’envahisseur extra-européen comme le « micro-agresseur » par la seule prétention qu’ils auraient de se croire encore chez eux.
L’agressé devenant l’agresseur par le miracle du pilpoul médiatique, il ne reste qu’à l’achever au nom de la morale dont le périmètre est rigoureusement délimité par les intérêts juifs.
Les chiffres les plus récents sont sans appel : la France approche désormais des 50% de naissances non-blanches, cap qu’elle devrait franchir entre 2025 et 2030.
Aux yeux du commandement juif, la désaryanisation de la nationalité française ne doit plus se cantonner au seul domaine platonicien du débat constitutionnel. Elle doit devenir la nouvelle réalité biologique de la nationalité française. Autrement dit, par un tour de passe-passe typiquement juif, la nationalité française doit devenir l’antithèse de la nationalité française telle qu’elle était historiquement. C’est-à-dire un titre qualifiant un salmigondis de races et de tribus gouvernées d’une main de fer par les commissaires politiques juifs de la République.
Cette révolution bio-politique qui a commencé en 1945 a pour ainsi dire atteint tous ses objectifs en France. Les Français de souche ont dans leur grande majorité été sémitisés psychologiquement sans même s’en rendre compte. Si un Français de 20 ans né en 1900 serait proprement horrifié à la vue des rues d’une grande ville française, ses descendants se disent horrifiés à la seule idée d’une France qui ne serait pas un gourbis multiracial.
Et ce gourbis que vous avez sous les yeux n’est qu’un avant-goût de ce que sera la France à la fin du 21ème siècle si elle devait poursuivre dans la voie que les juifs lui ont préparé.
La France de 2100 sera à l’image du Calais de 2016
Les Blancs militant pour leur autodétermination et leur survie ne doivent pas se laisser abuser. Derrière les discours sur la « tolérance » de la bourgeoisie sémitisée qui se dit démocrate se cache en réalité la lâcheté de devoir répondre des conséquences pratiques pour le peuple des décisions prises par les juifs.
Seul le juif adhère réellement à ce que l’on appelle « l’antiracisme », c’est-à-dire au génocide des populations blanches en France. Ce n’est d’ailleurs que le dernier masque du bolchevisme talmudique.
Extirpez le juif du cœur de l’appareil d’état français, privez-le de son arsenal médiatique, dénoncez-le à la vindicte populaire et vous briserez le sortilège qui paralyse toute réaction des autochtones promis au génocide par le peuple élu.
Par sa presse et ses auxiliaires ministériels, c’est le juif qui diffuse le poison de la haine antiblanche à tous les échelons de la société. Il est l’âme de cette conjuration démoniaque, l’esprit du crime. C’est pourquoi, aussi hostiles et nuisibles que soient les masses musulmanes ou africaines que le juif importe cyniquement, leur dangerosité est infiniment moindre que celle représentée sur le long terme par l’empoisonneur des peuples. Peu importe les événements à venir, notre regard ne doit jamais quitter le juif. Retranchez le juif de son poste de commandement et vous verrez à quelle vitesse se décompose la coalition des ennemis de la race blanche. Au point où vous aurez l’impression qu’il s’agit des effets d’une intervention divine.
Le juif, le maître du mensonge, n’est fort que de nos faiblesses mais surtout, de sa dissimulation. Le quartier général juif doit être désigné comme la cible de toutes nos offensives, inlassablement. Pas un jour ne doit passer sans que le juif ne soit attaqué politiquement et dans les termes les plus brutaux.
Pour juger du caractère révolutionnaire de quelque parti ou individu que ce soit, il suffit de jauger son degré d’antisémitisme. Dans ce domaine, nous devons être irréprochables et ne pas avoir une seule minute de bienveillance à l’égard de la juiverie à nous reprocher.
Commentez l’article sur EELB