Captain Harlock
Démocratie Participative
20 avril 2018
Le larbin de la juiverie internationale Manuel Valls a annoncé vouloir devenir le maire de Barcelone. Objectif : imposer la tyrannie financière juive au coeur de la Catalogne et éviter l’effondrement de l’Euro.
BFMTV :
Albert Rivera, le chef de file du parti Ciudadanos, a proposé à l’ancien Premier ministre français de faire campagne pour les municipales à Barcelone, la ville natale de Manuel Valls. Ce dernier a confié à la télévision espagnole « y réfléchir ».
L’avenir politique de Manuel Valls se trouve-t-il en Espagne? Comme le rapportent plusieurs médias ibériques ce vendredi, l’ancien Premier ministre français pourrait briguer la mairie de Barcelone, sa ville natale, lors des prochaines municipales.
Selon le journal La Vanguardia ce vendredi matin, le mouvement de centre-droit Ciudadanos lui a proposé de prendre la tête de liste dans la capitale catalane. Dans une interview à la chaîne de télévision publique espagnole TVE, Manuel Valls a reconnu avoir reçu cette proposition de la part d’Albert Rivera, le chef de file de Ciudadanos. Il a reconnu « étudier » cette possibilité.
« Je me suis impliqué dans ce débat, parce que je suis né à Barcelone, fils de Catalan, je veux donner à la Catalogne et à l’Espagne, ce qu’elles m’ont donné, ce sont mes origines, c’est une forme de générosité. Je me suis impliqué en tant qu’Européen.
Mais continuer dans le débat, sous une forme ou une autre, ça m’intéresserait, oui. Sous une forme ou une autre. Est-ce que je peux aller plus loin? Je vais y réfléchir », a déclaré Manuel Valls sur TVE.
Joint par BFMTV.com, l’entourage de Manuel Valls explique ce vendredi que « l’avenir de Barcelone l’intéresse, d’une manière ou d’une autre ». L’ancien Premier ministre a affirmé qu’il « penserait à la question qui lui a été posée ».
Si cette candidature venait à être effective, aurait-il des chances de l’emporter? Lors des dernières élections régionales en Catalogne, le 21 décembre dernier, le mouvement Ciudadanos est arrivée en tête à Barcelone. Jusqu’à présent, c’est une alliance menée par Podemos qui dirige la ville depuis les dernières élections municipales. A l’époque, Ciudadanos était arrivée en troisième position avec 11,05 % des voix. Les élections municipales auront lieu dans un an, en mai 2019.
Revenant à peine d’Israël où il a reçu pour consigne de faire appliquer, dans les plus brefs délais, l’arrestation de tous les ennemis de la juiverie internationale, Valls est donc en mission commandée contre la Catalogne.
Comme on peut le voir, ce genre de vagabonds de la politique parlementaire, à l’image de leurs maîtres hébraïques, vont truander là où c’est possible et nécessaire.
Pour ce qui concerne la Catalogne, contrairement à ce que l’on entend ici ou là, il s’agit pour la machine juive qu’est l’UE d’éviter à tout prix l’implosion de l’état espagnol et de la pile de dettes sur laquelle il est assis. Cette véritable grenade à fragmentation financière menace de faire s’effondrer l’édifice juif qu’est l’Euro.
Et quand vous commencez à menacer le pouvoir financier de la juiverie, les mesures d’exception sont mises à l’ordre du jour.
Il y a 70 ans naissait #Israël.Un grand projet qui venait de loin,le #sionisme et une volonté incroyable après l’innommable, après la https://t.co/mVPi9bVwDx reste plus que jamais engagé,attaché à #Israël avec qui nous partageons valeurs communes et intérêts stratégiques.
— Manuel Valls (@manuelvalls) 19 avril 2018
En conséquence, les juifs mandatent leurs propres émissaires pour prendre les choses directement en mains, sans aucun intermédiaire.
« Me volqué en la campaña no solo como hijo de catalán, también como europeo. Se descubrió demasiado tarde lo que estaba pasando en Cataluña » @manuelvalls pic.twitter.com/gArxqS2M5t
— Soc. Civil Catalana (@Societatcc) 19 avril 2018
Ce qui devrait d’ailleurs donner à réfléchir à ceux qui croient que l’état espagnol serait plus « national » que juif.