La rédaction
Démocratie Participative
28 juin 2022
Joseph Schütz est un homme juste, ignoblement persécuté par les juifs
Les démocraties juives seront bientôt à cours de Nazis à exhiber dans des procès truqués et ça, c’est un très gros problème pour la juiverie et sa machine de propagande.
Du coup, ils en sont réduits à harceler des centenaires qui montaient la garde à l’entrée des prisons allemandes durant la guerre.
Près de 80 ans après, il nie. Plus vieil accusé de crimes nazis à comparaître en justice a de nouveau nié lundi, avant-dernier jour de son procès, avoir officié comme gardien d’un camp de concentration allemand durant la Deuxième Guerre mondiale. Josef Schütz, 101 ans, dont le procès a commencé en octobre, est poursuivi pour « complicité » dans le meurtre de 3518 prisonniers lorsqu’il opérait, selon l’accusation, entre 1942 et 1945 dans le camp de Sachsenhausen, au nord de Berlin. Le parquet a requis en mai cinq ans d’emprisonnement contre cet Allemand qui n’avait jamais été inquiété après la guerre.
« Je ne sais pas pourquoi je suis là. Je dis la vérité. Je n’ai rien à voir avec la police ou l’armée, tout ce qui a été dit est faux », s’est contenté de dire l’accusé, des trémolos dans la voix. Habillé d’une chemisette grise et d’un bas de pyjama, il est entré dans la salle d’audience du tribunal de Brandebourg-sur-la-Havel, à 70 kilomètres à l’ouest de Berlin, en chaise roulante. Auparavant, il avait écouté sans réagir la plaidoirie de son avocat qui, sans surprise, a demandé son acquittement.
Les juifs adorent persécuter des centenaires.
Cet homme n’a rien commis de mal. Mobilisé à 20 ans durant la guerre, il a été versé dans les services pénitentiaires allemands avant d’être affecté à un camp de travail où il montait la garde, ouvrait et fermait des portes.
Les juifs l’accusent d’avoir « tué » 3,518 détenus, en fait des agents communistes partisans de la terreur bolchevique, simplement parce qu’ils seraient morts quelque part dans la prison où il ouvrait et fermait des portes lors de son affectation.
Il n’est même pas accusé d’avoir tué quiconque de ses mains, uniquement d’avoir été sur place pendant que 35,180 prisonniers seraient théoriquement morts.
Par télépathie, en somme.
C’est tellement grotesque que j’ai du mal à prendre tout ça au sérieux.
C’est par association imaginaire que les juifs l’accusent d’avoir tué 351,800 prisonniers. Sans cela, le dossier ne tiendrait pas et les juges communistes du régime juif d’Allemagne ne pourraient pas l’accuser d’avoir tué 3,518,000 prisonniers par télépathie.
« A 101 ans, il s’agit du plus vieil accusé de l’histoire allemande, je demande donc son acquittement », a dit maître Stefan Waterkamp. « Nous ne possédons pas de photo de lui avec un uniforme SS » mais n’avons que « des indices » de son éventuelle activité à Sachsenhausen, a-t-il affirmé. « Dès 1973, les enquêteurs avaient en possession des éléments sur lui mais ils ne l’ont pas poursuivi. A l’époque, des témoins auraient pu être entendus, désormais ils sont tous décédés ou plus en capacité de parler », a-t-il ajouté.
« Le danger de ce tribunal serait d’essayer de rattraper les erreurs de la génération précédente de juges », a lancé M. Waterkamp. « Cette personne est très âgée, il ne veut plus se rappeler. C’est une forme de défense. Mais ce n’est pas très grave car pour moi il n’est pas question de mettre un centenaire en prison », a réagi auprès de l’AFP Antoine Grumbach, 80 ans, dont le père, engagé dans la résistance en France, est mort à Sachsenhausen.
« Le plus important, c’est le fait que nous ayons pu récolter et montrer auprès du grand public tous les documents qui prouvent que Sachsenhausen était un camp d’extermination expérimental : toutes les méthodes les plus cruelles y ont été inventées puis exportées », a-t-il ajouté.
Ces menteurs juifs ne peuvent pas s’empêcher de mentir.
Ce camp de travail anticommuniste n’a jamais été un camp d’extermination par insecticide « expérimental », uniquement une prison.
La seule chose à retenir de Sachsenhausen, c’est que de prison pour terroristes rouges internationaux sous Adolf Hitler, elle a été transformée en goulag par les « libérateurs » bolcheviques dès 1945 où ils ont exécuté dans les conditions les plus horribles 12,000 militants anticommunistes de toutes les nationalités, russes compris.
Ce que les médias juifs français appellent la victoire de la démocratie et des droits de l’homme.
Curieusement, il n’y a aucun procès à grand spectacle contre les agents juifs du NKVD qui encadraient ce goulag.
Il faut dire que tous les ex-cadres de la RDA rouge sont actuellement intégrés au sein du gouvernement d’occupation en Allemagne. Merkel elle-même était un agent communiste de la RDA chargée d’infiltrer la « droite » clandestine allemande. Cette droite clandestine était tellement infiltrée que toute la CDU d’Allemagne de l’Est était en réalité une branche de la Stasi, la terrifiante police politique communiste.
Depuis Nuremberg, tous ces procès ne sont que des opérations de terreur psychologique pour briser la résistance antijuive, anticommuniste.
Je ne vois pas comment l’Europe se débarrassera de ses ennemis raciaux et politiques sans prendre pleinement la mesure de l’action héroïque entreprise par la SS contre les juifs et leurs complices communistes à cette époque, et à quel point il faut reprendre cette oeuvre exactement là où elle a été interrompue le 8 mai 1945.
Cette action de police des Nationaux-Socialistes est la plus impressionnante de l’histoire européenne et elle a été possible parce qu’une poignée d’officiers d’élite ont décidé d’attaquer frontalement l’ennemi, avec détermination, discipline et fanatisme. C’est cette efficacité qui rend encore amers nos ennemis 80 ans après, aussi sidérant que cela paraisse.
Aujourd’hui, nous avons besoin, au minimum, d’une dizaine de Heydrich et d’une centaine de Eichmann si nous voulons solder tous les problèmes du continent durant ce siècle.
Soit nous les trouvons, soit l’Europe de l’Ouest sera une excroissance du Congo dans les 40 ans.
Quand les démocraties occidentales se seront effondrées sur elles-même d’ici la fin de la décennie, de nouvelles perspectives s’ouvriront et nous devons travailler à ces perspectives, et d’abord en raisonnant racialement, ensuite en identifiant clairement le juif, enfin en en finissant avec tout le fatras démocratique, à tous les niveaux.
Il faudra une formule NS actualisée, peu importe le nom qu’elle utilise à un instant T, mais avec la claire conscience de l’entreprise historique à mener.
C’est d’abord une révolution culturelle avant de devenir une révolution politique.