Les juifs pleurent des larmes de crocodile sur une vidéo d’une prétendue décapitation d’un soldat ukrainien

La rédaction
Démocratie Participative
12 avril 2023

 

Les juifs ont surgi sur les écrans du monde occidental dans la matinée avec une vidéo de décapitation qu’ils disent être commise par des soldats russes contre un soldat ukrainien.

D’abord le juif en chef Zelensky.

L’exécution d’un prisonnier ukrainien…
Cette vidéo montre la Russie telle qu’elle est. C’est une vidéo de la tentative de faire de cette situation la nouvelle norme.
Tout le monde doit réagir. Chaque dirigeant. Ne vous attendez pas à ce que cela soit oublié.
Nous n’oublierons rien. La défaite de la terreur est nécessaire.

La vidéo a disparu de Twitter.

C’est suffisamment coordonné pour qu’ils en espèrent quelque chose.

Le juif Lévy a révélé l’intention : suspendre la Russie de l’ONU.

Après la vidéo du soldat ukrainien décapité, nous devons a) identifier et honorer la victime ; b) nommer et attraper le tueur ou, au moins, Vladislav Pozdniakov qui a publié la vidéo ; c) dénoncer et mettre fin au scandale scandale de la #Russie de Poutine présidant le #UNSC.

Personne ne sait exactement si les hommes qui exécutent la victime sont russes ou non. Les gens de Zelensky ont pu flanquer un uniforme ukrainien à un prisonnier russe, cacher son visage avant de l’exécuter en filmant la scène pour les besoins de la propagande du régime.

Il est également possible que des soldats russes aient décapité un soldat ukrainien.

Le contexte est inconnu et restera inconnu. Ce soldat était peut-être en train de violer des femmes quelques heures avant de se faire capturer. Ou de piller et de tuer des civils après les avoir torturés, entraînant une mise à mort impitoyable.

Nous n’en avons aucune idée. S’indigner comme des femmes sur quelque chose d’aussi marginal n’a aucun sens. C’est de la sensiblerie qui n’a pour seul effet que d’être exploitée cyniquement par les juifs.

Quand Napoléon a pris Jaffah, il a fait exécuter des milliers de soldats turcs qui s’étaient rendus sans se poser de questions, parce que c’était ingérable. Il a également donné deux jours et deux nuits à ses soldats pour violer, piller et assassiner ce que bon leur semblait dans cette zone.

Mourir décapité est une des choses les plus habituelles de l’art de la guerre, en Occident et ailleurs.

Les Celtes y avaient régulièrement recours et attachaient les têtes de leurs ennemis vaincus à leurs chevaux de guerre avant d’en décorer leurs temples. Cette étude revient sur cet usage.

Cette méthode ne me choque pas, personnellement. Certainement pas plus qu’une balle dans la tête ou qu’une bombe au phosphore blanc israélienne.

En Indochine française, c’était une méthode d’exécution courante.

La France guillotinait encore en pleine rue dans les années 1930, comme ici en 1939 :

Nous ne voyons plus ces choses parce que nous sortons d’une période de paix anormalement longue en Europe et que les armes à feu ont remplacé les lames.

L’idée que mourir décapité serait intolérable mais pas de finir écrasé par un bombardement démocratique américain ces 80 dernières années n’a aucun sens. C’est une discussion ridicule qui ne peut avoir lieu que parce que les juifs occupés à leur guerre mondiale versent des larmes de crocodile sur tous les écrans.

S’il s’agissait d’un soldat russe effectivement décapité par des Ukrainiens, aucun de ces juifs n’en diraient un mot.

En dernière instance, le vainqueur a raison et dispose de tous les droits sur le vaincu. À commencer par le droit de vie ou de mort.

C’est la loi éternelle de ce monde.

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