Les juifs ont un possible candidat à l’élection présidentielle pour rendre irréversible la négrification de la France (analyse)

Captain Harlock
Démocratie Participative
25 septembre 2018

C’est probablement la première fois que vous en entendez parler et c’est ici. Comme nous avons eu l’occasion de le dire, les juifs sont très activement occupés à mener une guerre de contre-insurrection en France visant les musulmans d’une part, les populations de souche européenne de l’autre.

Pour ce qui concerne les musulmans, vous pouvez lire notre article sur le sujet. Pour ce qui concerne les Français de souche, vous pouvez lire notre article sur la réunion juive qui a eu lieu à la mairie du 4ème arrondissement de Paris via une organisation gigogne, (((Le Sursaut))).

Plutôt qu’un long discours.

Les juifs sont parfaitement conscients du fait que la dynamique politico-historique est en train de leur échapper en Europe. Ils ont en conséquence adopté une stratégie en deux mouvements.

Le premier vise à coopter des recrues musulmanes ou allogènes pour encadrer les masses non-blanches de plus en plus nombreuses et instables.

Le second vise à faire de même en devançant l’inévitable montée du populisme blanc face à l’invasion en créant ex-nihilo un droitisme passablement islamo-critique sous direction juive.

Cette stratégie est censé offrir aux juifs des auxiliaires pour conserver le contrôle sur le système et éviter l’effondrement de la démocratie financière qui leur permet de piller la France et l’Europe.

L’alternative juive De Villiers

Une fois ce rappel effectué, je veux également souligner un point : les juifs ne cessent jamais de préparer la trahison du roi qu’ils viennent de faire monter sur le trône. Les juifs ne se lient jamais à aucun monarque, ils n’ont de loyauté qu’à l’égard de leur or.

Macron a peut-être été couronné par la juiverie, sa position n’en est que plus précaire. Que la juiverie lui retire son soutien politico-médiatique et l’illusion de son autorité s’évaporerait comme neige au soleil. Les juifs ne vont pas attendre que Macron s’enlise sans avoir d’alternatives politiques.

Je vous présente l’une de ces alternatives.

Cet homme prépare sa candidature à l’élection présidentielle et vous n’en avez entendu parler nulle part. Dans l’ombre, des gens travaillent déjà en ce sens.

La structure de pouvoir juive, consciente de l’inévitable dissolution sociale induite par l’invasion du tiers-monde qu’elle organise, n’en est pour autant pas moins lucide sur les conséquences politiques de son programme. Elle sait que l’anarchie appelle naturellement l’autoritarisme et que si la situation se dégrade au point que la déstabilisation devienne totale, elle ne pourra pas choisir aussi aisément la composition d’un gouvernement fantoche.

Alors, elle crée sa propre formule autoritaire.

Villiers a commencé à être présenté aux foules dans les colonnes du journal de gauche Le Parisien dans une tribune qui n’a rien à voir avec ce que raconte habituellement un militaire. C’est un discours sur la France qui brode sur les habituelles abstractions et qui évoque « la jeunesse ».

Donc l’avenir. Et, en France en 2018, les métèques. Musulmans en tête.

Voici ce que l’on peut lire sous sa plume :

Dans les armées, plus de la moitié des militaires ont moins de trente ans, et j’ai donc baigné dans cette jeunesse-là. En outre, au cours de mes premiers mois dans la société civile, j’ai rencontré dans toute la France beaucoup de jeunes lors de mes dédicaces ou de mes conférences : étudiants, lycéens, jeunes professionnels. En dialoguant avec eux, j’ai pu vérifier que l’armée est la parfaite photographie de notre nation aujourd’hui, dans sa diversité et dans sa richesse. On y trouve des sans diplômes et des surdiplômés, des hommes et des femmes de toutes convictions, de toutes confessions. C’est un modèle qui fonctionne et les débats actuels autour du service national universel en témoignent.

Cette fraternité décuple le courage, une valeur essentielle pour réussir dans la vie. Courage du dépassement de soi, courage qui multiplie les capacités et révèle à soi-même ses propres talents. Nos jeunes aspirent à découvrir leur vraie valeur. De la même manière, la jeunesse d’aujourd’hui apprécie l’autorité, qui n’est ni la dureté froide, ni la mollesse tiède, mais la confiance du chef en ses équipes et des équipes en son chef. Au centre de l’exercice de l’autorité se trouve la recherche permanente d’humanité, qui produit la vraie efficacité, dans le respect et l’estime mutuelle. La confiance repose évidemment sur la notion de responsabilité et de délégation. C’est l’application du vieux principe de subsidiarité : chacun à sa place décide de ce qui est de son niveau.

Ma conviction est que nous avons une belle jeunesse, dès lors qu’elle est guidée et que l’on sait répondre à ses aspirations. Ces dernières années, elle a changé, comme l’ensemble de notre société et les attentats du 7 janvier 2015 ont probablement provoqué le saut d’une marche supplémentaire dans cette évolution. Donnons-lui la chance de se donner. Aimons-la et elle nous le rendra.

Le programme est clair : la société multiraciale par la coercition. Je ne sais pas si Villiers croit aux mots creux qu’il enchaîne, j’ai tendance à croire que oui, comme tous chez ces bourgeois catholiques avec leur lot de mièvreries.

Ce qui est absolument certain, c’est que Villiers défend comme proposition politique l’extension du système de cette armée multiraciale à l’ensemble de la société française. C’est-à-dire la version militarisée du programme juif.

Cela n’a rien de nouveau, Trotsky supervisa le même type de politique à partir de 1918 en Russie.

Sauf que Villiers, bien sûr, est un goy et qu’à ce titre son utilité ne peut qu’être temporaire.

Le Parisien ne s’est pas contenté d’une tribune. En août, il a récidivé en dressant un portrait encore plus clair et complaisant des ambitions de l’intéressé :

Dans ce public, fusent aussi régulièrement des appels pas vraiment politiquement corrects : « Mon général ! On croit à l’armée ! Prenez le pouvoir, c’est quelqu’un comme vous qu’il nous faut à tête du pays. » Pierre de Villiers remercie poliment et esquive prudemment. Serait-il tenté par l’aventure, comme un de Gaulle, passé des armes à la politique ? « Le Général n’était pas un homme de calcul mais de conviction. Chacun son engagement. Je ne suis pas non plus un homme de calcul, si je l’avais été, je n’aurais pas démissionné. »

Non, De Gaulle n’a jamais calculé.

C’est pour cela qu’il a mené un coup d’état en 58 avec l’appui de l’armée après lui avoir juré de garder l’Algérie Française pour ensuite la bazarder aussitôt et éliminer tous les généraux qui avaient été assez idiots pour lui faire confiance.

Par ailleurs, Villiers a relu cet article avant de donner son approbation. Il a eu tout le loisir de faire enlever le passage relatif à la prise du pouvoir par l’Armée. Il ne l’a pas fait.

S’il a une cause à défendre, c’est bien la jeunesse. Et un outil à proposer : le foot. « J’ai créé une équipe de foot partout où je suis passé. J’étais le lieutenant le plus connu du régiment grâce aux matchs », se souvient-il. Son poste ? Milieu de terrain, « celui qui distribue, qui unit le jeu entre la défense et l’attaque ». En Didier Deschamps, il discerne un grand chef de la trempe de ses modèles, le maréchal de Lattre et le général Leclerc. Le premier, pour son génie de l’amalgame, « gagner en mélangeant les différences. »

Le second, pour le « serment de Koufra » en mars 1941, « nous ne nous arrêterons que lorsque le drapeau tricolore flottera sur la cathédrale de Strasbourg »… mission accomplie fin 1944. « Deschamps a réussi à fabriquer une équipe et pas un faux amalgame d’ego.

Pour ma part, je n’ai vu qu’une équipe de tirailleurs nègres célébrés par l’Afrique entière.

Comme ces bandes de nègres aux ordres de de Lattre qui violèrent les Italiennes à la chaîne, avec le plein aval de ce criminel.

Cette référence à l’antifascisme gaullo-terroriste suffit en soi à mesurer le fond du discours développé.

Mais il y a mieux, au détour d’une phrase.

Et il a prononcé un serment : On ne s’arrêtera que quand on aura gagné la finale », célèbre ce passionné du ballon rond, qui a pris un engagement avec le syndicat des groupes professionnels du football (UNFP). Ainsi, il siège désormais parmi les membres du comité stratégique avec Jacques Attali, ou les politologues Dominique Reynié et Pascal Boniface. Et n’exclut pas de créer une équipe en banlieue parisienne.

Et voilà.

Il va sans dire qu’un ancien CEMA ne perd pas son temps à créer un club de football dans une banlieue occupée par des nègres et des arabes pour l’amour du sport ou en raison d’une carrière d’animateur social contrariée.

Surtout pas quand il est question de « stratégie » avec le juif Attali dans l’ombre.

Le projet consiste bel et bien à nous faire du Deschamps, à l’échelle de la France. Une France dont la négrification serait encadrée par l’Armée, placée sous direction idéologique juive, tournée contre le reste de l’Europe.

Bref, la version du nouveau judéo-bolchevisme pensée par les juifs.

Cela rejoint ce que je disais au début : les juifs pensent avoir trouvé chez ce brave goy le parfait idiot utile pour mettre en oeuvre une stratégie de contre-insurrection sur le territoire français dans le but de garder le contrôle de ces millions de musulmans et de nègres qui sont pour ainsi déjà en état de sédition ouverte.

Rien de tel, en pareil cas, que de mandater un de ces militaires catholiques ayant avalé toute la soupe gaullo-communiste depuis l’enfance, pâte malléable entre toutes, pour mâter ces masses de jeunes afro-maghrébins agressifs.

Et si cette campagne devait échouer, la presse juive se chargerait d’accabler Villiers, de le dépeindre en néo-pétainiste, voire d’exiger qu’on le traîne devant un tribunal pour haute trahison où des juges juifs le condamneraient.

Quoi qu’il en soit, Villiers se montre désormais ici et là pour se présenter en possible chef de l’Etat.

Si vous l’ignorez, sachez que son frère, Philippe de Villiers, est lié au lobby israélien.

L’essentiel de la réaction est bien évidemment mûre pour cette dernière escroquerie sémitique, comme hier lorsqu’elle se jeta dans les bras de cet autre serviteur de la juiverie qu’était De gaulle.

Villiers n’a jamais protesté contre la guerre en Serbie, en Libye ou en Syrie. Il a démissionné pour une histoire d’argent, pas en raison des guerres juives menée par l’armée française.

Il va sans dire que si cet homme devenait président, les nationalistes n’auraient plus seulement à affronter le gouvernement juif d’occupation. Ils auraient à faire face aux tirailleurs nègres et arabes mis à disposition des juifs par Villiers pour les écraser, exactement comme les partisans de l’Algérie Française furent liquidés par De Gaulle à partir de 1961.

 Les nationalistes, à la différence de ces nègres et de ces arabes dont on prépare l’encadrement militarisé dans l’ombre, n’ont que les défauts de leurs qualités pour cette république juive. Pas de clubs de foot ou d’éloges, la plus féroce répression seulement.